14 juillet 2021 3 14 /07 /juillet /2021 11:05

Il y a longtemps que je n’ai rien publié, entre autre, pour la simple et bonne raison que en ce qui concerne le covid et ses conséquences, il y avait déjà une sur-information parmi laquelle chacun pouvait surfer et construire sa propre vision de l’événement.

Je romps le silence pour vous renvoyer à un article publié en libre accès par Heidi.news, parce que l’analyse qu’il contient est d’utilité publique dans la construction du débat démocratique.

Je ne sais pas si je vais reprendre le blog, ni sur quel mode, mais je ne pouvais manquer de relayer ce texte :

Il n’y a rien à ajouter à ce titre pour comprendre de quoi il est question.

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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 20:09

 

Pas vraiment la peine de traduire... juste parc que c'est joli, rien que parce que cela parle de la vraie vie.

Ils ont de la chance les britaniques, chez nous 

C'EST INTERDIT !!!

 

¿Cansado de bancos? Un granjero desafía las hipotecas y se hace una casa por 240 dólares

 

 

Credito: Agencias

 

 

29-11-13.-Un ingenioso granjero británico ha construido una casa ecológica por tan solo 150 libras esterlinas (unos 240 dólares) para demostrar que es posible poseer una vivienda sin acudir a las hipotecas bancarias y sin endeudarse de por vida.

Según el diario ‘Metro’, Michael Buck, un exprofesor de 59 años de edad, edificó una llamativa cabaña en su terreno, que se encuentra en un placentero lugar boscoso cerca de Oxford, Reino Unido.

Buck indicó que construyó la pequeña casa con sus propias manos en ocho meses, sin la ayuda de herramienta eléctrica alguna. Explicó también que levantó las paredes usando una mezcla de arena, arcilla, paja y estiércol de vaca. Mientras que para el techo armó una estructura de madera y lo cubrió con paja.

Michael tampoco tuvo problemas con la cubierta del piso, que cubrió con tablas sacadas de una vieja casa abandonada. Además, usó los parabrisas de un viejo camión para cerrar las inusuales ventanas de su casa.

La inusual cabaña cuenta con una cocina, comedor y una cama que se encuentra en un espacio elevado a media altura. El inmueble no cuenta con electricidad, pero una estufa de leña proporciona calor, mientras que el agua es llevada por una tubería desde un manantial natural cercano.

Asimismo, un pequeño pozo junto a la puerta de entrada sirve como nevera. Tampoco dejó pasar por alto el baño, para lo cual detrás de la casa construyó una letrina cubierta con paja, desde donde “se abren espectaculares vistas panorámicas de la campiña”.

“Una casa no tiene por qué costar un ojo de la cara, solo se necesita la tierra para construir“, dijo Buck, quien ya ha arrendado su obra a otro granjero por un litro y medio de leche fresca.

“Quise desafiar a las hipotecas, demostrar que las personas no necesitan trabajar toda su vida para pagar un préstamo. No hay que pagar grandes cantidades de dinero por una casa, todo lo que necesita es un terreno para su construcción“, señaló el ingenioso granjero.

Concluyó: “Originalmente planeaba construir invirtiendo los mínimos recursos, pero calculé mal la cantidad de paja y tuve que comprar más. Por eso la casa me costó 150 libras”.

 

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¿Cansado de bancos? Un granjero desafía las hipotecas y se hace una casa por 240 dólares


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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 08:17

 

 

Túneles en Kansas City usados como vivienda por gente pobre

 

Túneles en Kansas City usados como vivienda por gente pobre

 

 

 

 

Voici les nouveaux logements des citoyens étasuniens. La police de Kansas a expulsé de leur tunnel des sans-logis qui y avait trouvé refuge.

La police est parvenue là suite à une « vague de crime », l’expulsion s’est faire pour cause « d’environnement insécure »

A Las Vegas, New York, Kansas des hommes, des femmes, des familles vivent dans les tunnels sous la ville. A New York on les appelle des hommes-taupes.

