En 2019, les USA ont apporté 893 millions de dollars à l’OMS, le second bailleur de fond, la Fondation Bill et Melinda Gates 531 millions, suivent le Royaume Unis avec 392 millions et GAVI (The Vaccin Alliance) 371 millions ; viennent ensuite l’Allemagne, la Chine et la Russie avec respectivement 231, 76 et 28 millions de dollars.
Gavi est une organisation public/privé de promotions de la vaccination universelle fondée en 1999 à l’initiative de Bill Gates qui lui fait un premier don de 750 millions de dollars . Y participent l’OMS, l’UNICEF, la fondation des Gates et l’industrie pharmaceutique.
Quand on voit ces chiffres une première constatation saute aux yeux, alors que l’OMS est présentée comme l’organisation internationale censée veiller sur la bonne santé de l’humanité, des organisations privées qui ne représentent que leurs propres intérêts et ceux de leurs alliés, y jouent un rôle déterminant. Le monde ne dispose donc pas d’une organisation mondiale qui serait le lieu où les gouvernements des pays (en principe représentatifs de leurs populations respectives) de la planète s’organisent pour faire face aux problèmes de santé mondiale ou organiser les solidarités avec les pays et régions connaissant des problèmes spécifiques.
Vous trouverez plus de détails dans le documentaire qui suit L’OMS dans les griffes des lobbystes
L’actuelle pandémie est la première crise de santé globale que doit affronter l’humanité. Il semble fort probable que ce ne soit pas la dernière. Cette pandémie avait été annoncée et décrite comme très probable dans de multiples rapports d’anticipation et gestion de populations, certains d’une redoutable précision a priori, ceux la Fondation Rockefeller en 2010, du Pentagone dès 2003 il me semble, par Bill Gates en 2015 et bien d’autres et rien n’a été fait pour s’y préparer de manière effective.
Au contraire nous avons vu l’OMS formulant dans l’urgence des directives qui impliquaient non seulement une restriction de nos droits à décider librement de la manière dont nous prenons soin de notre santé, mais ces directives impliquent aussi des choix politiques, économiques et culturels imposés à l’humanité, des atteintes à des droits considérés jusque-là comme fondamentaux. Ce en quoi elle agit comme une sorte de super-expert dirigeant mondial incontestable donnant aux gouvernements des directives qu’ils étaient sommés de suivre sous peine de se voir rejetés par la « communauté internationale » pour une présumée irresponsabilité aux conséquences transfrontalières.
A présent quelques semaines après l’alerte générale et la prise de mesure qui a réduit au confinement des milliards de personnes nous pouvons prendre un peu de recul critique pour évaluer l’efficacité de ces mesures. En termes de lutte efficace contre les progrès de la pandémie, mais également en termes de conséquences émergentes, bien que pour évaluer la gravité ces dernières il faudra plusieurs années. Et aussi comme modification irréversible de l’ensemble de nos modes de vie. En quel sens ?
Ce sens à venir, il dépend de chacun d’entre nous. Il dépend de la responsabilité que nous prendrons – ou non – de nous donner les moyens de participer aux décisions à venir, et de le faire en personne bien informée.
Et pour commencer, il s’agit de comprendre un peu mieux ce qu’est l’OMS, qui sont ces « influenceurs » principaux, en fonction de quelle idéologie font-il leurs choix et pour le bien de qui ?
Anne W
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