
Nous sommes à un moment de l’histoire qui pose un défi radicalement nouveau à l’espèce humaine :
Pour la première fois, son prodigieux dynamisme se heurte aux limites de la biosphère et met en danger son avenir. Vivre ce moment signifie que nous devons trouver collectivement les moyens d’orienter différemment cette énergie humaine et cette volonté de progrès. C’est un défi magnifique, mais redoutable. Or, une classe dirigeante prédatrice et cupide, gaspillant ses prébendes, mésusant du pouvoir, fait obstacle au changement de cap qui s’impose urgemment.
http://blogantipub.wordpress.com/2006/12/28/comment-les-riches-detruisent-la-planete/

Je vais vous faire partager quelques passages de la rubrique « Les mensonges économiques » dont vous trouverez la totalité sur le blog d’exdisciple. Prenez en le fil depuis les plus anciens, auquel vous conduit le lien ci-dessous, parcourez-les et vous aurez une chance de comprendre la vraie nature de l’économisme néo-libéral.
Ces 5 pages de ce blog sont pleines de vidéos intéressantes et d’articles que je n’ai pas repris ici par un choix un peu arbitraire
Les mensonges économiques archive at exdisciplesleblog
version partiellement revue en février 2012

Le texte qui suit est fondamental :
*Ricardo Petrella est professeur d'Economie conseiller auprès de la Commission des Communautés Européennes, Président et fondateur de l'Association des Amis du Monde Diplomatique
DECLARATION MONDIALISTE DES DEVOIRS DE L'ESCLAVE-CITOYEN
Au nom de la compétitivité censée assurer le bonheur des peuples et la solidarité entre les nations, mais qui n'assure la liberté que des capitaux, et l'expropriation de toutes les souverainetés humaines
ARTICLE PREMIER : Tous les hommes et les femmes naissent et vivent prisonniers d'un Etat et d'un système mondial qu'ils n'ont jamais demandé et pour lequel ils n'ont jamais signé de contrat. Ils sont tenus d'en respecter les principes et de se plier à toutes les EXPROPRIATIONS de leurs droits et souverainetés que le libéralisme monopolistique leur impose.

ARTICLE SECOND : L'être humain n'a aucun droit s'il n'est pas rentable. La personne humaine n'existe plus qu'en tant que ” ressource humaine ” exploitable. C'est un capital à gérer. Le droit au travail (reconnu par la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme) n'existe plus : il est remplacé par un ” devoir d'employabilité “. Nul n'a plus de droit en tant que personne, s'il n'est socialement utile. Comme l'individu peut être jeté dès l'instant qu'il n'est plus rentable, il doit être recyclable. On a donc inventé la formation continue, mais cela suppose de l'argent et l'envie de se battre. Seulement 15 % des plus de 50 ans ayant perdu leur travail en retrouvent un. Les autres, et tous ceux qui ne font pas la preuve de leur rentabilité, sont éliminés du rôle social.

1 - EXPROPRIATION DE LA PERSONNE HUMAINE PAR LA RENTABILITE
ARTICLE TROISIEME : Seul est reconnu comme citoyen le consommateur solvable. Etre citoyen devrait consister à participer à la vie de la cité, et donc aux décisions qui influent sur ses membres. Ce citoyen n'existe évidemment plus, puisque l'essentiel des décisions qui régissent sa vie sont prises par les monopoles industriels et commerciaux. La meilleure preuve est qu'il est aujourd'hui impossible d'influer sur les marchés, c'est-à-dire d'agir sur la société, par le vote ou la voie parlementaire. Les marchés s'autorégissent et continuent leur oeuvre monopolistique quelles que soient les décisions politiques. Par contre, on peut changer les marchés par le BOYCOTT. Preuve que le citoyen n'a plus de pouvoir qu'en tant que consommateur. Seul le consommateur compte. Si je ne peux acheter, je n'ai aucun pouvoir, alors que je devrais être un homme comme un autre et un citoyen comme un autre. L'idéal serait de devenir actionnaire. Acheter les entreprises. Mais l'actionnariat de masse ne résout nullement le problème. Seules les positions dominantes ont une action réelle. Le reste est poudre aux yeux.