La ville de New York essaye en vain de les éradiquer, mais ne parvient jamais à mettre la main sur tous.

A New-York, le nombre de personnes ayant eu recours à des hébergements d’urgence a augmenté de 19% cet hiver.

A travers le pays, un million d’enfants scolarisés dans les écoles publiques n’ont pas de foyer dans lequel rentrer.

Ces « chiffres » sont en hausse constante malgré les affirmations du gouvernement qui parle de la fin de la récession.

D’autres modes de logement sont adopté par les sans-abris comme les villages de tentes et des dizaines de milliers de personnes vivent dans des véhicules.

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Images El Muerto |||

Traduction libre de la version espagnole d’articles de Daily Mail-The New York Post depuis Pobres viven en túneles subterráneos en EEUU

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21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 22:05

 

Un texte à méditer.... no comment

 

"Occupation et défense des espaces autogérés" Alfredo Bonanno
Par espace social autogéré, nous entendons un espace urbain pris
par un certain nombre d'individu-e-s dans le but de l'utiliser
directement, pour leurs propres objectifs, au-delà de la logique du
pouvoir capitaliste et de l'exploitation.

Par rapport à des espaces sociaux (écoles, casernes, usines, etc...), où une fonction spécifique est imposée, visant à garantir les
intérêts du capital, la lutte pour la conquête d'un espace social autogéré constitue une tentative importante et continue de
pratiquer une liberté d'action et d'expression qui serait impossible partout ailleurs.

Depuis le début, donc, cette lutte s'est constituée d'un certain nombre d'actions anti-autoritaires qui sont parties d'une analyse critique de la société de classes et de ses principales fonctions. 

Ce sont donc des luttes qui adoptent la méthode auto-organisationnelle, elles essaient de réaliser la liberté et l'égalité sociale et individuelle, indispensables tout au long de la route qui procède de l'abolition du pouvoir et de l'exploitation capitaliste.

La méthode auto-organisationnelle est la seule qui empêche une
instrumentalisation de la lutte par les partis politiques, syndicats,
représentants du Conseil, etc. Mais pour que cela se produise,
il est nécessaire que cette méthode soit employée correctement,
garantissant la liberté de décision dans tout ce ce qui se fait au
cours de la lutte.

De cette auto-organisation, 
deux phases peuvent être distinguées :

A) L'auto-organisation de la lutte pour la conquête de l'espace
social par le biais du squat (de l'occupation)
B) L'auto-organisation de la lutte pour la défense de l'espace social
à travers une ouverture vers l'extérieur.

En ce qui concerne la première phase, il faut dire que l'occupation
ne peut être réalisée que si elle a réussi à constituer une structure
collective basée sur une affinité précise entre les individu-e-s qui lui
appartiennent. Cette affinité n'est pas tant idéologique que
substantielle. L'existence de désirs et de problèmes en communs
permettent, à un moment donné, pour un groupe de personnes de
se réunir pour lutter contre l'exploitation en commun. C'est une
chose sur laquelle nous devons être très clairs.

La domination de classe du capital est la cause de l'absence
actuelle d'espace sociaux autogérés, et la cause de la présence
d'espaces sociaux fictifs : Précisément parce que l'exploitation
économique et sociale qui sert les intérêts du pouvoir et du capital
est réalisée au sein de ces derniers. La lutte pour la conquête de
« véritables » espaces sociaux passe donc nécessairement par une
rupture violente avec la logique de domination du capital. Celle-ci
ne peut pas et ne restera pas passive devant nos initiatives
concrètes de libération des espaces sociaux, parce que ces
initiatives constituent un danger considérable pour elle.

