25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 17:24

Ceci est une reprise, mais quand je vois les montruosités que certaines personnes même bien intentionnées peuvent sortir au sujet de Chavez et de la révolution bolivarienne, je pense que rien n'est mieux que de donner la parole au Maestro -) en personne.

 

 

 

http://www.puntofinal.cl/776/chavez776_1.jpg

 

 

Nous les militaires ne sommes pas là pour imposer des politiques de misère”

Première entrevue au Chili du commandant Chavez

 Le Comandant Chavez séjournait à l’hôtel Panamericanno de Santiago en octobre 1994. Le leader du soulèvement militaire de février 1992 avait passé deux années en prison. Au Chili aucun parti politique ne désira dialoguer avec lui et « Punto final » fut l’unique média à le rencontrer. 

Libéré de la prison ou il avait été enfermé pour avoir pris la tête du soulèvement militaire contre le gouvernement de Carlos Andrès Pérez, Hugo Chavez visita en 1994 quelques pays latino-américains, parmi eux le Chili. Sa visite passa pratiquement inaperçue (pour cette raison elle fut qualifiée ironiquement de “secrète”). En tout, l’ex commandant pu avoir une réunion avec un groupe de dirigeants, militants et sympathisants de Gauche, mené par l’historien Luis Vitale et le professeur Pedro Godoy. Punto Final fut l’unique média à avoir en cette occasion une entrevue avec Chavez.

Nous republions cette entrevue (PF 327) réalisée par Hernan Soto. Elle montre l’origine de beaucoup de choses et la capacité prédictive du leader vénézuélien, qui se projettera à l’échelle latino-américaine et même mondiale. Les plans qu’ébauchent Chavez vont être strictement accomplis. Sa pensée aussi va s’élargir et s’approfondir conduisant jusqu’à un nouveau socialisme sans perdre ses racines.

MOUVEMENT BOLIVARIEN

Comment le mouvement bolivarien organisé par des militaires prétend-il se convertir en instance de changement démocratique au Venezuela ?

« Son origine est dans le mouvement de jeunes officiers qui surgit lors du Bicentenaire de Simon Bolivar, confronté à la profonde crise économique mise en évidence par le dit « vendredi noir » de février 1983, alors que le pays se trouvait dans abyssale crise de devises, avec son économie virtuellement pillée.

On percevait également une profonde crise morale qui touchait jusqu’au haut commandement, alliés à des gouvernements corrompus et des intérêts antinationaux. Nous vîmes que se corrompait le “être militaire” que définit Bolivar dans son ultime proclamation de Santa Marta  les militaires doivent empoigner leur épée en défense des garanties sociales.

Le mouvement a grandi dans toutes les branches des forces armées comme un courant rafraîchissant qui finalement devint public. Il fit l’objet de différents arrestations et enquêtes qui ne menèrent à rien parce que l’activité bolivarienne n’était pas conspirative. Vint ensuite le « carasco » de février 1989, Carlos Andrès Perez avait triomphé en promettant un progrès politique et social, mais à peine arriva-t-il au pouvoir, il a voulu appliquer une politique d’ajustements récessif, de shock dans le styles des Chicagos boys, en commençant par une hausse du prix de l’essence.

Le pays a implosé. Pérez a ordonné que les troupes sortent “tuer des gens” (“a matar gente” NdT), ceci fut l’ordre textuel, pour effrayer le peuple. Il y eut plus de 5 OOO morts dans les rues de Caracas et dans les villes principales. Les Bolivariens, nous perdîmes un de nos meilleurs hommes, le commandant Felipe Acosta Canales. Nous avons de gros soupçons quant au fait que le gouvernement commanda son assassinat en profitant de la confusion. Obliger les forces armées à réprimer leur propre peuple signifie un massacre féroce. Hommes, femmes, enfants détruit par les balles, les cabanes dans les collines aplaties à coup de canon. Heureusement j’étais au lit, malade. Après la tragédie nous nous réunîmes, en mars et prîmes la décision. Nous nous dîmes : « ce mouvement va faire tomber Carlos Andres Pérez »

Une autre sorte de militaires

Quelle est l’influence de la doctrine de la Sécurité Nationale chez les militaires Vénézuéliens ?

“Elle perd de l’influence depuis 1970. Dans les sommets de la hiérarchie, il y a encore des études autour de ce modèle de sécurité qui s’appliqua spécialement dans le Cône Sud favorisé par l’Ecole des Amériques et le Pentagone. Nous autres nous nous sommes écartés de cette doctrine. Les militaires nous avons commencé à nous regarder nous-même. Nous nous sommes éloignés des schémas importés, imposés par l’Amérique du Nord. Les militaires vénézuéliens sont en majorité issus du peuple. Je suis un paysan. Presque toute ma génération de militaires vient des barrios (quartiers pauvres. NdT) ou de la campagne. Nous avons commencé à nous poser des questions. Des éléments historiques importants nous ont influencés. Par exemple, le coup d’état contre Allende. Il nous a profondément marqués. Nous nous dîmes : on parle de démocratie, mais quand il y a un gouvernement qui ne convient pas aux militaires ou un secteur minoritaire, ils le font tomber. Ce rôle de gendarmes ou « gorille » au service de gouvernements autoritaires commençait à nous devenir intolérable (…) Tout cela (l’expérience du gouvernement de Velasco Alvadaro au Pérou et de Omar Torrijos au Panama) fut pour moi une grande attraction dans la recherche de ce que nous cherchons encore : une nouvelle sorte de militaires pour l’Amérique Latine. Un militaire du peuple, un militaire dédié à son peuple et non un militaire pour réprimer et imposer des politiques de misère. »


Des militaires soumis aux règles démocratiques ?

“Evidemment. A elles et subordonné à l’Etat de droit. Nous décidâmes de nous insurger après le “carasco” et nous commençâmes le travail de la conspiration. Nous avions déjà une décennie de travail idéologique. Ce ne fut pas un mouvement conjoncturel. Nous avions des semences semées de toutes parts. Pas même moi je ne pensais que la rébellion prendrait une telle ampleur, malgré les manques de coordination qui la firent se fracasser Cela ne se limita pas à Caracas et Maracay, mais aussi dans des villes comme Valencia ou Maracaibo. »

FONDEMENTS POLITIQUES

Que se passe-t-il aujourd’hui avec le Mouvement Bolivarien ¿

“Le Mouvement Bolivarien 200, je crois qu’il a fait vibrer le peuple à l’unisson. Rafael Caldera est à présent président parce qu’il fut le seul capable de dire, quand on combattait encore dans les barrios, qu’un peuple qui a faim ne défend pas la démocratie et qu’il fallait analyser à fond les causes du soulèvement (du Carasco. PF). Le mouvement bolivarien a alors subit une transformation, il se convertit en un mouvement politique et le peuple nous appuie (…). Après le 4 février de 1992 (date du soulèvement contre Carlos Andrés Peréz) les sondages nous donnaient 90% de soutien contre 1% pour Perez. Un soutien qui était plus émotionnel que réel. A présent il s’établit entre 50% et 60%. Et il est très fort parmi les jeunes officiers qui nous appuient à 80%, selon un sondage mené par la direction du Renseignement Militaire. Ce qui effraye le gouvernement.


Vous êtes critiqué par différents secteurs…

« Ils nous ont dit de tout ; que je suis communiste, ce qui n’est pas la vérité, mais je ne suis pas non plus anticommuniste. Je suis allé en Colombie et j’ai rencontré le Ministre de l’Intérieur. J’ai été dans les universités et j’ai rencontré des dirigeants de Gauche, j’ai donné à connaître mes opinions et j’ai écouté celle de mes interlocuteurs. Bien, la Direction du Renseignement rapporta que j’avais offert 4 000 hommes à la guérilla colombienne. Ils disent également que je suis allié aux narcotrafiquants.

