19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 09:35

 

 

 

 

 

 

  

 

 

Rockefeller lors d’un repas avec des ambassadeurs de l’ONU :

Nous sommes au bord d’une transformation globale ? Tout ce dont nous avons besoin c’est d’une grande crise et  les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial 

 

 


 

Extrait du livre GOUVERNEMENT MONDIAL de Esteban Cabal 

 

KAOSENLARED.NET – L’objectif principal de ces sagas de banquiers internationaux David Rockefeller, un de ces principaux représentants, l’a parfaitement énoncé :

« Ce dont il est question, c’est de substituer à l’autodétermination nationale, qui s’est pratiquée pendant des siècles, par le passé, la souveraineté dune élite de techniciens et financiers mondiaux »

 

David Rockefeller fut le conspirateur mondial par excellence, le Roi des cénacles occultes. Sous ses ordres ont travaillé les agents secrets de la CIA, le MI6, le Mossad et en particulier Interpol, qui est son œuvre.

Aucun moyen de communication de masse ne se risquera jamais à révéler les plans secrets de Rockefeller et ses amis. Ils garderont toujours un silence suspect autour des activités secrètes des dynasties de banquiers nord-américains : les Morgan, les Davison, les Harriman, les Khun Loeb, les Lazard, les Shiff  ou les Warburg et bien naturellement les Rockefeller.

En 1991, en référence au rapport du Centre pour le Développement Mondial, David Rockefeller confessa : « Nous sommes reconnaissants envers le Washington Post, le New York Times, le revue Times et autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté leurs promesses de discrétion (silence) pendant presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de dérouler notre plan pour le monde si nous avions été objet de publicité pendant toutes ces années. »

 

L’excentrique et prétendument philanthrope David Rockefeller, qui a presque un siècle de vie, est sans doute le personnage le plus trépidant et controversé de cette caste usurière à laquelle nous nous référons. Bientôt, quand les journaux annonceront son décès, nous aurons l’occasion de connaître sa biographie insolite. Nous découvrirons des données qui nous ferons tomber à la renverse.

 

Le fondateur de la dynastie Rockefeller était le grand-père de David, nommé John Davison Rockefeller, descendant de juifs allemands arrivés aux E.U. en 1733. Conjointement avec la saga des Morgan et le groupe bancaire Warburg-Lehman-Kuhn Loeb, ils constituent le triumvirat ploutocratique du nommé Eastern Establishment. Son empire économique se généra pendant les années de la Guerre de Sécession (1861-1865) où s’affrontèrent les grands propriétaires esclavagistes du Sud avec les commerçants et industriels du Nord et qui se solda par 600 000 morts.

Les grands gagnants de cette guerre furent  4 familles oligarchiques, les Vanderbilt, les Carnegie, les Morgan et les Rockefeller, qui bénéficièrent du conflit comme fournisseurs de biens et de services et augmentèrent leur empire économique ensuite avec la concentration monopolistique qui succéda aux hostilités, arrivant à contrôler en 1880 les 95% du pétrole nord-américain.

La fortune des Vanderbilt se dilua dans le temps, celle des Carnegie passa en partie en succession aux Morgan, et celle des Rockefeller se dispersa entre les nombreux et mal avenus descendants du vieux John Davidson, pétrolier et banquier, fondateur de la Standart Oil et de la Chase National Bank, qui plus tard s’appellera Chase Manhattan Bank dont le siège emblématique à New York fut le premier édifice construit à Wall Street.

La Chase se convertit en pilier central du système financier mondial, devenant la Banque principale des Nations Unies, et parvint à avoir 50 000 succursales réparties dans le monde entier. Les présidents de la Banque Mondiale John J. McCoy, Eugène Black et Georges Woods, avaient travaillé pour la Chase antérieurement. Un autre président, James D. Wolfensohn fut également directeur de la Fondation Rockefeller.

David Rockefeller, le plus connu de la saga, est le petit-fils du mythique John Davidson Rockefeller et fils de John D. Rockefeller junior qui épousa la fille de Nelson Aldrich, leader de la majorité républicaine au Sénat et qui fut connu comme « gérant de la nation ». La mère de David était une amoureuse de peinture et à son initiative fut construit le Musée d’Art Moderne (MOMA) de New York situé dans la villa dans laquelle naquirent David et ses frères.

David, le plus jeune de six frères, tous déjà décédés, eut lui-même 6 fils et 10 petits-fils qui joints au fils et petits-fils de ses frères forment l’actuel clan Rockefeller.

David Rockefeller (Gch), banquier et pétrolier comme son père (Dr) et son grand-père travailla dans les services secrets pendant la seconde guerre mondiale et ouvrit le chemin pour la création de l’ONU en 1945, dont le siège principal se trouve sur un terrain dont il fit don à (la ville de) New York. Il a côtoyé les principaux mandataires du 2Oème siècle. Il dirigea les lobbys les plus puissants du monde, comme le CFR, le Club de Bilderberg et la Commission Trilatérale.