L'État et le capital nous imposent des limites précises qui,
lorsqu'elles sont dépassées, nous mettent immédiatement dans la
condition de « hors la loi ». Squatter signifie aller au delà de ces
limites, squatter signifie devenir «hors la loi». C'est pourquoi une
rupture violente avec les règles qui nous ont été imposées est
nécessaire. C'est pourquoi il est nécessaire de squatter.
Concernant la deuxième phase, il est plus qu'évident que nous
devons savoir comment prendre notre liberté nous-mêmes, par le
biais de nos luttes. Il n'est écrit dans aucune constitution que
quelqu'un nous la donnera. Et ceci est valable pour l'espace social:
personne ne nous le donnera. Quiconque en est propriétaire le 
gère et l'utilise en fonction de ses propres intérêts (qui sont parfois de
ne pas les utiliser du tout et simplement les laisser vides).

Lorsque ces espaces nous sont donnés, c'est afin de mieux nous
contrôler et nous ghettoïser, au lieu de nous jeter les flics au cul 
(ce qui coûte de l'argent), ils peuvent savoir où nous sommes et le
genre de choses dont nous parlons. C'est pourquoi, parfois, ils sont
bien contents de nous donner des espaces, surtout après que nous
entreprenions des actions d'intervention dans la réalité sociale.
Il est évident que nous n'avons pas besoin d'espaces de ce genre,
qui ne peuvent pas être appelées auto-gérés, parce que l'autogestion
n'est pas seulement une question de gestion de l'intérieur
du lieu.

Nous devons donc prendre nos espaces nous-mêmes, c'est à dire
les squatter. Mais la question n'est pas seulement de les prendre, il
s'agit aussi les défendre. Cette défense ne doit pas se résumer à
nous barricader nous-mêmes derrière un mur et mettre des
barbelés à l'extérieur. Nous ne pouvons pas nous limiter à
simplement nous assurer que les flics ne rentrent pas.

Pour défendre un espace social, il est nécessaire de développer,
qualitativement et quantitativement, une intervention extérieure et une capacité à développer un discours ayant une certaine signification et ne pas simplement nous réduire à la satisfaction de nos propres intérêts ou l'exercice de nos capacités personnelles. 



Musique, poésie, etc, sont des activités très intéressants, mais si
elles restent enfermées dans l'espace, même squatté, elles 
tendent tout simplement à devenir une autre caractéristique du ghetto.

La meilleure façon de défendre l'espace conquis est donc
l'ouverture vers l'extérieur. Pour conclure nous pouvons dire: la
conquête de l'espace ne peut se faire qu'avec l'occupation par la
force, en celà que les autres chemins (tel que la négociation) ne
fonctionnent pas (ne sont pas valides).

Après l'auto-gestion de l'espace, vient la question de la défense en
général qui ne consiste pas seulement en des aspects minimes que
nous pourrions définir comme «militaristes», mais aussi, et surtout,
à l'ouverture vers l'extérieur, au fait de parler aux gens, de se
rencontrer et de lier sa propre situation à la situation du quartier
où on se trouve.

Alfredo M. Bonanno


[traduit et publié en anglais pour la première fois en 2007 dans la revue insurrectionnaliste londonienne "Deranged Issue 0" (numéro zéro), dans un texte appelé "Struggle for self-managed social spaces" (La lutte pour les espaces sociaux autogérés), qui rassemblait ce texte et "Espace et Capital" (aussi traduit par nos soins) de Bonanno. Nous en livrons une première traduction en français. Afin de faciliter la compréhension et d'éviter la redondance, le terme "self-management" a été traduit alternativement par "auto-gestion" et "auto-organisation" en fonction du contexte, même si le terme réfère plus précisément au concept d'auto-gestion.] 

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 09:38

 

Pratique - Habitat d'urgence autoconstruit à moins de 100 euros


Pratique - Habitat d'urgence autoconstruit à moins de 100 euros | Les Dernières Nouvelles du Monde | Scoop.it

Les moeurs guerrières de tous les « dirigeants » provoquent le génocide des peuples et sont une honte pour l’Humanité.