Quel est le programme du mouvement ?

“Dans un travail que j’ai écrit en prison, j’ai signalé les trois directions de cette étape de transition : idéologique, pragmatique et organique. Et quant au premier, il est vrai que sans idéologie il n’y a pas de projet de nation. Nous nous refusons à importer de l’idéologie et avons recours à la pensée bolivarienne qui pour nous est symbolique d’une action qui mobilise des anciens aux enfants… »

Mais concrètement…

“Dans le programme national Simon Bolivar nous parlons d’un modèle économique alternatif, d’une économie souveraine que réalise le rôle de l’Etat dans les entreprises de bases et dans les services sociaux, tel que la santé qui est une responsabilité inéludable de l’Etat d’offrir un service national. Dans cette économie souveraine, le secteur privé tient de larges champs d’action. Mais il ne doit pas assumer entièrement le contrôle nous ne devons pas tomber dans l’exagération du marché. Un modèle d’économie mixte, qui est en plus est fortement marqué par les coopératives, avec des modèles coopératifs de cogestion et d’autres formes nouvelles parce que nous devons rassembler le tout en un ensemble cohérent.

En politique nous pensons qu’une Assemblée Constituante est nécessaire qui, entre autre chose, additionne aux trois pouvoirs classiques un pouvoir moral et un pouvoir électoral. Pour nous autres Vénézuéliens, ce ne sera pas vraiment nouveau, puisque Simon Bolivar installa en Angostura, en 1819, et en Bolivie, le pouvoir électoral. Le pouvoir moral unifiera les instances de contrôle, comme un pouvoir élu par le peuple et non comme cela se passe à présent où les pouvoirs de contrôle sont nommés par le pouvoir à travers le Congrès, ce qui équivaut à dire par les grosses têtes » – le sommet de la hiérarchie - qui tient le pays amarré. Ils nomment également le Conseil Suprême Electoral, ce qui explique qu’au cours des dernières années ils durent répéter dix élections de gouverneurs pour fraudes dont on ne trouve jamais les responsables. Nous proposons un pouvoir électoral élu par le peuple, permanent, indépendant de tous les autres pouvoirs, qui contrôle la rectitude des processus électoraux et qui peut convoquer un référendum lorsque les autorités élues s’éloignent de la volonté de la majorité ».

CONJONCTURE ELECTORALE

Si vous n’obtenez pas l’Assemblée Constituante, vous présenterez-vous aux prochaines élections ?

« Non, aux prochaines nous n’irons pas. C’est une décision pratiquement prise. Elles auront lieu d’ici un an et deux mois, : elles sont trop proches (…) Mais oui nous nous présenterons aux élections de 98. S’éliront le Président et aussi des gouverneurs, maires, et conseillers pour trois ans »

Mais parler de 98 cela semble trop loin et aussi tellement improbable.. 

« C’est vrai. Au Venezuela tout peut arriver.  Il y a beaucoup d’effervescences. Nous avons demandé au Président Caldera qu’il convoque une Assemblée Constituante. Selon le dernier sondage – de Mercoanalisis – 82% des gens nous appuient. Mais le président a mésestimé notre pétition. “Ce serait une illusion », a-t-il dit, mais nous insisterons jusqu’à le sensibiliser. Si nous ne l’obtenons pas, si se maintient l’équilibre instable, nous nous présenterons aux élections.


Comment envisagez-vous les grands thèmes de l’intégration et la relation avec les Etats-Unis ¿

“Quant au second point,  doivent être des relations de respect mutuel. Nous n’avons pas l’intention d’envahir les Etats-Unis mais nous n’accepterons pas non plus d’être envahis par les Etats-Unis. Les pays d’Amérique Latine doivent peser leur propre poids et chercher des chemins d’intégration. Le problème de la dette externe exige, par exemple, une action commune. Si le Venezuela déclare un moratoire sur l’impayable dette externe- plus de 32 mille millions de dollars – ils nous écraserons. Mais il n’en sera pas ainsi si nous agissons tous conjointement. Nos relations avec les EU doivent être envisagés avec réalisme mais debout, avec une arrogante souveraineté et avec les bras tendus à l’Amérique Latine.

APPUI A CUBA

Et en qui concerne Cuba ?

“Cuba est une partie de l’Amérique latine. Elle est dans une situation fort difficile dont nous espérons que son peuple et son gouvernement sont capables de la surmonter. Cuba est pour nous un bastion de dignité. Là on est debout. En marge des différences idéologiques nous leur tendons la main”. 

Le Programme du mouvement, quel délai envisagez-vous pour sa réalisation ?

« Il s’agit pour nous d’une entreprise de longue durée, on pourrait dire 20 ans. Le général Omar Torrijos disait : avançons, fusse d’un millimètre, mais sachons bien vers où nous cheminons.

Quels sont les principaux adversaires du mouvement Simon Bolivar ¿

« La hiérarchie militaire qui  représente cette forme prussienne et arbitraire du monde militaire est l’un d’entre eux, et à des plans – nous en sommes convaincus - pour nous liquider. Egalement la police politique, la Disip. Nous avons des adversaires dans les grands intérêts qui savent que nous allons les combattre. Nous allons nous entendre avec ce que l’on appelle la « bourgeoisie nationale » mais pas avec les corrompus qui ont manipulé l’Etat et son truquage. Nous avons également des ennemis dans la hiérarchie politique, dans les structures rances de Action Démocratique et Copei (…) ».

Comment fonctionne le mouvement ? De manière verticale, militaire, hiérarchique ou démocratique ? 

« Nous pensons que la force vient d’en-bas, depuis les « catacombes sociales » et nous voulons donner au mouvement la tendance la plus horizontale possible. Nous avons des assemblée de mille et quelques personnes et nous tentons de parvenir à des formes de démocraties directes (…) »

Vous semblez mener une campagne à toute vapeur comme si vous aviez à gouverner demain.

« Oui, c’est vrai. Nous ne pouvons nous assoir et nous reposer. C’est un combat plus qu’une campagne. Le 1er novembre - et cela est une prémisse - nous commencerons à parcourir le Venezuela durant 54 mois. Nous irons de toutes parts pour faire connaître nos idées et aussi écouter et apprendre.  Je pense que nous ne pouvons pas échouer. C’est un autre siècle, un changement de millénaire dans lequel nous devrons agir. Nous avons dessiné le cercle, la spirale et l’ouragan bolivarien comme étape du mouvement en développement que nous mettons en pratique. Ce sont des temps favorables pour l’espoir, malgré l’angoisse qui est la situation aujourd’hui. »

(re) publié par Punto Final,édition N°776,8 mars 2013

 

revistapuntofinal@movistar.cl
www.puntofinal.cl
www.pf-memoriahistorica.org
¡¡Suscríbase a PF!! 

Source : La primera entrevista en Chile del Comandante Chávez 

Traduction Anne Wolff

Partager cet article
Repost0
24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 12:11

 

 

A Merida, le pouvoir populaire, les collectifs révolutionnaires, les institutions et les Forces Armées sortent pour récupérer la “Ciudad de Los Caballeros”

Un reportage du collectif populaire : Reporters Communautaires de Merida

http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/cuadrillas_de_limpieza.jpg

 

 

Les équipes populaires de nettoyage récupèrent les espaces de Guarimba

Crédit: Reporteros comunitarios de Mérida


Il y a eu hier une immense participation du peuple à la journée de nettoyage des dégâts causés par les « petits maîtres » (sifrinos) de l’opposition.