2 - EXPROPRIATION DE LA CITOYENNETE PAR LA CONSOMMATION
ARTICLE QUATRIEME : Le social n'existe plus. L'argent est le seul paramètre de la valeur.” Il n'y a pas de société, il n'y a que le marché “, disent certains économistes. Tout est marchandise. On parle de ” produits culturels “, de ” marché de l'art ” etc. Alors qu'on aurait pu instaurer une communauté solidaire et une société mondiale, ne s'est instauré qu'un marché mondial. Et la société s'atomise du fait de la compétition entre ses membres jusqu'à l'individu qui est en concurrence avec son frère et sera un jour poussé à l'éliminer pour survivre.

3 - EXPROPRIATION DE LA SOCIETE PAR LE MARCHE
ARTICLE CINQUIEME : Actuellement, la Loi est l'expression des intérêts financiers et des marchés. ” Dans le char de l'Etat, le conducteur est financier, le politique est dans le coffre “. Les contraintes des marchés financiers font la loi sur les politiques économiques. Aucun pays ne peut y échapper. Les parlements n'ont plus guère de marge de manœuvre face à la conjoncture mondiale. D'ailleurs cela a été officialisé dans le Traité de Maastricht par le fait que les banques centrales et les politiques monétaires sont désormais indépendantes et souveraines. Elles n'ont aucun compte à rendre aux Etats, et n'ont pas pour mission d'agir dans le sens d'une politique économique décidée par un Parlement. La politique monétaire de la banque centrale, destinée à empêcher toute inflation (parce qu'elle fait perdre aux prêts la valeur de l'intérêt perçu) quelles qu'en soient les conséquences sociales, est toute-puissante : les autres politiques doivent toutes être cohérentes par rapport à elle. Le traité de Maastricht (” indépendance de la B.C.E.”) reconnaît ouvertement que toutes les politiques gouvernementales sont directement soumises aux marchés financiers.

4 - EXPROPRIATION DU POLITIQUE PAR LE FINANCIER
ARTICLE SIXIEME : Un pouvoir de plus en plus absolu entre les mains d'un nombre de plus en plus réduit de personnes : C'est la conséquence directe de cette expropriation du politique. On sait qui sont ces oligarchies, pouvoir absolu détenu par quelques infimes minorités qui se concentrent toujours plus. Voir les fusions récentes initiées par Hoechst, Petrofina, Axa, BNP, Ford etc..

5 - LA DEMOCRATIE EXPROPRIEE PAR UNE OLIGARCHIE
ARTICLE SEPTIEME : Souffrir en silence. Nous avons les moyens de vous empêcher de parler. Toute considération humaine de bon sens est désormais subordonnée à la compétitivité sur les marchés mondiaux. Face aux drames sans nombre que cette situation provoque, on prétend ensuite quelque peu ” humaniser l'Economie “. Il est bien temps. En fait, peu importe que des familles crèvent par milliers localement, pourvu qu'au niveau global, la rentabilité soit meilleure ailleurs.

6 - EXPROPRIATION DE L'HUMAIN CONFIE A L'HUMANITAIRE, ET DE L'INFORMATION PAR LA MANIPULATION.
ARTICLE HUITIEME : La morale est l'ennemi du libéralisme. L'éthique, c'est le respect de l'existence de l'autre. Cela est remplacé par les ” autocodes ” dans les entreprises. Mc Donald, Nike etc. ont toutes leur auto-code qui régit les rapports humains en fonction des nécessités de rentabilité de l'entreprise.

7 - EXPROPRIATION DE L'ETHIQUE REMPLACEE PAR LES USAGES COMMERCIAUX ET LES REGLEMENTS D'ENTREPRISE
ARTICLE NEUVIEME : La diversité n'est pas moderne et s'oppose aux économies d'échelle. Il n'y a plus qu'une culture, une langue et elle passe par un modèle d'ordinateur et un logiciel. Le reste n'a plus droit de cité. Ceux qui tentent de faire survivre leurs différences n'ont rien compris à l'ouverture.

8 - EXPROPRIATION DU CULTUREL PAR LE TECHNOLOGIQUE
ARTICLE DIXIEME : La Fraternité est interdite. L'homme sera de plus en plus un loup pour l'homme. ” Si vous voulez être solidaire, soyez compétitif, pour qu'il y ait des ressources à répartir. ” Ce langage est une imposture. La solidarité n'existe aujourd'hui qu'entre ceux qui sont accablés par les conséquences du mondialisme libéral.
9 - EXPROPRIATION DE LA SOLIDARITE PAR LA COMPETITIVITE
ARTICLE ONZIEME : L'Egalité est interdite. En aucun cas l'Etat ne doit plus intervenir pour rétablir une certaine égalité. A la limite, toute subvention sera interdite. Il n'y a plus d'égalité possible, sinon dans la misère. ” Il est équitable d'avoir plus si on est plus compétitif “. Avec ce discours, on peut justifier toutes les injustices.
(note de 2012. Voir la Grèce où l'état, interdit les so upes populaires associatives spontannées et se réserve le monopole de l'aide alimentaire sous forme de tickets de rationnement.)

