2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 15:23

 


 


Ils nous mettent des virus dans la tête. Après la bulle financière voici la bulle pandémique, un puissant outil de manipulation des consciences et des inconscients collectifs ! Et le pire, c’est que finalement tout le monde joue le jeu. Les médias officiels de la désinformation, c’est normal, on a l’habitude, ils servent la cause de leurs propriétaires qui font partie des plus gros Profiteurs de la planète, par contre quand les médias alternatifs d’information s’y mettent aussi et en remettent et surenchérissent, là il y a un vrai problème.



Il faut que cela cesse, que chacun reprenne ses esprit et plutôt que de contribuer à la diffusion  pléthorique et paranogène d’informations contradictoires, c’est un travail d’analyse et de investigation qu’il faut mener maintenant. Parmi la population, la peur est palpable et car cela  est dangereux et fait le jeu des aspirants maître sdu monde. Des masses effrayées sont malléables et soumises.  Il faut donc arrêter cette inflation hybride d’information et de désinformation et se recentrer sur les questions essentielles.


Comment la recombinaison (si opportune pour certains) de trois virus différents a-t-elle pu s’opérer alors que dans la nature ce phénomène est rarissime et ne pourrait se produire que sur des échelles de temps extrêmement longues ? Il semble que les désastreuses conditions des élevages industriels puissent être incriminées : proximité, manque d’hygiène et une alimentation dont la composition défie l’entendement : huiles et déchets d’élevages recyclés et des recherches (interdites par Monsanto) menées par de nombreux éleveurs qui ont vu la santé de leurs animaux  se dégrade,r leur fertilité décroître fortement, mettre au monde une progéniture mal formée montrent que l’on peut incriminer le rôle néfaste de l’alimentation OGM.


Une autre hypothèse est liée aux accidents de laboratoires qui ont été publiquement révélés. Y en a-t-ils eu d’autres? Comment est-il possible que de tels accidents puissent avoir lieu de manière récurrente ? Faut-il incriminer des négligences coupables de la part des sociétés pharmaceutiques dont les produits sont de moins en moins fiables : durée des tests insuffisantes, fraude de ceux qui les pratiquent, pressions sur le personnel de la FDA, organisme officiel chargée de d’autoriser la commercialisation médicaments. Faut-il se rallier à la théorie qui met en cause la volonté avouée par certains oligarques de réduire drastiquement la population mondiale et voir dans la menace actuelle de pandémie une concrétisation de ce dépeuplement annoncé ?


A qui profite le crime ? Que la pandémie se déclare ou non, certains vont, avec cette crise de panique internationale généralisée, réaliser de fabuleux bénéfices. Ce sont bien sûr les sociétés pharmaceutiques, ceux qu’on appelle parfois Big Pharma, d’autant plus que celles-ci détiennent des stocks énormes d’un antiviral le Tamiflu qui fut préconisé lors de la précédente panique pandémiaire, celle de la grippe aviaire, dont il faut rappeler qu’elle fit un grand flop, non sans avoir coûté des centaines de milliards de dollars aux gouvernements qui prirent des mesures préventives. Deux questions se posent concernant le tamiflu. D’une part il provoquerait de dangereux effets secondaires, d’autre part certains virus développent des sources résistantes qui le rende inefficace.












Les vaccins sont également mis en question. Par des médecins, par des victimes ou des familles de victimes de leurs effets secondaires. Depuis ceux qui remettent en question le principe même de la vaccination jusqu’à ceux qui remettent en question la fiabilité des vaccins mis en circulation en passant par d’autres qui jugent inopportune la multiplication de vaccins imposés aux nouveaux nés et aux jeunes enfants dont le système immunitaire est en formation. Et n’oublions pas ceux qui prétendent que certains vaccins sont volontairement rendu pathogènes de manière à éliminer des populations ciblées.


J’ai compulsé une série impressionnante d’articles dans la prolifération actuelle, j’ai fini avec la grosse tête tant leur contenu sont contradictoires, à la fois entre las partisans de théories différentes mais aussi dans l’évolution chronologique du discours. Les chiffres publiés jusqu’à jeudi donnent l’impression que des dizaines de personnes sont déjà mortes des suites de cette grippe et que des centaines d’autres doivent se préparer à recevoir l’extrême onction. Et puis soudain coup de théâtre, jeudi l’OMS annonce que seuls huit décès peuvent être attribués avec certitude au nouveau virus, pourtant les chiffres les plus fantaisistes continuent à être avancés par les journalistes répandant la panique.


J’ai donc dégagé quelques questions essentielles qui mériteraient de faire l’objet d’une rigoureuse analyse contradictoire ? Ce site n’est pas un site d’actualité, il y en a suffisamment de site d’informations de qualité qui suivent l’information au quotidien avec l’intelligence, la rigueur et le professionnalisme de bons journalistes, je ne vois pas ce que je pourrais amener de plus dans ce domaine.


Mais cette fois, j’ai décidé d’intervenir sur ce sujet brûlant car tout le monde s’emballe là, publie tout et n’importe quoi, et il devient très difficile de s’y retrouver. Reprenez-vous les gars, ce sujet est crucial pour l’évolution des inconscients collectifs. Il y a un travail difficile de dépouillement et d’analyse à faire pour remettre les horloges à l’heure. Peut-être faudrait-il un partage du travail vu la quantité de matière à examiner ? Je ne sais qui pourrait se charger de ce boulot, mais il est urgent qu’il soit fait : les gens ont peur, sans doute sans raison.