Il est 16 heures. Au point de départ, l’emblématique Place de toros Ramon Eduardo Sandia, la brise fraîche caractéristique de cette époque de l’année souffle avec force sur les visages des hommes et des femmes andins habitués à des tâches plus rudes encore, mais aujourd’hui tous forment un chœur, une seule voix de lutte, de travail ; libérer la ville de Mérida des ghettos installé – en guise de protestation – pour bloquer le passage et éviter que les habitants aient accès aux commerces, supermarchés et autres services basiques. Le calendrier nous dit que ces barricades ont accomplis leurs fonctions terroristes pendant près de deux semaines installés par des manifestants qui au nom de la liberté et d’un supposé « manque de démocratie » interrompent et réduisent les droits humains de la majorité des habitants de Merida. (1)

 



http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/cuadrillas_de_limpieza2.jpg

Equipes de nettoyage en pleine action, près de mille personnes sont présentes,

Depuis le pouvoir populaire, les collectifs révolutionnaires, des étudiants, des fonctionnaires, sous la protections d’un grand contingent d’effectifs de la Garde Civile Bolivarienne sous le commandement du Vice Amiral Gustavo Adolfo Colmenares Flores (Commandant de la Zone Opérative de Défense Intégrale ZODI-Mérida) et la Police de Merida respectivement sous le commandement du Général de Brigade (GN) Gustavo Saluzzo Ramírez (directeur de l’Institut Autonome de Police de l’État de Mérida) renforcé par le corps de Pompiers de l’Etat de Mérida et l’Institut de la protection Civile et de l’Administration des Désastres de l’Etat de Merida INPRADEM, tous disposés à répondre à l’appel lancé par le Gouverneur de l’Etat de Mérida, Alexis Ramirez. L’objectif était de récupérer les zones dévastées et de rouvrir le passage au transit des véhicules, bloqués par des faits récents de violence vandalisante, sans aucun sens ni orienttion politique. Leur action répondant à l’appel à la lutte pour une « sortie » de l’ex leader de Volonté Populaire Leopoldo López à présent sous les verrous au Centre de Détention Militaire de Ramo Verde, Los Teques (Miranda). (2)

 

 

http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/entrada_sector_el_campito_a.jpg

 

 

http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/barricadas.jpg

 

 

Les énormes tubes que l’ont peut voir sur la photo ont nécessité la mise en œuvre d’une importante logistique de la part des bandes de droite


 

Nous présentons des images de RCM qui se réfère au processus de nettoyage réalisé à 70% dans l’avenue de Las Americas, lequel fut accompli en un temps record. Les objectifs ne purent être atteints dans leur totalité à cause de secteurs de l’extrême-droite d’opposants au gouvernement légitime de Nicolas Maduro - des urbanisations de Santa Barbara et Humbolt - qui se replièrent derrière leurs énormes barricades de fer et de constructions en décombres balancées en travers de la route pour éviter le passages des équipes de nettoyage.

 

 

 

 

 

http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/para_destruida_las_amricas.jpg

Les « rebelles » ont détruit les abris bus

 

 

 

 

 

 

http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/escualidos-con-odio.jpg

Les jeunes opposants de la classe moyenne et de l’oligarchie contemplent d’un œil mauvais le peuple venu nettoyer leurs dégâts

 

 

 

 

 

 

http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/gnb-contingente.jpg

 

La garde nationale Bolivarienne protège le peuple qui nettoie sa ville des résidus des guarimbas destructrices.

 

 

 

Traduction Anne Wolff, source en espagnol Mérida: Poder popular, colectivos revolucionarios, instituciones y Fuerza Armada salen por la recuperación de la "Ciudad de Los Caballeros”

Notes de Traduction :

 

1 .Les barrages installés par les petits maîtres évoquent la triste réalité du retours des ghettos en Amérique Latine, au Honduras un système d’enfermement dans les quartiers – opération quartiers sûrs - a été mis en place, sur les routes les barrages policiers incarnent la réalité d’un état de siège permanent. Rien de plus éclairant pour comprendre qui sont les rebelles du Venezuela et ce que deviendrait le pays sous leur direction que de se référer à la situation du Honduras, un pays entièrement militarisé, cédé chaque jour plus largement aux investisseurs étrangers, alors que le peuple plongé dans une toujours plus noire misère - sous payé, sans travail, sans éducation, ni service de santé et dans le viol permanent de ses droits humains, jusqu'à celui le plus fondamental le droit à la vie - est pris entre le feu des répresseurs officiels et la violence des bandes de délinquants, pendant que les transnationales   dépècent littéralement le pays.

 

 

2. A cause des Milices fascistes de « petits maîtres » en goguette (guarimba) de l’opposition oligarchique dont chacun des actes exprime l’impérieux désir de brimer ce peuple trop digne, un jeune gars est mort, décapité par leur guaya, ce sont les barrages de fils de fer barbelé galvanisés que – à l’instigation de leurs conseillers militaires – ces « rebelles » tendent en travers des rues pour empêcher le libre passage du peuple. Un jeune magasinier rentrait chez lui après une journée de travail, il n’a pas vu la guaya, il est mort. Ces jeunes ne savent même pas pourquoi ils sont là sinon pour « répondre à l’appel de Léopold » et « en finir avec ce gouvernement dictatorial qui nous affame ». Quand on les interroge, ils n’ont aucune revendication politique, aucun programme, si ce n’est de fiche le plus grand bordel possible et de semer la terreur parmi la population pendant que les « experts » paramilitaires colombiens s’attaquent eux aux centrales énergétiques et autres points névralgiques, et que les membres de bandes de délinquants payés pour cela mènent des actions de violence. Un autre jeune homme est mort, en voulant traverser un de ces barrages, il s’est heurté à un fou qui lui a planté un couteau dans le ventre. Une dame qui était sur la moto d’un de ses fils est morte, quand le pneu a éclaté sur un de ces dispositifs clouté que les « rebelles » dispersent sur le sol des rues et des routes.

 

 

Ils ne sont pas bien nombreux mais commettent d’innombrables dégâts, leur forces organisées sont les paramilitaires, ceux qui ont été entraînés à Miami au bons soins de Leopoldo López, mais aussi 20 000 des 46 OOO paramilitaires colombiens démobilisés des milices d’Uribe dont une partie a déjà été infiltrés et les autres attendent à la frontière, àTachira, et les bandes de délinquants payés pour mettre leur talents destructeurs au service de la « rébellion ». Certains ont même été « importés » pour l’occasion d’autres pays.

 

 

Une seule chose est à comprendre qui explique tout le reste, ce qui gène les rebelles dans le Pouvoir Populaire du Gouvernement du Venezuela, c’est bien ce que représente concrètement ce mot POPULAIRE qu’ils espèrent pouvoir rayer en renvoyant à la place d’infra-humains qu’ils n’auraient jamais du quitter à leurs yeux, ceux qui l’incarnent et le font exister, au quotidien !


Anne W.

 

 

 

 

 

 

http://www.aporrea.org/imagenes/2014/02/alexisramirez.jpg

Et le gouverneure l’état, , Alexis Ramirez, d a participé à cette journée… du côté du peuple !

Partager cet article
Repost0
22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 19:15

   Mujeres Chavistas por la Paz ocupa desde la mañana la Plaza Morelos para marchar hacia el norte en respaldo del gobierno del presidente Nicolás Maduro.