Devant cette situation, nous appelons à la fin de toute représentation et de toute délégation car toutes les populations civiles aspirent à vivre en paix.

Les dirigeants du pouvoir séparé tirent leur pouvoir de la manipulation des divers trafics:
Armes, drogues, esclaves-marchandise. Ils détournent à leur profit le monopole de la violence que détiennent les Etats. Nous espérons que le peuple serbe liquidera Milosevic et sa clique dominante, comme Ceaucescu: les Nuremberg avant les massacres, pas après.

Tous les dirigeants sont des parasites anti-sociaux qui tirent leur pouvoir et leur richesse des 3 domestications de l’espèce humaine (Esclavage, Servage, Salariat). La servitude volontaire (5 jours de prostitution, 2 jours de réanimation) entraîne des pathologies dans la population qui est dépossédée tant psychologiquement que matériellement, car être salarié d’état ou privé, c’est être soumis aux hiérarchies, exploité, sans initiative, routinier, subir la peur sociale, ne pas choisir ni sa production, ni le lieu, ni avec qui. C’est être domestiqué par les dirigeants et donc agis.

L’horreur de la guerre trouve ses racines dans l’horreur de la guerre économique.
Les populations aspirent à un pouvoir partagé, démocratique, global dans leur propre vie. Nous aspirons tous à une paix globale tant économique qu’écologique.

L’ « information structure » que dispense l’école et l’armée bourgeoise capitaliste est autant aliénée que l’ « information circulante » des «merdias». Créons l’information autonomisante directement.

Toutes les technologies vont dans le cadre de la dépendance du racket marchand avec notre plus value issue de notre exploitation salariée, ils décident matériellement de la guerre. Ils nous embarquent dans une histoire qui peut déraper qui n’est pas la nôtre.

Cette société qui se dit démocratique n’est pas notre société car on ne décide de rien directement. Nous n’avons pas décidé de balancer des bombes, des mines, ici ou ailleurs, pour le profit des diverses mafias des armes, des prostitutions et autre merdes.

Nous considérons que ces conflits subis par les populations civiles sont illégitimes, d’où qu’ils viennent. Nous considérons que ces techniques d’autonomie minimum pour les nécessités vitales sont temporaires pour 500 000 réfugiés des camps, d’aller où chacun le désire est la solution.

En finir avec toutes les frontières, les nationalismes, les religions, les cultures xénophobes, avec l’idéologie des imbéciles heureux qui sont nés quelque part sur la planète en perdition.
Nous voulons pour tous des territoires nutritifs, affectifs et nourriciers, un partage de la terre sans médiation.

Pour plus d’infos sur la bio-architecture pour la paix: habitat d’urgence à 2500 FF, 33 m2, paille, bois cordé, bouteilles, terre, humus, plastique,…...

Source :ecoclash.over-blog.org

Via : Les Dernières Nouvelles du Monde | Scoop.it

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 23:29

 

Encore une découverte grâce  aux Les Dernières Nouvelles du Monde  qui ouvrent quelques portes vers ces mondes de lumière, ces petites étoiles qui scintillent comme autant de sources d'espoir dans ce monde que recouvre l'ombre grandissante de la haine. et de cette peur de l'autre, ce rejet qui le transforme en obsession : aliènation. Quand simplicité devient synomyme de la plus grande richesse, d'harmonie et de temps libre. car c'est bien de cela dont'il est question, de libérer le temps, celui de notre vie, de toute aliénation. Pour que ce temps de vie deviennent temps créateur. Et encore je sens pointer ce hiatus grandissant entre ceux pour qui la nature est l'autre, qui fait peur et qu'il faut soumettre, contrôler, dompter,  dominer, voir violer ainsi que l'affirme les métaphores originelles du mécanisme et ceux qui en faisant partie y coulent des jours heureux, mtuel apprivoisement, symbiose.