10 - EXPROPRIATION DE LA JUSTICE PAR LE MERITE
ARTICLE DOUZIEME : Le racisme social et culturel est obligatoire.
L'apartheid social et culturel est le résultat du rejet de ceux qui ne méritent pas les fruits de la productivité. On s'enferme dans des ” gated communities ” où l'autre n'a plus accès sans code.

11 - EXPROPRIATION DU RESPECT REMPLACE PAR L'INTOLERANCE
ARTICLE TREIZIEME : Détruire ou soumettre les ennemis du libéralisme est un devoir social. La course à la compétitivité rendue vitale du fait de l'ouverture mondialiste remplace provisoirement les guerres externes par les guerres internes. Cette guerre économique, écologique, culturelle, énergétique, éducationnelle, est un obstacle majeur pour la paix entre les hommes. Mais l'ennemi n'est pas toujours celui contre lequel on se bat, mais bien souvent celui qui profite de la division.

12 - EXPROPRIATION DE LA PAIX PAR LA GUERRE
ARTICLE QUATORZIEME : Toute liberté et un crime dès l'instant où elle ne favorise pas le jeu des marchés censés régir la vie de chacun de nous. Toute opposition est une faute devant être combattue. Il s'ensuit la multiplication et le perfectionnement des outils de surveillance généralisée. Par satellites, par écoutes systématiques (téléphone, fax, internet), par cartes de sécurité sociale électroniques, par croisement de fichiers etc.

13 - EXPROPRIATION DE LA LIBERTE PAR LA DICTATURE.
TOUS CES ARTICLES DOIVENT ETRE DECLARES CADUCS DANS L'ESPRIT DE CHACUN DE NOUS ET REMPLACES PAR :

ARTICLE UNIQUE : Face à cette agression rampante et permanente qui détruit l'humain, chaque citoyen est invité à assumer son devoir de révolte : jamais les pouvoirs n'ont accordé de droits aux peuples sans qu'ils soient arrachés de haute lutte.
Et la première lutte se passe dans nos têtes. La passivité, c'est l'acceptation de tous ces principes illégitimes comme s'ils étaient légitimes. C'est à chacun de DELEGITIMER en lui-même ces principes fondateurs de la mondialisation. Refuser d'agir et de penser en termes de compétitivité, refuser de considérer l'autre comme un concurrent qu'il faudra un jour ou l'autre éliminer, refuser de laisser tout ce qu'il y a de plus profond dans l'individu être bafoué au nom de l'intérêt immédiat de quelques manipulateurs mondiaux qui nous font croire que leur enrichissement est le progrès inévitable et que le libéralisme sauvage au seul profit des monopoles est la voie économique légitime et naturelle. C'est cela le vrai fascisme qu'il n'est plus possible d'accepter. Et cela suppose de déligitimer aussi en nous le désir d'être à la place de ces exploiteurs-maîtres du monde, en déligitimant tout sentiment de compétition, qu'on soit étudiant ou cadre, au profit de la solidarité, car nos vrais intérêts à terme sont collectifs et communs.
http://sathyadas.blogspot.com/2007/12/les-dix-commandements-du-liberalisme.html
Car s'il est un mensonge, c'est bien celui de vouloir présenter l'économie comme une science ” exacte “, qui s'imposerait à l'homme comme la physique. Ce sont les économistes qui lui donnent une apparence ” scientiforme ” en l'habillant de tableaux, graphiques et équations mathématiques incompréhensibles par le commun des mortels. Si l'économie est une science, et elle l'est selon nous, c'est une science humaine, donc tout sauf exacte.