 

En bons banquiers sans scrupules, les Rockefeller appuyèrent et financèrent les nazis allemands. Ils allèrent jusqu’à se permettre de réécrire l’histoire. La fondation Rockefeller investit 139 000 dollars en 1946 pour offrir une version officielle de la seconde guerre mondiale qui occulte la réalité concernant le patronage par les banquiers internationaux du régime nazi, qui obtint également les faveurs de leur entreprise la plus emblématique : la Standart Oil. Les initiatives de cette Fondation, qui a également financé des groupes comme les Hare Krishna ou les rosicruciens de AMORC, sont parfois surprenantes.

 

David est frère de celui qui fut Sénateur, Gouverneur de New York et vice-président des E.U. (sous Gérald Ford, après la démission de Nixon), Nelson Rockefeller qui hérita de son grand-père maternel la vocation politique.

En 1962 Nelson déclarait : « les thèmes d’actualité exigent à grands cris un Nouvel Ordre Mondial, parce que l’ancien s’effondre, un nouvel ordre libre lutte pour émerger à la lumière… Avant que nous ne puissions-nous en rendre compte, se seront établies les bases de la structure fédérale pour un monde libre ».

David Rockefeller a qui le président Carter offrit la direction de la Réserve Fédérale (qu’il déclina en faveur de son ami Volcker) s’entoura de lieutenants aussi puissants que Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Lord Carrington et Etienne Davignon qui méritent également d’être cités ici.

 

Abraham ben Elazar, plus connu comme Henry Kissinger, est considéré comme un des cerveaux du Nouvel Ordre Mondial. D’origine juive allemande, il commença comme conseiller de Nelson Rckefeller dans les années 50, occupa de hautes responsabilités dans l’Administration pendant les années 60 et 70, avec Kennedy, Johnson, Nixon et Ford. Il parvint à être vice-président des E.U. avec Ford, secrétaire personnel de Nixon, chef du Conseil National de Sécurité  et du Département d’Etat, et Ministre des Affaires Extérieures en différentes occasions.

Il a collaboré étroitement avec David Rockefeller et l’élitiste Conseil de Relations Extérieures, dont il fut président. Du CFR sont issus depuis tous les présidents des E.U. à l’exception de Ronald Reagan, dont l’équipe fut formée majoritairement pas des membres du CFR. Il appartient également à la Commission Trilatérale et au Club du Bilderberger et à d’autres organisations de l’orbite des Rockefeller. Sa compagnie de consulting Kissinger Associates a comme clients des Etats débiteurs et des multinationales créancières.

 

Le Polonais Zbigniew Brzezinski, marié avec une cousine de celui qui fut Président de la république Tchécoslovaque Edouard Benes, fut recruté par Rockefeller en 1971. Il parvint à être Conseiller de Sécurité Nationale du Gouvernement de Etats-Unis durant l’administration Carter, mais déjà auparavant il avait été nommé directeur de la Trilatérale, que lui-même a défini comme « la conjonction de puissance financières et intellectuelles la plus grande que le monde ait jamais connue ».

Il affirma que “la société sera dominée par une élite de personnes libres de valeurs traditionnelles qui n’hésiteront pas à réaliser leurs objectifs aux moyens de techniques épurées avec lesquelles ils influenceront le comportement du peuple et contrôleront la société dans tous les détails, jusqu’au point où il sera possible d’exercer une surveillance quasi permanente sur chacun des habitants de la planète ». A un autre moment, il dit ; « cette élite cherchera tous les moyens pour parvenir à ses fins politiques, comme de nouvelles techniques pour influencer le comportement des masses, ainsi que pour obtenir le contrôle et la soumission de la société ». Pas même George Orwell, auteur du terrorisant roman « 1984 » ne l’aurait mieux exprimé.

Dans une entrevue publiée par le New York Times, le 1er août 1976, Brzezinski affirma que de nos jours les Etats-nations ont fini de jouer leur rôle ». En certaines occasions il pronostique «le déclin des idéologie et des croyances religieuses traditionnelles ».

Brzezinski est un spécialiste des méthodes de contrôle social, ses essais publiés dessinent un horizon orwellien dans lequel Big Brother surveille et contrôle en permanence chaque individu. Il prédit l’existence de gigantesques bases de données dans les quelles seront emmagasinées d’immenses quantités d’informations sur chaque citoyen (comme celle que possède le renseignement espagnol à El Escorial, Madrid), l’installation massive de caméras de surveillance dans les rues et les édifices (ce qui est déjà un fait dans toutes les villes du monde), la généralisation des satellites espions d’une incroyable précision (comme ceux qu’usent les troupes des E.U. depuis la guerre du Golfe) et la mise en circulation de documents d’identités électroniques (comme le sont les passeports modernes et les cartes d’identité, qui contiennent une micro puce avec une abondante information au sujet de leur propriétaire).