 

 

 

Beaucoup de gens manifestent ces jours-ci leur soutien à la constitutionnalité du Venezuela, le rejet des agitateurs et des agités, et leur soutien au gouvernement qui les représentent alors que par l’intermédiaire de cette ordure _ désolée mais il faut le dire, - de Kerry, des gens comme lui sont une insulte à la face de l’humanité incarnée ici par ces femmes qui sont un groupe parmi des centaines d’autres qui se sont mobilisés cette semaine au Venezuela.

Regardez les, leur visages ne parlent pas d’une dictature qu’ils faut détruire pour le bien du peuple, mais de femmes que nous devons tous protéger aujourd’hui en empêchant les griffes de l’Empire de déchiqueter le peuple debout et libre du Venezuela.

Regardez-les, ce sont des humaines, comme vous, comme moi qui sont menacées et leurs enfants et la vie par des êtres déshumanisés sans cœur sans âmes à qui la convoitise tient lieu d’amour, et qui n’aime les peuples que courbés sous le joug de la machine à profit, leur profit, soumis, productifs, infra humanisés, mécannisés. Ils préfèrent aux humains les machines qui ne se révoltent pas, qu'ils dominent.

C’est cela le miracle de Chávez avoir catalysé l’accès à la dignité, à la joie, d’un continent à genou sous le joug jamais soulevé des colonisateurs. Et c’est cela qui est insupportable à ceux pour qui notre bonheur se traduit par une perte de pouvoir, une perte de possession, une perte de bénéfice.  Ce sont des voleurs, et des accapareurs, des destructeurs de la beauté du monde, de toutes ses richesses les plus magnifiques. Repensons la richesse avant qu’il soit trop tard. Le Venezuela est le domino majeur de la liberté du Monde, il est la clé de toutes les richesses d’amour et de liberté, de l’avenir du monde.

 

 

 

 

 

 

Fuente y Fotos/AVN

Mujeres por la Paz y la Vida marchan este sábado contra la violencia (+Fotos) | Correo del Orino

 

C'est contre la liberté de ces femmes que les sifrinos se rebellent. Il leur est insuportable qu'elles soient leurs égales. Ils les préfèrent mortes que debout.

Ils sont méprisables, et ceux qui les manipulent sont haïssables et dangereux.

 


Partager cet article
Repost0
22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 14:32

 

 

 

21 février, Caracas – Le Président Vénézuélien, Nicola Maduro, a déclaré ce vendredi que son Gouvernement était confronté à la “terrible campagne qui cherche à provoquer la violence au Venezuela ».


 

Lors d’une rencontre avec les medias internationaux il a réitérer les dénonciations d’une campagne médiatique contre la Révolution Bolivarienne, « l’idée que des groupes d’étudiants étaient en train d’enflammer le Venezuela et que le pays était au bord de la Guerre Civile ont filtré (…) cela est ce que montrent certains canaux internationaux comme CNN, Telemundo, Univision, Fox News ».


 

Maduro explique que cette violence est la même que celle que les courants de la droite appliquent dans toute la région pour diviser les Gouvernements d’Amérique Latine, et à son avis ils y arrivent. « Le président Juan Manuel Santos (Colombie) le - ex(NdT) - président Sebastián Piñera (Chile) et le président Ricardo Martelli (Panama) se sont laissé mener par la pression du Département d’État des E.U. »


 

“Il y a une campagne mondiale contre le pays, elle est l’accompagnement-prétexte d’une intervention en force dans les affaires internes du Venezuela ». J’alerte le Gouvernement des E.U. « Les planificateurs du Pentagone, qui ont le pouvoir dans ce pays - et je ne me réfère pas à Obama - et se préparent depuis que le président Chavez est tombé malade, croient que le moment est venu ».


“J’appelle au dialogue le Président (Barack) Obama, j’ai désigné le Ministre des Affaires Étrangères Elias Jaua, à vous d’envoyer John Kerry. Acceptez le défi, alors », exhorte le dignitaire Vénézuélien.

 

Il ajoute que la conversation pourra servir à initier un changement, parce que « Obama décide que faire (…) parce que Obama a le pouvoir de décision de changer l’histoire en Amérique Latine et dans les Caraïbe »

 


 

Traduction Anne Wolff

Source en espagnol

Presidente Maduro: La derecha internacional quiere dividir a América Latina

 


Los niños consentidos se divierten con caña, rumba, piedras y molotov

Opposition étudiante au Vénézuela, s'ils se plaignent de manquer de pain, heureusement ils ont du vin !

 

Gregorio Ignacio José Silva: “Me dejaron en la calle porque soy chavista”

 

 

Et les barbecues ad hoc, le chauffeur du bus, chaviste, après avoir été menacé par des armes à feu, par les vandales, a lui, perdu son gagne pain... une personne parmi d'autre, un travailleur du peuple parmi d'autres, précarisé par des oligarques irrespectueux.. Ouvrez les yeux, c’est le moment de comprendre beaucoup de choses concernant les révolutions de couleurs et autres fantaisie made in USA : les opposants ici sont un bande de sales gosses de riches  (et loin de moi l’idée d’englober tous les gosses de riches dans le même panier) fascistes,  de la pire espèce, qui attendent que les inférieurs passent derrière eux pour faire le ménage et n’ont que faire ni du bien public, ni du bien-être du peuple, …Seul le pouvoir en Soi et leurs privilèges font sens pour eux. D'ailleurs ils n'ont exprimé aucune autre revendication que celle de s'approprier le pouvoir d'Etat.

Après on parlera des imperfections du gouvernement de Maduro – et j’ai beaucoup de questions à poser et de critiques à faire. Mais aujourd’hui de tout le continent sud montent les appels des organisations des petits peuples, y compris de Colombie, de Panama, du Honduras, dont les gouvernements sont sous la coupe des E.U., et c’est le même son de cloche : "Si le gouvernement du Venezuela tombe nous sommes morts", et ce n’est pas une image. Ce ne sont pas des gouvernements (seulement) qui nous appellent aujourd’hui, ce sont des peuples, de belles personnes, courageuses, généreuses (surtout) et qui sont menacées de terreur et de mort !!!

Le Gouvernement du Venezuela est le garant des espaces de liberté grâce auquel sur tout le continent sud, ensemble, un immense mouvement de souveraineté populaire se construit. Un mouvement qui va bien au-delà du pouvoir d'un gouvernement, vers une souveraineté populaire au plein sens du terme, un mouvement qui chaque jour paye son tribu de morts, de blessés, de persécutés aux transnationales qui s’emparent de leur territoire. Et n’auront de cesse que de s’être approprié le dernier morceau, d’avoir exterminé les derniers peuples indigènes, si riches de ressources de savoir ancestraux indispensables pour refroidir la planète et sauver  la vie sur la Terre…

Après eux, ce sera nous ? C'est en bonne voie !

  Non ! Stop au pouvoir destructeur des Corporations dont le Pentagone commande la plus puissante armée, transnationale, une parmi d’autres, privées celles-là.

 

Partager cet article
Repost0
22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 11:22

 

 

Raúl Bracho

Par: Raúl Bracho  21/02/2014


Depuis plusieurs jours, je cherche la sortie du labyrinthe. J’ai étudié tous les manuels, toute la littérature qu’utilise l’opposition pour mener sa mal-nommée « révolution ».

Après l’avoir étudiée en détails et fait des études comparées avec ce qui se passe à Kiev, Ukraine, la première chose que nous devons comprendre est que la méthodologie Sharp des coups d’états doux, est conçue de telle manière, qu’absolument toutes les réponses du gouvernement contre leur « mouvement » ou « révolution », j’insiste tout ou presque tout, sera usé médiatiquement en faveur de leur révolte. 