La physique classique, elle-même ne peut prétendre à la reproductibilité et à l’exactitude que dans des conditions strictes qui sont le plus souvent les conditions artificielles du laboratoire avec ces dispositifs et mécanismes créé par l’homme et même cette exactitude apparente est le fruit de nos propres limites de perception. Il y a toujours un horizon temporelle (durée) au-dela duquel toute reproductibilité s'arrête. Cette science mécaniste est totalement inappropriée en ce qui concerne le vivant et ces sociétés qui sont fondée sur l'évolution dont la condition première est la différenciation qui permet l'émergence de l'imprévu... la nouveauté comme source d'adaptation à l'évolution constante du monde (progrès). La gestion technocratique de la société "(gouvernance économique", dictature qui se substitue aux gouvernements comme émanantion de la volonté du peuple) est le fruit d’une vision mécaniste du monde et s’applique aux machines idéales produites par les expériences de pensée humaines, mais est mortel pour cette pensée et pour le vivant quel tente de soumettre à ces lois.

« La croissance de la consommation est en réalité l’équivalent d’une drogue […]. Cette croissance, lorsqu’elle à lieu au sein des nations les plus développés, rend plus improbable une diminution des inégalités entre les peuples ; l’écart ne peut que s’aggraver. […] C’est donc, dès maintenant, non pas seulement une “croissance zéro” comme l’avait proposé le Club de Rome, mais une décroissance de la consommation des plus riches qui est nécessaire. Cette perspective n’a rien de sombre, à condition qu’elle soit accompagnée d’un développement des activités qui ne détruisent pas les richesses de la planète, notamment toutes celles générées par les rencontres entre humains. »
Albert Jacquart
Les chômeurs heureux
Qui se cache derrière “les chômeurs heureux” ? Personne ne se cache, au contraire : il s'agit de rendre visible une réalité bien cachée par les médias, à savoir qu'il y a mieux à faire de sa vie que de la sacrifier à l'économie, et qu'il existe dès à présent des gens qui sont chômeurs volontaires, qui ont trouvé un mode d'existence et d'activité assurément plus bénéfique, tant individuellement que socialement, que la grande majorité des jobs à leur portée. A partir de cette constatation «existentielle», nous mettons l'accent sur la contradiction suivante : d'un côté on nous chante les louanges des nouvelles technologies et de l'automatisation, lesquelles suppriment toujours plus de travail humain ; d’un autre côté, on se désole du résultat, le nombre croissant de chômeurs, et on fait tout pour leur rendre la vie impossible. Notre suggestion : payer ceux qui, grâce à leur non-travail, contribuent à la «rationalisation» et à «l'assainissement» des entreprises.
http://www.interdits.net/2003mars/chomeurs.htm

Publié 10 août 2007 Mis à jour le 14 Mars 2009
Les assassins financiers, écrit John Perkins, sont des professionnels grassement payés qui escroquent des milliards de dollars à divers pays du globe. Leurs armes principales : les rapports financiers frauduleux, les élections truquées, les pots-de-vin, l’extorsion, le sexe et le meurtre. » John Perkins sait très bien de quoi il parle… car il a été lui-même un assassin financier. Son travail consistait à convaincre certains pays stratégiquement importants pour les États-Unis, comme le Panamá ou l’Indonésie, d’accepter d’énormes prêts pour le développement de leurs infrastructures, et à s’assurer que tous les projets lucratifs étaient confiés à des entreprises américaines. Ainsi affligés de lourdes dettes, ces pays se retrouvaient alors sous le contrôle du gouvernement américain, de la Banque mondiale et d’autres organisations humanitaires dominées par les États-Unis, qui se comportaient envers eux comme des usuriers, leur dictant les conditions de remboursement et forçant leurs gouvernements à la soumission. Cet extraordinaire récit véridique dévoile la corruption et les intrigues internationales, ainsi que des activités gouvernementales ou entrepreneuriales peu connues, qui ont de graves conséquences pour la démocratie américaine et le monde entier.
http://www.voxnr.com/cc/etranger/EElVlVyVVkSBAeBUGT.shtml

J’ajoute que la stratégie ignoble qui consiste à faire porter le coût du chômage - volontairement crée par les "capitalistes" - par les impôts des travailleurs à un double avantage pour les causeurs de crise. Ils s’exemptent de payer les dégâts qu’ils provoquent et transforment les « bénéficiaires de revenus de remplacement » en boucs émissaires de la grogne des travailleurs.