.

La fascination de Brzezinski  pour la technologie appliquée au contrôle social cadre parfaitement avec les plans des élites ploutocratiques, qui ont déjà développé d’inquiétants gadgets comme les micro puces sous cutanées avec un localisateur qu’ils prétendent rendre obligatoires pour toute la population mondiale et qui se substitueraient en les unifiant, à tous les carnets d’identité, passeport, cartes de crédit, permis de conduire, cartes de sécurité sociale, etc., rendant possible la disparition de l’argent physique.

L’autre invention terrible que l’élite nous tient déjà prête a été conçue par la compagnie étasunienne Nielsen Media Research en collaboration avec le Centre d’Investigation David Sarnoff (organisme contrôlé par le CFR et la société Pilgrims). Il s’agit d’un dispositif qui une fois installé dans un téléviseur, permet d’observer et d’identifier depuis une station de contrôle les spectateurs assis face au petit écran. Ce dispositif évoque « l’œil qui voit tout », l’Horus égyptien qui  apparait sur les billets des dollars. « L’œil qui voit tout » n’est pas seulement un procédé littéraire du roman d’Orwell 1984. Il existe déjà des millions de caméras installées sur les routes, rues, entreprises et locaux publics, et des millions de webcam dans les foyers de tout le monde. Sans compter les modernes systèmes opératifs du monopole Microsoft, comme le Windows Media,  qui suivent sans arrêt tous nos mouvements à travers le réseau et permettent de lire notre courrier privé de Outlook, l’État de notre compte courant quand nous accédons à notre banque par le web, les mots clés que nous utilisons dans des moteurs de recherche comme Google et le contenu des pages que nous visitons sur Internet.

 

Lord Carrington dont le vrai nom est Peter Rupert, a été ministre britannique dans des gouvernements successifs, membre notable du RIIA (l’équivalent du CFR en Grande-Bretagne) et de la Societé Fabiana, Secrétaire Général de l’OTAN, dirigeant de la Barclay Bank et de l’Hambros Bank et, à partir de 1989, président du sinistre Club du Bilderberg.

 

Le quatrième lieutenant de Rockefeller et secrétaire Général du Club de Bilderberg est le vicomte Etienne Davignon. Son curriculum dit tout : président et fondateur de l’European Round Table (Table Ronde Européenne des Industriels, lobby européens des multinationales), ex vice-président de la Commission Européenne, Président de l’association pour l’Union Monétaire membre de la Trilatérale et du Centre d’Etudes Politique Européenne, ministre belge de l’Extérieur, président de Airholding, vice-président de Suez-Tractebel, administrateur de Kissinger Associetes,  Fortis, Accor, Fiat, BASFn Solvay, Gilead, Angl_American Mining, entre autre corporations.

 

Extrait du libre GOUVERNEMENT MONDIAL de Esteban Cabal

Traduction Anne Wolff 

Source espagnole : David Rockefeller: “Todo lo que necesitamos es una gran crisis..." | CONTRAINJERENCIA 

 

 

 

A lire également Les mensonges du capitalisme

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Anne Wolff
  • : Comprendre la globalisation, apprendre à y résister
  • Contact

Profil

  • Anne Wolff
  • Amoureuse de la vie, d'une fleur, d'un papillon, d'un arbre, du sourire d'un enfant, je m'oppose à tout ce qui conduit à la destruction systématique de ce que la nature a créé, de la vie, de la beauté du monde, de la tendresse et de la dignité
  • Amoureuse de la vie, d'une fleur, d'un papillon, d'un arbre, du sourire d'un enfant, je m'oppose à tout ce qui conduit à la destruction systématique de ce que la nature a créé, de la vie, de la beauté du monde, de la tendresse et de la dignité

No Pub

Malgré les publicités imposées dans sa nouvelles versions qui apparaissent sur ce blog,celui-ci reste un acte gratuit.

Recherche

Nouvelles formes du fascisme

"Le vieux fascisme si actuel et puissant qu’il soit dans beaucoup de pays, n’est pas le nouveau problème actuel. On nous prépare d’autres fascismes. Tout un néo-fascisme s’installe par rapport auquel l’ancien fascisme fait figure de folklore […].

Au lieu d’être une politique et une économie de guerre, le néo-fascisme est une entente mondiale pour la sécurité, pour la gestion d’une « paix » non moins terrible, avec organisation concertée de toutes les petites peurs, de toutes les petites angoisses qui font de nous autant de microfascistes, chargés d’étouffer chaque chose, chaque visage, chaque parole un peu forte, dans sa rue, son quartier, sa salle de cinéma."

 

Gilles Deleuze, février 1977.

Toutes Dernières Archives