Permaculture et écosystèmes comestibles

 


La permaculture, à l'écoute des fonctionnements intimes de la nature et des besoins des humains, cherche, d'une certaine manière et notamment à travers la création de forêts comestibles, à recréer des écosystèmes nourriciers et harmonieux pour tous... autrement dit : un paradis sur terre.

La permaculture aborde une multitude de domaines qui sont, en quelque sorte, les besoins fondamentaux des êtres vivants (humains inclus) et de l’environnement dans lequel ils vivent : l’habitat, l’alimentation, la médecine, la production alimentaire, les rapports sociaux (besoins fondamentaux), la climatologie, la botanique, la phytosociologie (vie des plantes), l’entomologie (vie de insectes), la pédologie (vie des sols), l’esthétique, etc..). Tous ces sujets seront imbriqués les uns dans les autres pour que les conceptions humaines (design) soient les plus équilibrées et résilientes possibles, en cherchant l’équilibre et la rentabilité énergétique maximale à court, moyen et long terme.

 

Des maisons bioclimatiques, des forêts de fruitiers et de plantes comestibles, prairies céréalières ou fourragères, verger potager, verger poulailler, biotope humide semi naturel, élevage et aquaculture quasi sauvage, etc.

Ces systèmes se maintiendront en équilibre dans un effort d’entretien minimum et une rentabilité énergétique maximum par divers principes : synergie, zonage, multifonctionnalité.

La« synergie » ou émulation, est la base du développement du monde vivant. C’est cette entraide pour la vie qui permet à chaque être vivant d’avoir une place juste dans un environnement qui évolue et se complexifie en permanence. Le phénomène qui incite à la croissance et à la complexification s’appelle Agradation (qui est l’inverse de la dégradation).

La permaculture est une sorte de mélange entre la science, l’école, le boulot et les vacances, en même temps et tout le temps ! Elle s’applique à tous les domaines de la vie et cela se résume par la question : Comment tirer parti des éléments, pour que la situation s’améliore, s’équilibre, s’enrichisse, se complexifie, s’embellisse sans détruire quoi que se soit, mais plutôt en en tirant parti pour créer quelque chose de nouveau ?

 

Source : Permaculture et écosystèmes comestibles


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16 mai 2012 3 16 /05 /mai /2012 02:49

 

Inauguration d'un «village» pour SDFInauguration d'un «village» pour SDF
Le pasteur de rue zurichois Ernst Sieber a inauguré mardi le premier «village» de sans-abri de Suisse à Zurich-Affoltern.
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Les premiers «locataires» vont emménager ces prochains jours. (photo: Keystone)

Construits sur 3000m2 avec des éléments préfabriqués en bois, les deux bâtiments pour SDF peuvent accueillir 50 personnes qui gèreront elles-mêmes les lieux.

L'installation a été baptisée «Brothuuse», traduction alémanique du mot hébreux Bethléem («maison du pain»). Dans un premier temps, 42 personnes vont habiter sur place, indique la fondation d'oeuvre sociale du pasteur Sieber (SWS).

Un rêve de longue date

Les premiers «locataires» vont emménager ces prochains jours. Leur présence est limitée dans le temps. L'organisation autonome de la vie du village doit leur permettre de se sentir à nouveau comme des membres à part entière de la société.

Ernst Sieber ne s'attend pas à ce que cette offre pour sans-abri devienne superflue dans un avenir proche. Les logements bon marché sont en effet de plus en plus rares à Zurich.

Le terrain occupé par le «Brothuuse» appartient à la ville. Ce projet constitue un rêve de longue date du pasteur des SDF. Conseiller national du Parti évangélique dans les années 1990, il avait alors déjà réclamé la construction d'un village pour les marginaux de la société.