Que nous envoyions la police nationale pour dégager les rues bloquées et, usions de forme légale des gaz lacrymogènes pour les disperser, immédiatement, face au monde ils nous présentent comme des « répresseurs », comme « violents » et comme assassins. Que nos forces de police se trouvent dans n’importe quelle rue, déjà nous sommes coupables. Une stratégie puissante appuyée depuis l’étranger pour créer l’image dont ils ont besoin pour exiger une intervention. Tout aussi respectueux de la loi que nous soyons, ils nous accusent d’être un « régime terrible et répresseur » et quand ils n’ont pas d’images de violence de la part de notre police, ils ont recours à des photos d’autres pays et d’autres époques, une matrice qui fonctionne, bien… 

Je vous répète que parmi nous un groupe s’est dédié à étudier et réviser de forme audacieuse, en rompant avec tout préjugé, pour chercher leur faiblesses et la manière dont nous pourrions désactiver leur plans macabres.

La guerre à laquelle ces violents jouent est d’usure, nous nous sommes donc demandé : Comment pourrions nous les avoir eux à l’usure ?

Leur guerre utilise la provocation, donc nous nous sommes attachés à penser : « Comment ne tomber dans aucune provocation ? »

Les fondements de leur guerre consistent à utiliser chacune de nos actions pour nous affaiblir, du coup nous nous sommes demandé : comment user leur force pour que ce soit nous qui les affaiblissions

Ils utilisent en permanence leur manuel, nous nous sommes donc demandé ; Pouvons-nous utiliser leur manuel contre eux ?

Quoique nous pensions être devenus fous, je pense que nous sommes arrivés à une excellente proposition. 

Paix et amour ! Comme les hippies des soixante ! Paix et amour ! Comme n’importe quel évangélisateur ! Plus de police, plus de gaz lacrymogène !

Ils s’approprient notre casquette tricolore et les symboles patriotes depuis la campagne de Capriles ? OK, nous allons faire de même, nous allons commencer par leur prendre la couleur blanche, qui est la couleur internationale de la paix  et sans armes, mais la constitution à la main, nous irons rouvrir les rues qu’ils bloquent, nous irons parler avec les personnes qui souffrent dans leur voiture, dans des rues bloquées, et nous leur demanderons de nous aider à exorciser ces violents, tel que  nous l’enseigne les collectif de motorisés, qui nous éclairent à leur courageuse et extraordinaire utilisation de « paix active » pour affronter et annuler l’effet orange. 

Qu’ils soient les seuls à utiliser la violence ! Nous enregistrerons tout avec de la haute technologie, chaque moment, un par un, ainsi les corps de police iront les chercher, un par un, chez eux, pour les empêcher de violer la constitution, mais nous en les arrêterons plus dans la rue. Leur plan de générer des affrontements se convertira en « une grande croisade » pour la Paix et l’Amour, de manière bien théâtrale, vêtus de blanc et avec Chávez dans le cœur.

Vous direz que nous sommes devenus fous, mais regardez, si en plus à ces citoyens qui enfreignent  la loi, quand nous les arrêterons dans leurs foyers, avec la preuve à la main, quand nous leur dicterons des sentences pour atteinte à l’ordre public et dommage au patrimoine national, nous exigerons qu’il payent les dommages qu’ils ont commis aveuglés par la haine, et s’ils n’ont pas de biens à leur nom que nous puissions confisquer, et bien ils devront effectuer des « travaux communautaires » réparant ce qu’eux et leurs groupes violents ont détruit où aller en prison. 

Confisquer les motos est une méthode qui doit se poursuivre. Que feront-ils ? Nous dénoncer face au monde parce que nous les réprimons Parce que nous les affrontons nous avec la police Pourquoi confisquons-nous leur moto à ces fils à Papa ?

Nous les emmènerons sur le terrain du ridicule, nous ferons rire d’eux afin que le monde voie leur niveau de dissociation.

De grandes équipe de presse sociale les interviewerons et enregistrerons chaque jour la manière dont ils s’autodétruisent. 

L’audace et l’imagination qui ont toujours caractérisé le peuple du Venezuela, leur donnera une leçon sur la manière de faire chanceler la révolutionnette de couleur qu’ils souhaitent, je le dis bien : avec du bagou, nous allons les faire chanceler, avec la constitution à la main et en leur parlant de paix et d’amour.

Quelles images donnera au monde le Venezuela ? Nous autres vêtus de blancs, tranquilles, calmant des fous !!! Et les photos de leurs attaques violentes et terroristes contre nos gens, institutions et propriétés publiques, que de toute URGENCE, nos ambassades devront diffuser dans chaque CHAINE DE TELEVISION du monde, pour créer notre réponse médiatique 

ZurkaConducta (programme de VTV) est le moyen d’intervention dans les manifestations avec cette stratégie pour désarmer la violence terroriste.

Internationalement nous devons agir de la même manière, il y a une proposition que quelques unq d’entre nous envoient depuis l’extérieur, je vous la joins en annexe

Monsieur Bracho,

Mes collègues et moi nous avons analysé comment la Révolution pourrait reprendre l’initiative sur la scène internationale. Nous somme arrivés à la conclusion de nous devons effectuer un Coup d’effet international. Ce coup d’effet, être exécuté adéquatement devrait mettre sur la défensive les promoteurs et financiers des actes terroristes qui avec des fins déstabilisatrices conduisent l’opposition au Venezuela. A Savoir :

1.Qu’un groupe nombreux de victimes de la violence et leurs proches intentent une action judiciaire contre les organisateurs et financiers du terrorisme et leurs opérateurs au Venezuela : Alvaro Uribe Vélez, Otto Reich et Robert Alonzo, Henrique Capriles Radonsky, Maria Corina Machado, Antonio Ledesma, Ramón Aveledo et Julio Borges, entre autres.

2. Que le ministère public reçoive la demande documentée avec la grande quantité de preuve de toutes natures que possèdent le gouvernement, les collectifs et les particuliers.

3. Que le ministère public émette un ordre de capture international avec diffusion rouge contre Alvaro Uride Vélez, Otto Reich et Robert Alonzo (cela sera le coup à dimension internationale). Que soit donnée une grande couverture médiatique à l’ordre de capture de ces sujets. Après qu’il ait été émis par le ministère/Interpol, que le président convoque toute la presse nationale et internationale pour annoncer l’ordre de capture émis contre eux. Ainsi l’ordre annoncé face à toute la Presse, les medias internationaux devront rendre publiques les déclarations du Président.

4. Que Ministère Public émette un mandat d’arrêt contre les leaders/opérateurs locaux mentionnés, responsables de la violence. Que cet ordre soit annoncé par la Procureure Générale.

5. Il est indispensable que les deux annonces jouissent d’une grande couverture médiatique, répétitive, pour atteindre les objectifs et l’impact désiré. Il faut saturer les media

6. Que les terroristes et guarimberos prisonniers ainsi que leurs mentors créoles payent les dommages occasionnés à la propriété publique et privée. C’est ce qui se fait ici (EU). Tous ceux qui commettent des actes de vandalisme contre la propriété privée, sont condamnés à payer les dommages occasionnés, que ce soit avec de l’argent ou de manière effective avec la confiscation de leurs propriétés, en plus de la peine de prison qui leur est imposée.