Publié 17 août 2007
“L’aspiration à une société de frugalité exige l’examen de ce qui lui est contraire, la société de consommation, c’est-à-dire de sur-consommation, dont l’idéologie publicitaire est à la fois le reflet et le vecteur. Car ce qui pousse à consommer, ce n’est pas simplement la somme des publicités prises isolément à un instant donné : c’est avant tout un système, système économique certes, mais aussi système essentiellement idéologique. Or, il nous sera impossible de vivre dans un autre système, - j’entends la société de frugalité, sans abandonner les conduites réflexes créées par le système actuel, c’est-à-dire les schémas mentaux et attitudes compulsives de la « bête à consommer » que la publicité a ancrés au plus profond de notre être.”
François Brune
http://exdisciplesleblog.unblog.fr/tag/eglise-de-la-tres-sainte-consommation

LA VÉRITÉ SUR LA DETTE
Ce petit texte à pour but d'expliquer une vérité habilement dissimulée par un savant lavage de cerveau : la dette des États, de TOUS les États endettés du monde, est due au fait que le système bancaire s'est approprié la création de la monnaie. Cet endettement des nations et des individus est un leurre qui ne doit sa survie qu’à la confusion mentale dans laquelle sont entretenus les dirigeants et les peuples, et à la méconnaissance générale du fonctionnement de la création monétaire. Il existe des ouvrages qui expliquent par le détail pourquoi cette dette, dont on nous rebat les oreilles et qui paralyse tous les gouvernements, est une ESCROQUERIE monstrueuse
http://www.youtube.com/watch?v=vhu08omooNU

Publié 3 janvier 2008 dans Les mensonges économiques 1 Commentaire
Dans la ville d’Ontario, en Californie, des américains redécouvrent les joies de la vie sous le tepee. Un retour aux sources, en quelque sorte. A « Tent City », on compte déjà 200 tentes dans un conté où 1 maison sur 43 est en procédure de saisie par les banques. Ce nouveau quartier est surnommé Bushville. On en est déjà à plus de 600 000 saisies de logements aux Etats Unis.
http://www.interet-general.info/article.php3?id_article=10072
(2012. J'ajoute que tout est fait aujourd'hui pour éradiquer ces modes de vie en Europe, y compris pour ceux pour qui c'est un choix ; travailler plus, pour gagner moins, ens'amusant... faire notre pain avec dela sueur et des rires... soutenez notre droit à vivre simplement en consommant peu et en produisant de manière artisanale... nous n'obligeons personne à vivre comme cela,mais nous voulons que notre choix -de salubrité publique - soit respecté. Sans compter que le développement de camps de teppes, yaurtes et autres habitats léger pourrait apporter une solution immédiate aux problèmes de logement et de chômage. Et héberger ceux qui le souhaite en attendant un logement en dur salubre à loyer abordable, mais ces choix fabriquent des non-consommateurs et des producteurs qui si le mouvement grandit deviendraient concurentiel pour l'économie officielle... luddistes, ludiques et subversifs... ce serait aussi un moyen de contrer le raz-de-marée de misère qui approche... mais telle n'est pas la volonté du système, cela se confirme chaque jour d'avantage... regarder autour de vous, informez-vous, apprenez l'histoire et réfléchissez... )

« Le palmarès des prévisions, non seulement que j’ai faites et des entreprises que j’ai développées, mais aussi pour toute la profession dans son ensemble, n’est pas vraiment spectaculaire ». « J’ai fait des prévisions depuis le début des années 50. J’étais aussi mauvais alors que maintenant ».
C'est le mea culpa d'Alan Greenspan, l'ancien chef de la Réserve Fédérale Américaine (Fed) de 1987 à 2006.
Les nouveaux campeurs apprécieront… et le bonhomme rajoute en guise de bonne année, comme si ça ne suffisait pas, que « quelque chose d’inattendu » va bientôt se produire et que ça nous « mettra par terre ».
Préparez vos sacs de couchage : L'abbé Pierre disait qu'il suffit de trois jours pour devenir un SDF convaincant. Quel que soit le point de départ, cadre sup overbooké, smicard surexploité ou chômeur avéré, marié/deux enfants ou célibataire notoire. Trois jours seulement. En France, plus de 100 000 personnes sont devenues SDF. Il reste des places disponibles