Source : 20 Minutes Online - Inauguration d un «village» pour SDF - Suisse

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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 12:45

 

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Un texte pour nourrir la réflexion. je dois dire que personnellement ce grand cirque de la décroissance m'énerve dans le sens où c'est encore une théorie de mérite et du sacrifice... alors que de tout ce que j'ai pu rencontrer dans mavie, je n'ai jamais pu observer que le bonheur était fonction du pouvoir d'achat.

J'ai vu des gens heureux parce qu'ils avaient un métier, une profession qu'ils aimaient et que l'excercer était un plaisir toujours renouvelé. Ils ne perdaient pas leur vie à la gagner. J'ai vu des gens heureux qui vivaient simplement dans un environnement riche tant dans la qualité des relations que dans le milieu ambiant.

Je ne crois pas que "décroissance" soit un bon concept en ce sens qu'il focalise sur une idée de privation, comme s'il fallait accepter l'austérité pour "sauver la planète". Alors que sauver la planète est bien plus complexe et plus subtil qu'une simple décroissance. Ce ne sont ni simplement nos modes de productions et de consommation qu'il faut changer, nis nos mméthode de gouvernement mais tout à fait fondamentalement notre manière d'être au monde.En comprenant qu'on a toute les chances d'y gagner en bien-être et en joie quotidienne et non l'inverse.

La pauvreté n'est pas un problème à moins de trouver son identité dans le paraître plutôt que dans l'être, le problème c'est la misère, le problème c'est de manquer de l'essentiel. Chaque fois qu'un espace de nature sauvage dans lequel j'ai vécu et été heureuse est détruit et transformé en parc d'attraction pour tourristes ou autres marchandisations, je perds un peu de ma richesse, cette liberté de parcourir des espaces ouverts et non appropriés.

Et la vraie division des populations le vrai clivage est là aujourd'hui, entre deux conceptions du monde, entre deux manières de l'habiter, entre les prédateurs pour qui la nature est un réservoir à exploiter et ceux  , qui vivent avec et par la nature dont ils sont eux-même partie. La concurrence et les rapports de forces de pouvoir ou la coopération et les forces qui se conjuguent.

 

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L'économie du bonheur, une décroissance séduisante

 

Préférez-vous l'économie du bonheur, ou celle de la décroissance? A moins d'être un rien masochiste, le choix est vite fait: car pourquoi décroître –comme nous y engagent un ombre croissant de penseurs, notamment en France– si le bonheur est à portée de système économique, comme a tenté de le démontrer une conférence organisée à Berkeley, en Californie, du 23 au 25 mars 2012 et modestement baptisée «l'économie du bonheur»?

Et pourtant: entre la décroissance française et l'économie du bonheur à la mode anglo-saxonne, les différences sont au fond bien ténues. Là-bas, comme ici, on est persuadé que le système économique actuel mène le monde à sa perte, écologiquement bien sûr, mais aussi socialement. Et l'on milite sans relâche pour relocaliser les économies, remettre le citoyen –et non le consommateur– au centre des préoccupations, inventer une société plus lente, plus  respectueuse de l'environnement et où les valeurs humaines prendraient le pas sur les valeurs marchandes. Des thèmes bien connus dans l'Hexagone, portés, entre autres, par l'économiste Serge Latouche, le fondateur des Casseurs de Pub Bruno Clémentin, ou encore par le promoteur de l'agro-écologie, Pierre Rabhi

 

Lire la suite : L'économie du bonheur, une décroissance séduisante | Slate

via : Brèves de Net

et Les Dernières Nouvelles du Monde | Scoop.it

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 16:55

 

Quelques photos pour vous allécher d'habitats imaginaires bien réels et vous incitez à une visite sur la la dolce vita(et j'ai à nouveau des problèmes pour coller le lien depuis ma bibliothèque, voici donc les articles de la page en question (Que nos (non)  constructeurs de logements sociaux en prennent de la graine.)

