21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 23:29

 

Encore une découverte grâce  aux Les Dernières Nouvelles du Monde  qui ouvrent quelques portes vers ces mondes de lumière, ces petites étoiles qui scintillent comme autant de sources d'espoir dans ce monde que recouvre l'ombre grandissante de la haine. et de cette peur de l'autre, ce rejet qui le transforme en obsession : aliènation. Quand simplicité devient synomyme de la plus grande richesse, d'harmonie et de temps libre. car c'est bien de cela dont'il est question, de libérer le temps, celui de notre vie, de toute aliénation. Pour que ce temps de vie deviennent temps créateur. Et encore je sens pointer ce hiatus grandissant entre ceux pour qui la nature est l'autre, qui fait peur et qu'il faut soumettre, contrôler, dompter,  dominer, voir violer ainsi que l'affirme les métaphores originelles du mécanisme et ceux qui en faisant partie y coulent des jours heureux, mtuel apprivoisement, symbiose.

Permaculture et écosystèmes comestibles

 


La permaculture, à l'écoute des fonctionnements intimes de la nature et des besoins des humains, cherche, d'une certaine manière et notamment à travers la création de forêts comestibles, à recréer des écosystèmes nourriciers et harmonieux pour tous... autrement dit : un paradis sur terre.

La permaculture aborde une multitude de domaines qui sont, en quelque sorte, les besoins fondamentaux des êtres vivants (humains inclus) et de l’environnement dans lequel ils vivent : l’habitat, l’alimentation, la médecine, la production alimentaire, les rapports sociaux (besoins fondamentaux), la climatologie, la botanique, la phytosociologie (vie des plantes), l’entomologie (vie de insectes), la pédologie (vie des sols), l’esthétique, etc..). Tous ces sujets seront imbriqués les uns dans les autres pour que les conceptions humaines (design) soient les plus équilibrées et résilientes possibles, en cherchant l’équilibre et la rentabilité énergétique maximale à court, moyen et long terme.

 

Des maisons bioclimatiques, des forêts de fruitiers et de plantes comestibles, prairies céréalières ou fourragères, verger potager, verger poulailler, biotope humide semi naturel, élevage et aquaculture quasi sauvage, etc.

Ces systèmes se maintiendront en équilibre dans un effort d’entretien minimum et une rentabilité énergétique maximum par divers principes : synergie, zonage, multifonctionnalité.

La« synergie » ou émulation, est la base du développement du monde vivant. C’est cette entraide pour la vie qui permet à chaque être vivant d’avoir une place juste dans un environnement qui évolue et se complexifie en permanence. Le phénomène qui incite à la croissance et à la complexification s’appelle Agradation (qui est l’inverse de la dégradation).

La permaculture est une sorte de mélange entre la science, l’école, le boulot et les vacances, en même temps et tout le temps ! Elle s’applique à tous les domaines de la vie et cela se résume par la question : Comment tirer parti des éléments, pour que la situation s’améliore, s’équilibre, s’enrichisse, se complexifie, s’embellisse sans détruire quoi que se soit, mais plutôt en en tirant parti pour créer quelque chose de nouveau ?

 

Source : Permaculture et écosystèmes comestibles


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  • Amoureuse de la vie, d'une fleur, d'un papillon, d'un arbre, du sourire d'un enfant, je m'oppose à tout ce qui conduit à la destruction systématique de ce que la nature a créé, de la vie, de la beauté du monde, de la tendresse et de la dignité
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Nouvelles formes du fascisme

"Le vieux fascisme si actuel et puissant qu’il soit dans beaucoup de pays, n’est pas le nouveau problème actuel. On nous prépare d’autres fascismes. Tout un néo-fascisme s’installe par rapport auquel l’ancien fascisme fait figure de folklore […].

Au lieu d’être une politique et une économie de guerre, le néo-fascisme est une entente mondiale pour la sécurité, pour la gestion d’une « paix » non moins terrible, avec organisation concertée de toutes les petites peurs, de toutes les petites angoisses qui font de nous autant de microfascistes, chargés d’étouffer chaque chose, chaque visage, chaque parole un peu forte, dans sa rue, son quartier, sa salle de cinéma."

 

Gilles Deleuze, février 1977.

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