7. Aussi, que celui qui commet des actes de vandalisme contre la propriété publique, que ce soit celle des Contés,  des États ou Fédérale soit considéré comme TERRORISTE et Accusé de TERRORISME et d’attenter à la Sécurité Nationale, crime qui ici (aux EU) se paye très cher, avec des amendes suffisamment élevées pour couvrir le montant des dommages causés plus la confiscation de leur propriétés et des peines qui vont de trente ans de prison à la perpétuité et jusqu’à la peine de mort dans le cas de victimes fatales causées par l’action de l’accusé. Un cas fameux récent fut celui de Thimoty McVeigne et Terry Nichols qui perpétué un attentat contre l’édifice fédéral en Oklahoma tuant quelques personnes, ils furent exécutés pour TERRORISME. Comme vous le voyez, ici on y v pas de main morte avec les « terroristes »

7. La constitution du Venezuela ne prévoit pas de cas similaires, que Nicolas faisant usage de la Loi Habilitante, promulgue une loi qui contient des peines sévères, similaires à celles que nous avons ici (EU) pour châtier les terroristes.

Cordiales Salutations

Ann

Le Venezuela vaincra les violents par la Paix !

Donnons une leçon de Paix, d’amour et de non violence active et révolutionnaire !!!

 


Raùl Bracho est un chroniqueur de la révolution bolivarienne, fidèle à Chavez au plus profond du cœur, il nous éclaire par sa lucidité, nous fait rire avec son grand sens de l’humour et nous donne par son immense humilité des leçon d’humanité au plein sens de ce terme. J’aimerais le traduire plus souvent, le billet par lequel il comparaît l’addiction au papier de toilette - invention récente de l’humanité avec une addiction provoquant des phénomènes de manque et de recherche désespérée que produit la cocaïne dont il parle en connaissance de cause – m’a fait bien rire, pour ceux qui lisent l’espagnol Papel toilete y cocaína

 Traduction Anne Wolff

Source en espagnol

Ustedes pensarán que me volví loco, pero… - Por: Raúl Bracho @hombrenuevo

Partager cet article
Repost0
20 février 2014 4 20 /02 /février /2014 13:37

 

 

 

Après enquête, arrestation au Venezuela de celui qui a appelé à tuer la fille du président de l’Assemblée Nationale Diosdados Cabello

 

 

Tuit fascista incitando al asesinato

 

 

 

La fille de Diosdado Cabello étudie dans un collège de San Antonio de Los Altos, je dis qu’il faut la tuer pour que ce maudit souffre.

 

Un an de prison USA l’internaute qui appelle à tuer Obama

Un an et demi Espagne l’internaute qui appelle à tuer Rajoy (il lui donne des allergies)

Un an de prison, chacun, pour cinq internautes basques qui ont écrit un billet en mémoire d’une militante morte il y a 15 ans en manipulant des explosifs : Apologie  et incitation au terrorisme. 

 

En cette occasion Nicolas Maduro a révélé que sa famille avait également été victime de menaces et de violences qui ont affecté jusqu’à sa petite fille de dix mois. Rappelons qu’en avril 2013, la journaliste Eva Golinger avait été agressée par l’extrême-droite alors qu’elle se trouvait accompagnée de son bébé de 1 an !

Maduro appelle à des politiques fondées dans l’amour, la solidarité, la convivialité.

 

Des centaines de millions de bolivars ont d’ores et déjà été affectés à la réparation des biens détruits, des parcs publics saccagés, des métros vandalisés alors que les conducteurs après avoir été menacés par des armes à feu et agressés refusaient de reprendre leur service sans voir leur sécurité garantie.

Qui peut encore croire que la dissidence agit pour le bien du peuple ? Exemple de déclaration d’ouvriers en luttes pour la révolution qui ont essuyé les tirs d’un franc-tireur alors qu’ils manifestaient pacifiquement pour reprendre les rues, les jours de plusieurs d’entre eux sont encore en danger. Une déclaration caractéristique d’un tas d’autres déclarations : même si nous ne sommes pas d’accord  en tout avec le gouvernement, même si nous le combattons quand il s’agit de défendre nos droits, il incarne aujourd’hui la révolution bolivarienne :

La Classe Ouvrière de Guyana, la même qui a récupéré les entreprises de bases des mains des transnationales, la même qui a impulsé le Contrôle Ouvrier et le Plan Guyane Socialiste, la même qui se retrouve aujourd’hui luttant pour ses Conventions Collectives, la même qui a du affronter en plus d’une occasion la bureaucratie de l’État est debout et n’est pas dans la confusion : aucune amélioration ne peut être espérée par les travailleurs, de la part de la droite et c’est pour cela qu’elle descend dans la rue défendre SA RÉVOLUTION !!! 

 

Tamara Pearson journaliste Australienne témoigne (11F, Merida) :

« Je prenais des photos de la manifestation de l’opposition, je pense que ce genre de chose est importante pour faire du bon journalisme. Ces personnes de l’opposition – qui ne représentent pas toute l’opposition – obligeaient les gens à descendre des autobus à la pointe du pistolet, et jetant des pierres sur les voitures et motos qui remontaient l’avenue Las Americas.

Après ils ont vu que j’avais une caméra, et ils m’ont encerclée » et ils m’ont poussée, en mettant le pistolet sur ma tempe. Puis ils m’ont jetée au sol, ils ont arraché mon sac et essayé de m’arracher la caméra. Ils étaient très violents et ne cessaient de répéter, « Si tu ne nous donne pas ta caméra, on va te tuer »

Pearson est une des journalistes parmi ceux qui ont été violentés par des "dissidents" qui agissent plus comme des pandillas ou des cartels narcos que comme seraient censés le faire des rejetons "bien éduqués" mais mécontants, de la bourgeoisie. Un cameraman a pris une balle dans la jambe. De telles méthodes ne sont pas celle d’étudiants en protestation mais de groupes armées qui s’en prennent aux institutions d’un pays, ne voulant pas que les caméras puissent enregistrer leurs actes, jusqu’à des journalistes de Globovision (Media oligarchique acteur du coup d’état de 2002, qui avait -entre autre - présenté un faux acte de renonciation de Chavez) se sont plaintes d’avoir été maltraitées par les manifestants…

 

Comment réagiraient les Forces de l’Ordre, en France, en Espagne, en Belgique, aux Etats-Unis face à de tels comportements ? Quelles peines leurs auteurs se verraient-ils infliger par un tribunal, bien de « chez nous » ?

Il règne actuellement une asymétrie mondiale dans l’évaluation des actions de la dissidence politique et de la dissidence criminelle, des forces de polices,

 

Un sentiment qui me semble partagé par beaucoup de gens, c’est la crainte que la peur des représailles internationales empêche le Ministère Public de mener le procès de López et autres personnes impliquées dans les violences insurrectionnelles à terme avec les condamnations méritées.

Et là, la question déborde largement le Venezuela pour entrer dans l’iniquité qui règne actuellement dans le monde, entre ce qui est permis en matière de politique, de justice et de droits humains aux alliés ou au ennemis de Washington.

Arabie Saoudite, Qatar, selon les critères invoqués pour les interventions humanitaires en d’autres lieux, toutes choses égales, auraient depuis longtemps du faire l’objet d’une intervention humanitaire très musclée.

On évoque l’internaute qui a été condamné à un an de prison aux USA, pour avoir appelé au meurtre d’Obama sur le Net (une jeune femme a également été condamnée pour des raisons similaire en Espagne) or en Novembre de l’année passée, JV Rangel dénonçait l’existence de camps d’entraînement paramilitaire à Miami, 30 jeunes gens, vénézuéliens, bénéficiant de bourses dont 10 auraient été payée par López lui-même, qui s’est rendu sur les lieux, y pratiquait un entraînement  dans le cadre duquel pour le tir de précision, les cibles étaient à l’effigie de Maduro… Question : que prévoit le droit international pour le pays hôte, de terroristes qui s’entraînent sur son territoire en préparation au renversement de leur gouvernement légitime, et d’un magnicide ?

 

(...)


