Un reportage de Cash Investigation, qui produit d’excellents reportages, des enquêtes approfondies menées par des journalistes qui n’hésitent pas à poser les questions qui dérangent aux politiques, aux actionnaires de multinationales ou à leurs cadres. Excellent pour un confinement édifiant.
Si la pandémie de coronavirus n’est pas pure invention, ce qui laisse à désirer c’est la narrative construite autour de cette pandémie et relayée avec un bel ensemble par les grands médias planétaires.
En ce qui concerne le coronavirus nous avons pu voir une première phase totalement alarmiste qui donnait à ce virus un haut pouvoir de contagion, beaucoup à présent font marche arrière et revoient à la baisse ces statistiques affolantes. Non seulement la maladie n’a pas un taux de mortalité aussi élevé qu’annoncé dans des premières statistiques, mais le nombre de personne ayant une immunité naturelle serait bien plus élevé que celui projeté initialement. Et cela à l’heure où certains prétendent nous imposer la vaccination universelle. De quoi se poser des questions.
Avec Les vendeurs de maladie, nous ne sommes pas dans le même cas de figure mais dans la construction d’une narrative pour vendre une nouvelle molécule, un nouveau médicament en inventant littéralement la maladie que guérirait miraculeusement ce remède opportun. Pas sans effets secondaires.
De quoi nous donner (ou augmenter) des doutes quand à la « bienveillance » des sociétés pharmaceutiques envers leurs clients – les malades réels ou imaginaires.
Apprendre à déconstruire leur discours pour nous en protéger est une question de légitime défense, celle de notre santé.
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