J'ai choisi quelques photos, ni mêês représentatives, ni peut-être les plus belles,allez voir, il y en a plain pourtous les goûts, allez jeter un coup d'oeil sur les maisons en terre paille quipeuvent répondre à des aspirations plus classique pour un coût modeste, garantissant la meilleure des isolations... Voir post précédent.

Bidonville, l'autre ville

 

 

 

 

palet workshop

 

 

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kerterre, igloo de terre

 

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habitants atypiques latitude 21

 

 

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Alexa Brunet / Transit / Picturetank BRA0066617

J’ai découvert cet Ugolito par accident en trébuchant sur sa cheminée. Elle sortait de terre parmi les racines et les champignons. La cheminée d’un Ugolito est le seul signe qui trahisse sa présence sous terre.

 

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http://www.picturetank.com/___/jpeg/c6967489d554d08319b588022e4f1fa1/320/BRA0092745.jpg

 

 

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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 16:35

 

Un article d'archive qui concerne les maison en terre-paille, intéressant puisqu'il nous donne le coût d'une maison décrite ici, quand à la maison en construction décrite ici elle est depuis longtemps terminée et à fait beaucoup de petit dans le quatier de la baraque. je vous conseille une recherche sur "maison en terre paille" image, cela vous permettra de voir des maison en terre paille à tous les stades de construction. 

Dans le village voisin de celui où je vivais, une habitante,après avoir construit une charpente à organiser un stage d'initiation à la terre-paille dirigée par un spécialiste et le stage a consister en lui construire sa maison. une belle réussite.

 

 

Une maison en terre,

CHALKLIN,MICHAEL

Mercredi 18 janvier 1989

Une maison en terre,

en Belgique? Et oui...

La terre crue, un matériau de construction comme un autre? En Afrique, en Uruguay, au Mexique, d'accord. Mais en Belgique? Allons! On ne construit pas des maisons en terre chez nous! Et pourtant...

- De nombreuses fermes belges du début du siècle présentent une architecture en terre, beaucoup d'habitations datant de l'entre-deux-guerres aussi, dit un connaisseur, l'architecte Michel Meert, qui a construit en terre à Gardaïa et Tamanrasset, dans le Sahara algérien. A certaines conditions, cette technique se révèle moins onéreuse que les techniques traditionnelles, chez nous, de la brique et du béton.

Oui mais ça, c'était hier. Aujourd'hui, par contre, le Belge a une brique dans le ventre, n'est-ce pas? Pas tous. Venez voir, à Thorembais-les-Béguines...

Eric Pauporté a 39 ans et habite le quartier de la Baraque, à Louvain-la-Neuve. Grand, les cheveux longs et blonds, une barbe digne de celle du Christ. Ancien musicien, il a travaillé, voici une dizaine d'années, avec Luc Schuiten, architecte, spécialiste des «maisons autonomes bio-climatiques». Et a cotoyé Hugo Houben, co-auteur de Construire en terre, un ouvrage collectif proposé par le CRATerre (Centre de recherche et d'application - Terre) (1). Il a d'ailleurs suivi ses cours, à Grenoble, et érigé avec lui en petit atelier d'ébénisterie et de lutherie en terre-paille, à Overijse, il y a huit ans.

Conforté dans ses connaissances de la construction en terre à l'Isle d'Abeau, entre Grenoble et Lyon, de trois hameaux en terre réalisés selon trois techniques différentes (pisé, blocs de terre compressés et terre-paille), Eric Pauporté travailla dans le cadre de la défunte a.s.b.l. néo-louvaniste «Ecosol», une association d'écologistes dont le but - avorté - était de construire une maison unifamiliale en terre afin d'expérimenter les techniques existantes et mécaniser la construction en terre.