Et s’il y a des raisons d’avoir peur, alors il faut faire pression dur les responsables sanitaires car aucune mesure responsable n’est prise pour éviter que l’épidémie progresse. Et se poserait alors la question du traitement, il serait malvenu que, comme cela s’est déjà produit par le passé, le remède s’avère plus fatal que les maux qu’il est censé guérir. Il faudrait alors une information de qualité pour éviter que les populations acceptent n’importe quel traitement ou se voient vaccinées de gré ou de force.


J’essayerai dans la mesure de mes moyens (temps et capacités) de répondre à certaines des questions que je pose ici. J’espère qu’elles feront écho et que d’autres chercheront de leur côté.


Je nous souhaite à tous de vivre heureux, longtemps et en bonne santé.



Anne


 

Ps du dimanche 3 mai 2009 : vous trouverez dans mes pages de résistancel à la désinformation deux articles  antidotes au "virus dans la tête" publiés par l'Observatoire de la Mondialisation

 

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commentaires

M
J'aime bien votre blog, je crois que je m'y retrouve, c'est pourquoi j'y met quelques commentaires.<br /> Philippe
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A
<br /> Cela fait plaisir à lire, Philippe et j'apprécie tes commentaires. Ils m'obligent à réfléchir, à me poser des questions sur ce que j'écris. J'aime bien ça.<br /> Anne<br /> <br /> <br />
M
Le père Pédro est un homme qui donne sa vie pour les plus démunis à Madagascar, il vient en aide aux enfants qui sont à la recherche de plein de choses à revendre sur les décharges. Aujourd'hui grace à l'aide internationale il a fait construire une ville mais également donné du travail à beaucoup de personnes, il fait en plus du commerce équitable en faisant prendre conscience aux habitants que la forêt est essentielle. Voici le lien : http://www.perepedro.com/fr/index.html
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A
<br /> Merci pour le lien.<br />  Anne<br /> <br /> <br />
M
Le monde peut il changer ? oui, Il suffit d'un peu de courage, "beaucoup" pour établir un monde meilleurs : le père Pédro en est une belle illustration.
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A
<br /> Qui est le père Pédro ?<br /> J'ai souvent constaté dans ma vie que le moment qui demande du "courage", c'est celui du choix. Abandonner les balises pour aller de l'avant ne va pas sans une certaine apréhension. Après vient le<br /> plaisir de la découverte, on en oublie presque ce qu'il nous a fallu de "courage" pour franchir le seuil. S'il ne faut pas se battre en permanence contre des expulsions et harcèlements divers,<br /> construire un monde meilleur, cela me paraît une belle et exaltante aventure.<br /> Merci pour tes commentaires.<br /> Anne<br /> <br /> <br />
M
Personne ne nous oblige à subir, nous sommes tous capable de changer le monde : être acteur de sa vie...
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A
<br /> Je te réponds en copier-coller d'une partie de réponse à un autre de tes commentaires :<br /> Etre acteur ? Oui mais, alors en étant coauteur de l'histoire, avec  la contingence comme partenaire.<br /> <br /> <br />
M
Le monde change change mais l'homme restera toujours ce qu'il est.... un individualiste.
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A
<br /> Voilà ma réponse, tu peux la trouver dans parole de femmes,...:<br /> Sauvage est un mot qui me parle de beauté. Là-haut dans la montagne, ils<br /> m’appelaient la « salvaje », la sauvage et j’aimais bien car je savais ce que civilisé à l’occidental peut contenir de mesquinerie, de dévitalisation, de déshumanisation, d’apologie de la haine.<br /> J’en avais fini avec le mythe du progrès. Je n’avais pas encore compris ce que les horreurs du 20ème siècle avait de concerté, de programmé, de volontaire, mais je savais par contre que si<br /> l’humanité survivait aux conséquences des désastres produits par l’occident universaliste triomphant, ce siècle apparaîtrait comme la genèse de l’horreur absolue : celle de « l’ Homme » détruisant<br /> l’humanité en gestation.Aujourd’hui j’en sais trop,<br /> je ne crois pas que je pourrais jamais retrouver cette vie de plénitude sereine de fille des bois sans que se rappelle à moi la destruction organisée de notre monde. Mais ce qui motive avant tout<br /> mon combat, c’est la survie de la vie sauvage. Une vie où même les mots proie et prédateur participent de la survie et n'ont pas le sens comme c’est le cas avec les Hommes, de la destruction de<br /> toute vie, de toute tendresse, de toute compassion sur la planète. Mais je ne suis pas un Homme, je suis une humaine,…<br /> <br /> Anne<br /> <br /> <br /> <br />
D
Je me suis posée nombre de questions moi aussi, et toujours reviennent dans ma tête danser des chiffres. Car tout sur cette planète en dérive est sacrifié au Dieu: profit.....<br /> Humains, animaux, plantes,etc.... enfin tout ce qui est vivant est sacrifié sur cet autel...
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Gilles Deleuze, février 1977.

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