26 avril 2020 7 26 /04 /avril /2020 18:41

 

En 2019, les USA ont apporté 893 millions de dollars à l’OMS, le second bailleur de fond, la Fondation Bill et Melinda Gates 531 millions, suivent le Royaume Unis avec 392 millions et GAVI (The Vaccin Alliance) 371 millions ; viennent ensuite l’Allemagne, la Chine et la Russie avec respectivement 231, 76 et 28 millions de dollars.

Gavi est une organisation public/privé de promotions de la vaccination universelle fondée en 1999 à l’initiative de Bill Gates qui lui fait un premier don de 750 millions de dollars . Y participent l’OMS, l’UNICEF, la fondation des Gates et l’industrie pharmaceutique.

Quand on voit ces chiffres une première constatation saute aux yeux, alors que l’OMS est présentée comme l’organisation internationale censée veiller sur la bonne santé de l’humanité, des organisations privées qui ne représentent que leurs propres intérêts et ceux de leurs alliés, y jouent un rôle déterminant. Le monde ne dispose donc pas d’une organisation mondiale qui serait le lieu où les gouvernements des pays (en principe représentatifs de leurs populations respectives) de la planète s’organisent pour faire face aux problèmes de santé mondiale ou organiser les solidarités avec les pays et régions connaissant des problèmes spécifiques.

Vous trouverez plus de détails dans le documentaire qui suit L’OMS dans les griffes des lobbystes

L’actuelle pandémie est la première crise de santé globale que doit affronter l’humanité. Il semble fort probable que ce ne soit pas la dernière. Cette pandémie avait été annoncée et décrite comme très probable dans de multiples rapports d’anticipation et gestion de populations, certains d’une redoutable précision a priori, ceux la Fondation Rockefeller en 2010, du Pentagone dès 2003 il me semble, par Bill Gates en 2015 et bien d’autres et rien n’a été fait pour s’y préparer de manière effective.

 

Au contraire nous avons vu l’OMS formulant dans l’urgence des directives qui impliquaient non seulement une restriction de nos droits à décider librement de la manière dont nous prenons soin de notre santé, mais ces directives impliquent aussi des choix politiques, économiques et culturels imposés à l’humanité, des atteintes à des droits considérés jusque-là comme fondamentaux. Ce en quoi elle agit comme une sorte de super-expert dirigeant mondial incontestable donnant aux gouvernements des directives qu’ils étaient sommés de suivre sous peine de se voir rejetés par la « communauté internationale » pour une présumée irresponsabilité aux conséquences transfrontalières.

 

 

A présent quelques semaines après l’alerte générale et la prise de mesure qui a réduit au confinement des milliards de personnes nous pouvons prendre un peu de recul critique pour évaluer l’efficacité de ces mesures. En termes de lutte efficace contre les progrès de la pandémie, mais également en termes de conséquences émergentes, bien que pour évaluer la gravité ces dernières il faudra plusieurs années. Et aussi comme modification irréversible de l’ensemble de nos modes de vie. En quel sens ?

 

Ce sens à venir, il dépend de chacun d’entre nous. Il dépend de la responsabilité que nous prendrons – ou non – de nous donner les moyens de participer aux décisions à venir, et de le faire en personne bien informée.

 

Et pour commencer, il s’agit de comprendre un peu mieux ce qu’est l’OMS, qui sont ces « influenceurs » principaux, en fonction de quelle idéologie font-il leurs choix et pour le bien de qui ?

 

Anne W

 

 

 

 

 

 

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17 septembre 2015 4 17 /09 /septembre /2015 22:52
Les médicaments contre la santé publique. Sociétés pharmaceutiques et lobbying

Alors que j’enrage de voir des amis se bousiller la santé à coup de médicaments généreusement prescrits par des médecins devenus agents commerciaux des sociétés pharmaceutiques sans trop de discernement, plusieurs quotidiens et autres sites publient les données relatives au lobbying pratiqué par les Sociétés pharmaceutique auprès de la Commission Européenne à Bruxelles. Dans celui publié par le journal le Monde, Un rapport pointe l’influence excessive du secteur pharmaceutique à Bruxelles, nous apprenons que le budget annuel (déclaré) consacré à cette activité qui s’apparente à la corruption atteindrait (pour 2015 ? ce n’est pas précisé) un montant de 40 millions d’euros, un montant officiel qui a cru de 700% depuis 2012.