Une histoire belge dont je vous garantis qu’elle est rigoureusement authentique :

Il y a quelques années, j’ai rencontré Ricardo,  un musicien (un bon), chilien et chanteur, au beau sourire à la Jara. Un soir, il nous a invités à visionner un concert en vidéo, magnifique réunissant sous la dictature de Pinochet la jeunesse venue de tout le continent pour assister à une immense fête de lutte (pendant la dictature de Pinochet), dans le stade où les militaires avaient brisé les doigts de Jara. Il y avait une force, une énergie, une joie qui se dégageait de ce concert. Après, on a trinqué à la fin des dictatures, il y avait là aussi un copain équatorien qui se réjouissait de l’évolution de son pays, de l’accès pour les jeunes à la culture, à l’écriture tout simplement, déjà… Les deux, nous ont chanté des chants des luttes latinos et d'autres, bonheur.... Un gars bien tranquille Ricardo.. Quelques mois plus tard, la police Belge se montrait avec Ricardo exactement pareille aux répresseurs chiliens, je vous donne le récit précis qui a été fait dans le cadre de la campagne de soutien qui a suivi

(…) huit mois plus tard un autre dérapage impressionnant se déroule en Belgique. Le samedi 7 mai, Ricardo se rend au "Steenrock", un festival en soutien aux étrangers détenus dans le centre fermé de Steenokkerzeel. Alors qu’il arrive à proximité du centre devant lequel le festival se déroule, ce jeune chilien fait l’objet d’un contrôle d’identité qui va déraper de manière incompréhensible. Ricardo ne comprend pas le néerlandais et le policier ne s’adresse pas à lui en français. Il s’en suit une remarque désobligeante de la part du festivalier. Ricardo aurait demandé, non sans humour, s’il pouvait avoir des sous-titres. Les deux policiers se mettent alors à discuter en néerlandais. L’un deux répond « ja ja » calmement. Puis soudainement, survient une inattendue explosion de violence envers le jeune homme. Gilles, qui a assisté à toute la scène nous l’a décrite : « C’était d’une violence terrible, le premier coup semblait prévu pour tuer ou briser ! J’ai cru qu’il allait lui casser la tête tant il lui donnait de coups… Le sang a véritablement giclé… Pourtant, à aucun moment le jeune homme ne s’est montré menaçant, il demandait plutôt grâce ! Ensuite, alors qu’il était ensanglanté, effondré à terre, les policiers ne lui ont apporté aucun soin ! Au contraire, celui qui l’avait frappé s’est encore assis sur lui pour le menotter… Le jeune homme hurlait, le policier lui a alors gueulé de se calmer, alors qu’il venait de lui arracher un bout de lèvre, ou de joue, qui pendait de la mâchoire… C’était effroyable ! ». L’autre policier,  présent et actif sur les lieux, n’a pas pris la peine de retenir son collègue. Il est resté posément sur le côté, à assister tranquillement à ce déchaînement de violence.  

La victime s’est vu poser une vingtaine de points de suture, avant qu’un scanner ne révèle de multiples fractures aux mâchoires et la perte de plusieurs dents, nécessitant une opération immédiate. Son immobilisation et sa rééducation vont durer plusieurs mois. Personne ne peut dire dans combien de temps il pourra, simplement, se remettre à manger et à parler comme avant. Le témoignage de Ricardo peut être visionné sur Youtube (http://www.youtube.com/watch?v=ziSpIh5Sb70). Rien ne peut excuser cette agression de la part des forces de l’ordre. Tout policier qui cède à la colère pour des mots qu’on aurait pu lui proférer ne possède pas une maitrise suffisante de soi pour assurer l’ordre public. Une telle responsabilité est au-delà de ses capacités.  

 

Ricardo, avant cela, avait le sourire de Jara, cela ne lui a pas porté chance... 

 


Qui a condamné la Belgique comme une odieuse dictature ayant des pratiques dignes du Chili de Pinochet ?

Je ne vois rien à ajouter, si ce n’est que cela fait mal jusqu’au fond de l’âme, c’est dans mon pays que cela c’est passé dont j’aimais le caractère accueillant qui m’a permis de rencontrer des tas de gens géniaux qui souvent avaient fui des dictatures et y avaient trouvé refuge, des amis, de la richesse, renouvelable sans limites !!!


Je voulais juste soulever quelques questions au sujet d’un monde où les dictatures alliées de l’Otan peuvent tout se permettre ou presque en matière de violations de droits humains avec la bénédiction de Washington qui requalifie ces exactions comme « lutte contre le terrorisme » quand bien l’arme du dit terrorisme est la plume d’un poète, un monde où tous ceux , état, groupe personne qui s’oppose à cette alliance hégémonique est par définition terroriste pouvant faire l’objet  des pires répressions, de la torture, être assassiné. Et cela se passe aussi en Europe au 21ème siècle

 


Anne Wolff (déconcertée !)

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
20 février 2014 4 20 /02 /février /2014 11:20

 

Par: Aporrea.org

19-02-2014


Hier au Venezuela dans l’état de Guyana une manifestation de soutien à la révolution  a réuni environs 10 000 ouvriers dans la Ciudad del Acero.

Dès 7 heures du matin, des milliers de travailleurs de Sidor, Alcaso, Ferrominera, Venalum, Bauxilum, Carbornarca, des briquetteries, ainsi que des travailleurs de la Snté et de l’éduction ont commencé a se concentrer à l Redoma La Piña.

Sous le soleil, lançant des slogans, ils se sont dirigés vers la place Hugo Chávez, qui se trouve dans le centre occupé par les étudiants depuis 6 jours. A mesure qu’avançait les colonnes ouvrières de la manifestation, les étudiants se retiraient.

Mais alors que l’action touchait à sa fin, après que des dirigeants politiques et syndicaux se soient exprimés, au moins deux groupes d’étudiant ont voulu reprendre les barricades, ils ont incendié des pneus.  Des centaines de travailleurs qui ce sont mobilisé face à eux ont été reçu par des tirs, provenant du balcon d’un immeuble. Au moment où est cet article est écrit, il y a six blessés par balles certains dans un état grave.

La Classe Ouvrière de Guyana, la même qui a récupéré les entreprises de bases des mains des transnationales, la même qui a impulsé le Contrôle Ouvrier et le Plan Guyane Socialiste, la même qui se retrouve aujourd’hui luttant pour ses Conventions Collectives, la même qui a du affronter en plus d’une occasion la bureaucratie de l’État est debout et n’est pas dans la confusion : aucune amélioration ne peut être espérée par les travailleurs, de la part de la droite et c’est pour cela qu’elle descend dans la rue défendre SA RÉVOLUTION !!!


Traduction libre Anne Wolff

Source en espagnole :
Contundente respaldo de la Clase Obrera de Guayana al Proceso Revolucionario culmina con trabajadores heridos de bala por francotiradores fascistas


Partager cet article
Repost0
20 février 2014 4 20 /02 /février /2014 09:47

 

 

« Rien que »… une illustration de cette solidarité régionale qui s’exprime entre les gouvernements, les associations et les personnes, un grand mouvement qui traverse la « Grande Patrie », qui est profondément Patriote, enracinée, mais qui contrairement au cloisonnement nationaliste est susceptible de s’étendre à la planète entière dans le respect de la diversité et de la singularité de chacun.


L'identité forte n'a pas peur de s'ouvrir à la différence des autres qui est enrichissement.


C'est très certainement ce qui fait tellement peur aux partisans de la globalisation marchande aculturelle et homogénéisante.

 

 

 

Diseño de franela traido por jóven estadounidense para distribuir en marchas y eventos de solidaridad con Venezuela en EE.UU.