Poudre aux yeux :Vidéo sdf à voir absolument
Etats-unis :personnes sans logement
Le capitalisme est une farce cosmique mise en scène par des gangsters ventriloques qui autorisent des banquiers fauchés à prêter le fric qu'ils n'ont pas en caisse à des couillons qui passent leur vie à trimer comme des forcenés pour rembourser des dettes virtuelles. Cette farce contribue à l'édification d'une immense pyramide de dettes, appelée monnaie de singes.
Publié 10 octobre 2008
…la crise n'est pas le problème, elle est le mode normal de fonctionnement du capitalisme. Le scénario est toujours le même : des mecs qui ont l'argent et qui avec, veulent en gagner toujours plus, des montages financiers qui reposent sur du vent, l'emballement de la machine, le mythe de la croissance infinie dans un monde parfaitement fini, la prédation de tous contre tous, la montée des inégalités, le déferlement de la misère, encore plus de concentration de pouvoir et d'argent, le blanc-seing des politiques à cette curée hargneuse, la collaboration féroce des porte-flingues, des traîtres à leur classe, des sans-grade qui prennent les strapontins pour des marches-pieds, des politicards qui vont à la soupe avec la même avidité qu'ils envoient leurs électeurs benêts à l'équarrissage, et au bout du compte et des mauvais calculs, le château de cartes s'effondre sur la piétaille pendant que les nantis organisent la faillite des nations pour se refaire avant le prochain tour de poker menteur…
http://blog.monolecte.fr/post/2008/10/09/Ceci-n-est-pas-une-crise
Le sens profond de la crise boursière actuelle échappe à la majorité d’entre-nous. Beaucoup pensent que c’est bien fait pour les riches qui y ont perdu entre 20 et 50% de leur argent. C’est vrai, mais l’argent perdu ne l’est pas pour tout le monde. Il est allé dans la poche des super riches qui ont préparé la crise et l’ont déclenchée au bon moment.
La création de la réserve fédérale américaine en 1913 a permis à un groupe restreint de banquiers internationaux de s’approprier le pouvoir de l’argent. En s’arrangeant pour inciter à la création de déficits, ils les ont financé en imprimant de l’argent à partir de rien, et touchent les intérêts exonérés d’impôts sur leur intervention. Guerres et crises économiques sont toujours à l’origine de déficits, véritables aubaines pour la FED, ou plutôt pour les douze banques privées qui la composent, puisque la réserve fédérale n’a aucune réserve et n’est pas fédérale.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article8378
Publié 15 octobre 2008
” Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin. “
Henry Ford.
Derrière les chiffres, les graphiques et les abstractions, une poignée d'hommes en chair en os agissent. Leurs cerveaux échafaudent les plans par lesquels ils défendent avec ténacité, et de génération en génération, des intérêts privés au détriment des intérêts des nations.
La crise financière actuelle n'est incompréhensible que pour ceux qui ne veulent pas savoir.
http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/mariali/picrochole/conspirateurs/conspirateur.htm

La monnaie que nous employons est basée sur notre futur travail que les gouvernements (politiciens) ont promis aux banquiers.
Publié 18 octobre 2008
Le sens profond de la crise boursière actuelle échappe à la majorité d’entre-nous. Beaucoup pensent que c’est bien fait pour les riches qui y ont perdu entre 20 et 50% de leur argent. C’est vrai, mais l’argent perdu ne l’est pas pour tout le monde. Il est allé dans la poche des super riches qui ont préparé la crise et l’ont déclenchée au bon moment.
La création de la réserve fédérale américaine en 1913 a permis à un groupe restreint de banquiers internationaux de s’approprier le pouvoir de l’argent. En s’arrangeant pour inciter à la création de déficits, ils les ont financé en imprimant de l’argent à partir de rien,
et touchent les intérêts exonérés d’impôts sur leur intervention. Guerres et crises économiques sont toujours à l’origine de déficits, véritables aubaines pour la FED, ou plutôt pour les douze banques privées qui la composent, puisque la réserve fédérale n’a aucune réserve et n’est pas fédérale.
http://www.oulala.net/Portail/article.php3?id_article=3672
Si le crédit est une chose bien commune, son fonctionnement est des plus complexes.
Le problème tient au fait que les quelques personnes qui comprennent le système du crédit sont, soit tellement intéressées par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts.
Maurice Allais, prix Nobel d’économie en 1988
Publié 27 janvier 2009
“Le jeu du commerce est un jeu que seuls les Banksters peuvent gagner. Ils ne peuvent pas perdre ; ils ont forcé tout le monde à jouer et ils nous conduisent à une dette à laquelle nous ne pouvons pas échapper. USA/CA/EU, en tant que sociétés en faillite, sont possédées complètement par ses créanciers – les banquiers. Ils possèdent les médias, le gouvernement, l’éducation, la religion, tout ; si vous avez un acte de naissance, ils le possèdent aussi. Ils contrôlent chaque transaction ; ils contrôlent ce qui se passe dans le monde ; ils ont même le contrôle de la marionnette sur laquelle le monde rejette la responsabilité de la terreur et de la menace de guerre. Aimez-vous les résultats de ce contrôle ? Appréciez-vous le jeu ? La seule manière de gagner le jeu du commerce c’est de ne pas y jouer. Nous ne sommes pas fait pour fonctionner dans le commerce ; ils nous ont dupés et ceci dans leur propre intérêt. N’y a-t-il pas quelque chose que nous préférerions faire ?Que font les banques avec ce crédit que nous avons créé en signant des reconnaissances de dettes ? Elles le prêtent. Les banques ne sont pas autorisées à prêter leur argent ou leurs capitaux ; il leur est seulement permis de prêter du crédit – crédit que NOUS avons créé.