Ce budget sert à faire tomber les barrières réglementaire qui freineraient ou empêcheraient la mise sur le marché de certains nouveaux médicaments, en rémunérant quelques 176 lobbyistes chargés d’obtenir pour les représentants de ces sociétés des réunions avec les plus hautes instances européennes concernées, les Directions générales de la Santé, Recherche et Développement, Commerce, Croissance,… Une cinquantaine de réunions se seraient ainsi tenues depuis décembre 2014, permettant à ces sociétés de faire passer des textes à la mesure de leurs intérêts.

Le texte se conclut en faisant remarquer qu’aux EU, ces mêmes compagnies vont jusqu’à financer des partis politiques. Une pratique qi si elle n’existe déjà en Europe ne saurait tarder à entrer en vigueur.

A cela je vais ajouter quelques petites remarques qui montrent que les opérations de propagandes des grandes firmes pharmaceutiques ne se bornent pas à exercer une influence sur la Commission Européenne. Elle en exerce directement sur les médecins, qui se voient offrir des cadeaux parfois somptueux par ces sociétés qui les invitent également à des séminaires et conférences dans des endroits de luxe. Donc le terme généreux dont je qualifiais ces médecins est un peu usurpé, qualifiant plus la quantité de substance prescrite que la conscience des médecins. Quels budgets sont consacrés à ces méthodes de subornation ?

Un autre budget qui doit être assez pharamineux est celui que ces compagnies consacrent à la publicité. La télévision ne fait vraiment pas partie de mon univers, sauf dans des périodes comme celle actuelle où je suis hébergée des amis chez qui elle fonctionne quasi en permanence. Non seulement je suis frappée par la quantité de publicité diffusée, mais aussi à l’intérieure de celles-ci par le grand espace occupé par des publicités consacrées à des productions pharmaceutiques. Ce qui conduit aussi des personnes à pratiquer des automédications douteuses.

Ainsi l’autre jour, alors que je souffrais de maux d’estomac, un ami bien intentionné voulait absolument me faire prendre un anti-inflammatoire bien connu pour en provoquer. Non merci, lui dis-je, je ne prends pas de médicaments. J’ai eu beau exhiber la notice indiquant que les maux d’estomac font partie des effets secondaires que peut provoquer ce médicament, il n’en démordait pas.

Je me suis fait un bon bol de flocon d’avoine et mes maux d’estomacs ont disparus. Si je laisse un peu aller les choses, je me composerai quelques menus à base d’aliments qui retapissent l’estomac et le tour est joué, sans ’effets secondaires, alors que la plupart des médicaments en provoquent.

J’ai lu quelques textes rapportant des scéances de la Commission Européennes qui visent à m’interdire ce genre de pratiques pour me protéger contre moi-même. J’ai appris par d’autres sources que les Sociétés Pharmaceutiques font également pression sur la Commission pour qu’elle dénigre ou interdise l’usage de plantes médicinales et autres recettes de grand-mère. N’empêche, je tiens une bonne partie de celles que j’utilise et qui m’ont maintenue en bonne santé jusqu’ici de ma grand-mère qui était veuve… de médecin.

De ce que je peux constater autour de moi, les effets iatrogènes des prescriptions médicamenteuses sont de loin supérieurs à leurs effets bénéfiques, mais cela les compagnies pharmaceutiques s’en fichent ou au contraire s’en réjouissent puisque leur but n’est pas de guérir les patients mais bien de réaliser les plus grands profits possibles en conquérant toujours d’avantage de nouveaux marchés. Ceux conséquences d’effets secondaires, tertiaire, quaternaire,… étant particulièrement rentables.

Bref une véritable opération d’empoisonnement massif des populations.

Et cela marche…

Anne

 

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Gilles Deleuze, février 1977.

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