Quelque temps d'attente. Puis la main à la boue. Eric Pauporté vient de terminer sa première construction en terre-paille grand format. Pour quelqu'un d'autre. Il construit bien lui-même, sa femme et ses deux enfants une maison en terre-paille mais celle-ci grandit à pas de tortue, faute de temps. Cette «commande» s'élève au champ Saint-Roch, à Thorembais-les Béguines (Perwez), là où est installée la troupe des «Baladins du Miroir». Durée du chantier: trois mois. Dimensions de la construction: 7 m sur 16,60 m sur une hauteur moyenne de 3 à 5 m. Une piscine intérieure. Un coût total de 500.000 F. (Douze mille euros)

Isolation? Le fin du fin

- La terre-paille est un matériau fibreux et composite, commente Eric. Il offre dès lors une excellente résistance à la friction et peut être utilisé pour le sol, les murs et le plafond.

- La vigilance s'impose vu l'humidité qui règne dans nos contrées, ajoute Michel Meert. Le mur doit avoir une bonne base, apparente de plus ou moins 80 centimètres et construite, par exemple, avec des moëllons et non de la terre.

Il faut ensuite un bon «chapeau», un toit qui déborde au moins de 40-50 centimètres, en cas de fortes pluies. S'impose, enfin, l'ajout à la terre d'un enduit résistant à l'eau.

Le pouvoir isolant? La terre est un isolant thermique hors pair, assure M. Meert. Une petite flamme suffit pour chauffer la pièce. Et, par forte chaleur, l'intérieur reste frais, même au Sahara. Autre avantage d'une construction en terre? Le fait de pouvoir camoufler avec facilité les gaines d'électricité ou les radiateurs de chauffage dans les murs.

Quant aux possibilités plastiques que donne le matériau, elles sont innombrables. Il suffit de prévoir le coffrage adéquat. Tout peut se faire, confirme M. Meert, bien que certaines contraintes techniques, liées notamment à la courbe des formes, appellent quelque réserve quant au coût, parfois élevé.

Le nerf de la guerre, précisément, qu'en dire? Michel Meert est formel: Si la terre nécessaire à la construction est disponible sur place et non à un ou deux kilomètres, si l'on envisage aussi un même type de maison et un degré de finition équivalent, alors la construction en terre coûte de 20 à 30 % moins cher qu'une construction traditionnelle en briques.

Dans l'esprit de la majorité de nos contemporains cependant la construction en terre est méconnue et méprisée car elle renvoie aux images d'archaïsme et de pauvreté. En 1983, une exposition au Centre Pompidou, à Paris, voulait démontrer le contraire. MM Meert et Pauporté aussi.

Et puis, conclut Eric Pauporté, l'homme de terre, la construction en terre fait partie d'un mode de vie particulier où l'on peut façonner son environnement soi-même. La maison devient alors une prolongation de soi.

MICHAEL CHALKLIN.

(1) Doat, Hays, Houben, Matuk et Vitoux: Construire en terre, Ed. Alternative et Parallèles, coll. Architecture, - CRATerre 1979.

 

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Source : Une maison en terre,

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  • Amoureuse de la vie, d'une fleur, d'un papillon, d'un arbre, du sourire d'un enfant, je m'oppose à tout ce qui conduit à la destruction systématique de ce que la nature a créé, de la vie, de la beauté du monde, de la tendresse et de la dignité
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Nouvelles formes du fascisme

"Le vieux fascisme si actuel et puissant qu’il soit dans beaucoup de pays, n’est pas le nouveau problème actuel. On nous prépare d’autres fascismes. Tout un néo-fascisme s’installe par rapport auquel l’ancien fascisme fait figure de folklore […].

Au lieu d’être une politique et une économie de guerre, le néo-fascisme est une entente mondiale pour la sécurité, pour la gestion d’une « paix » non moins terrible, avec organisation concertée de toutes les petites peurs, de toutes les petites angoisses qui font de nous autant de microfascistes, chargés d’étouffer chaque chose, chaque visage, chaque parole un peu forte, dans sa rue, son quartier, sa salle de cinéma."

 

Gilles Deleuze, février 1977.

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