Aujourd’hui les banques facturent des frais de service à tout le monde et pour toutes les transactions et la plupart des personnes déclarent que cela est tout à fait normal. Quand je vous paie $50 pour un service que vous m’avez-vous fourni, puisque je vous paye avec des fonds qui ont été empruntés, et sur lesquels un intérêt court, comment l’intérêt peut-il être remboursé ? Si je vous emprunte votre voiture, comment est-ce que je peux vous rapporter plus que votre voiture que j’ai elle-même empruntée ? Cela n’est pas possible. Chaque transaction nous plonge dans une dette qui n’EXISTE PAS, excepté dans les esprits des Banksters. La seule manière pour nous de gagner c’est de ne pas jouer. Gagner et/ou utiliser les billets des banksters, c’est un cercle vicieux qui se refermera sur nous. Il n’y a aucune solution possible à moins qu’on ne cesse simplement toute transaction, c.-à-d. : qu’on sorte du jeu du commerce. Nous ne pouvons pas gagner en accumulant plus de ce qui nous appauvrit. Ce qui est plus important que cette prétendue dette à laquelle nous ne pouvons pas échapper, ce sont les répercussions émotives et spirituelles des circonstances créées par ce cercle vicieux, qui d’ailleurs sont intentionnelles. Quelle meilleure manière de contrôler des personnes que de les appauvrir ? Un seul moyen – les maintenir dans la CRAINTE de la pauvreté.”
http://www.bankster.tv/bankster.htm
Publié 24 janvier 2009 dans Les mensonges économiques 0 Commentaires
Guerre contre les microbes. Guerre contre les insectes. Guerre contre les Palestiniens. Guerre contre les Irakiens. Guerre contre les SDF. Guerre contre les drogués. Guerre contre la liberté. Guerre contre les dealers qui n'ont pas de pharmacie. Guerre contre les chômeurs. Guerre contre les pauvres. Guerre contre les différences. Guerre contre la fête. Guerre contre le partage. Guerre contre le dialogue. Guerre contre la diversité. Guerre contre les traditions. Guerre contre les fumeurs. Guerre contre les intellectuels. Guerre contre l'intelligence. Guerre contre la diversité. Guerre contre la concurrence. Guerre contre la marginalité. Guerre contre la fraternité. Guerre contre la culture. Guerre contre le sexe libre. Guerre contre l'alcool. Guerre économique. Guerre contre le hasard. Guerre contre la lenteur. Guerre de l'information. Guerre contre les animaux. Guerre contre les plantes, dangereuses concurrentes gratuites.

Les vendeurs d'armes, qui fabriquent aussi des journaux (la propagande) en temps de paix, ont besoin d'ennemi pour que les affaires marchent correctement :
- Hier, c'était le méchant Soviétique, aujourd'hui c'est le méchant Islamiste pas assez «moderne» (Iranien, Palestinien, Irakien, Afghan).
- Le méchant microbe de la nature qui va vous tuer si vous n'êtes pas vacciné (la nature c'est sale, il faut la nettoyer).
- Le méchant insecte qui va détruire les récoltes, qu'il faut donc tuer, au lieu d'utiliser le génie de la nature.
- Le méchant fumeur qui fume des plantes (le tabac) qui va vous tuer, il faut donc l'exclure.
- Le méchant buveur qui boit des plantes (la vigne) et va vous tuer, il faut l'exclure.
L'eugénisme d'Adolf n'est en aucun cas mort, il a simplement changé de nom et de visage. L'uranium appauvri permet de détruire les populations, les animaux et les plantes, par le cancer et la transformation génétique. C'est une arme idéale pour pouvoir ensuite vendre de la chimie qui va réparer, très mal, ce que le cartel de l'armement a détruit. Surtout, ce type de bombes permet de détruire, à petit feu, les facultés d'un concurrent des cartels qui est gratuit : la nature. L'uranium appauvri facilite la prise de contrôle de l'agriculture d'un pays, car les graines contaminées peuvent être remplacées par les graines du cartel. Les OGM ont été imposés à l'Irak, dès la fin du conflit, par les Américains.

Les pesticides et les herbicides permettent le même type d'action destructrice sur les échos systèmes et sur les sols, qui permet d'affaiblir la concurrence déloyale de la nature. Les OGM permettent aux cartels (pétrole-chimie-pharmacie-agroalimentaire) de tuer toute concurrence dangereuse. L'Agent Orange de Monsanto au Vietnam n'est que la version plus puissante de ce que Monsanto vend habituellement. L'uranium appauvri est le frère jumeau de sa version non-militaire, la centrale nucléaire. La voiture est la suite du char d'assaut, en temps de paix. Le Zyklon B des camps de concentration est le miroir de la chimie actuelle vendue par IG Farben (Bayer, BASF, Hoechst devenu Sanofi).
En France, malgré les discours, seulement 3 % de la production agricole est biologique…
Tant que vous croirez qu'il faut combattre des ennemis, les vendeurs d'armes (pétrole, chimie, pharmacie, armement) pourrons faire prospérer la maladie et la mort avec le soutien des politiques et votre bénédiction.
Conférence de presse à l'occasion :
- du lancement de la plateforme collaborative Colibris. http://sathyadas2.blogspot.com/2009/01/lancement-de-la-plateforme.html
Publié 19 février 2009
”Nous sommes dans la décadence…
“Sur quoi se fonde l'avenir de cette société marchande? Sur la consommation. Tant que les hommes préfèreront acheter leur biens plutôt que les produire, tant qu'ils préfèreront se laisser enivrer par le chant des publicitaires plutôt qu'écouter leurs besoins réels, les hommes seront condamnés à se lever tous les matins, et à vendre leur temps unique de vie à un propriétaire pour en tirer les subsides nécessaires… Tant que les hommes croiront effectivement (consciemment ou non) qu'il faut travailler plus, pour gagner plus, pour consommer plus, pour vivre mieux, rien ne changera et l'emprise du capital sur la vie des individus ne fera que s'étendre… leur vendant toujours plus ce qu'il leur a volé! “
Extraits du documentaire de J-M. Carré, “J'ai (très) mal au travail”…


Publié 15 mars 2009
“Avec la crise internationale déclenchée à l’été 2008, tous les dogmes néolibéraux ont été battus en brèche et la supercherie qu’ils représentaient a été mise à jour.
Ne pouvant nier leurs échecs, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI) prétendent avoir abandonné les politiques néolibérales connues sous le nom de « consensus de Washington ». Bien que discréditées, ces institutions profitent pourtant de la crise internationale pour revenir sur le devant de la scène.
Pendant des décennies, elles ont imposé aux forceps des mesures de déréglementation et des programmes d’ajustement structurel qui ont conduit immanquablement à l’impasse actuelle. C’est un réel fiasco pour le FMI et la Banque mondiale qui doivent maintenant répondre de leurs actes devant l’opinion publique mondiale.

De surcroît, leurs prévisions économiques ne sont pas fiables : en novembre 2008, le FMI pronostiquait une croissance mondiale à 2,2% pour 2009, avant de la revoir à la baisse à 0,5% en janvier, puis de l’estimer finalement négative en mars. En fait, leurs experts défendent la cause des grands créanciers face aux citoyens dont les droits fondamentaux sont de moins en moins garantis.
Alors que la situation économique se détériore rapidement, les grands argentiers du monde s’efforcent de garder la main et de donner à un FMI discrédité et délégitimé le rôle du chevalier blanc qui va aider les pauvres à faire face aux ravages de cette crise.
Or c’est tout le contraire qui se passe…”
http://www.cadtm.org/spip.php?article4219

Les banques privées créent 92% de la monnaie en circulation…sur ordinateur.
Cette monnaie est électronique, des chiffres et des lettres créés sur écran,