Un tee-shirt dessiné pour être distribué dans les marches et événements de solidarité avec le Venezuela aux Etats-Unis


Voici le texte de la déclaration, la liste de signatures est tellement longue qu’overblog n’en veut pas (article trop long !), je vous invite donc à la consulter ici : Declaración Internacional en defensa de Venezuela: contra el fascismo, el terrorismo y la violencia: 

Frente a la escalada fascista contra VENEZUELA Bolivariana:

Pueblo movilizado y urgente solidaridad internacionalista

Nuevamente el fascismo encaramado en los sectores más reaccionarios de la oposición venezolana ha mostrado cuáles son sus “propuestas”: terror, muerte y abierta desestabilización. Esto ocurre justamente en momentos en que arrecia la ofensiva imperialista contra el gobierno de Nicolás Maduro (y contra otros procesos similares en la región) a través de fuga de divisas, desabastecimiento, inflación inducida, y por supuesto, ataques de las corporaciones mediáticas, para intentar generar un clima claramente destituyente.

Esta vez, la oligarquía venezolana ha impulsado a sus “cachorros”,  personificado en el lumpenaje de clase media y media alta que arropados por el discurso de sus direcciones políticas, como es el caso de Leopoldo López, ganan las calles y no sólo exigen que el gobierno legítimo renuncie sino que atacan edificios de la infraestructura urbana y asesinan a militantes populares, como es el caso del lider comunitario Juan Montoya del barrio 23 de Enero.

Frente a esta nueva ofensiva imperialista se hace necesario que la solidaridad internacional con el pueblo y el gobierno de VENEZUELA se haga sentir de forma superlativa.

En ese sentido, los abajo firmantes, planteamos la necesidad de que los Presidentes latinoamericanos agrupados en la CELAC y en UNASUR tomen cartas en el asunto antes de que sea demasiado tarde, y convoquen a una reunión urgente en la misma capital venezolana, para respaldar al gobierno de Nicolás Maduro y al pueblo agredido por el fascismo.

Hoy, VENEZUELA necesita que América Latina y el Caribe le devuelvan con hechos todas las muestras de apoyo que ese país ha ido gestando hacia nuestro continente a lo largo de estos 15 años de mandato revolucionario.

Por otra parte, desde los movimientos populares y personalidades que apoyan la Revolución Bolivariana, nos autoconvocamos para estar alertas y movilizados para responder a los intentos desestabilizadores que el imperialismo y el fascismo llevan a cabo contra nuestros pueblos.

Ahora más que nunca:

¡Chávez vive, la lucha sigue!


¡Al fascismo se lo derrota con pueblo movilizado y la solidaridad internacionalista!

ORGANIZACIONES ARGENTINAS

Resumen Latinoamericano
Organización Social y Política Los Pibes
Convocatoria por la Liberación Nacional y Social
Movimiento Evita
Organizaciones Libres del Pueblo
Movimiento Popular La Dignidad
Marea Popular
Movimiento de Trabajadores Excluidos,MTE
Frente Popular Daría Santillán
Corriente Política 17 de Agosto
Frente de Organizaciones Kirchneristas
Movimiento Nacional Campesino Indígena,CLOC,Vía Campesina
Coordinación Latinoamericana de Movimientos Territoriales Urbanos ,Capítulo Argentina
Organización social y política Voluntario Global
Cooperativa de Trabajo Su Lavandería
El Hormiguero EPP
Cooperativa de Vivienda COVILPI
FM Riachuelo 100.9
Cine Wilde recuperado
Agrupación Envar el Kadri,Peronismo de Base
Sabaleros del Remanso
Corriente Política Enrique Santos Discépolo
Familiares de Desaparecidos y Detenidos por Razones Politicas
Frente Popular Darío Santillán
Agrupación Eva Perón de Avellaneda
Barricada TV
Encuentro Nacional Popular Latinoamericano
CTD Aníbal Verón
Corriente Nuestroamericana de Trabajadores 19 de Diciembre
Frente Popular Darío Santillán Corriente Nacional
Escuela de Formación Política Jose Carlos Mariategui
Frente Popular Darío Santillán-Corriente Nacional
Movimiento Estudiantil Liberación
Movimiento Brazo Libertario
Organización Identidad Gay
Amig@s del Pueblo Vasco (Capítulo Argentina)
Frente de Resistencia Nacional
Centro Popular de Desarrollo , Tigre
Partido MILES, FTV
Konfluencia Popular
Agrupación Oesterheld
Articulación Movimientos ALBA
El Sur no Espera
Red Nac & Pap Nacional y Popular
FICiP , Festinal Internacional de Cine Político
MPR Quebracho
CTD Anibal Veron
Corriente Nuestroamericana de Trabajadores 19 de Diciembre
Movimiento Estudiantil Liberación
Grupo de Reflexión Rural Wirajcocha
Movimiento por la Unidad Latinoamericano y el Cambio Social
Movimiento Nacional de Liberacion 26 de Julio
CEMIDA
URBANA Te Ve Canal Comunitario Villa 31 y 31 bis
C.U.M.PAS (Corriente Urbana de Militantes Peronistas )
Asociación FILEF Buenos Aires ( FORO ITALO ARGENTINO LABORAL DE EMIGRACIÓN Y FAMILIA)
Organización de Solidaridad de los Pueblos de África, Asia y América latina (OSPAAAL)
Organización La Simón Bolívar
Agrupación Juana Azurduy
Cieys (Centro de Investigaciones Económicas y Sociales)
Centro de Estudios Alejandro Olmos, Santa Fe, Argentina
Centro Social y Cultural, Avelino Bazán, Humahuaca, Jujuy
Comision Ejecutiva CTA regional Bahia Blanca-Dorrego
MRS, Militantes por la Revolución Socialista
Asociación Cultural Loquesomos ,  Argentina
Coordinadora Internacional de Solidaridad con VENEZUELA, Países y Procesos del ALBA
Comité Internacional por la Libertad de los Cinco
Proyecto Tatu ,Argentina
Fundación Un Mundo Mejor es Posible ,Argentina
Centro de Estudios de GUATEMALA ,CEG
Programa de Radio La Deuda Eterna ,Argentina
Espacio de Radio Rompiendo Muros ,Argentina
Fundación El Prosumidor
Casa de los Pueblos
Partido SÍ , Solidaridad e Igualdad
Militancia Guevarista (MG)
Trabajadores Ocupados y Desocupados Unidos  (TODU)
Colectivo Gran Colombiano Mariscal Sucre, en la Ciudad de Quilmes
Federación de Entidades de Fomento y Organizaciones Libres del Pueblo, Quilmes, Argentina
Confederación de Entidades de Fomento y Juntas Vecinalistas, Buenos Aires, Argentina
Emancipacion , Argentina
Corriente ATILIO LOPEZ en el Proyecto Nacional y Popular
Proyecto Sur provincia de Buenos Aires
Corriente Nacional Emancipación Sur
Organización Juanita Moro, Jujuy, Argentina
Movimiento de Unidad Popular
Centro de estudios para la autogestión de la economía
Revista 2016
El Ortiba, Colectivo de Cultura Popular, Argentina
Corriente Juvenil “Barro Joven”
ASITRACOP (Asociacion Sindical de Trabajadores Cooperativistas y Precarizados)
Cooperativa de Trabajo Despiertavoces de Berazategui, Bs. As., Argentina
PSol-Partido Solidario Bahía Blanca en Frente Nuevo Encuentro
Juventud Guevarista de Argentina
Unión del Pueblo
Frente Universitario Guevarista
Corriente de Trabajadores Guevarista
Revista Mascaró
MOCEP SALTA (Movimiento campesino estudiantil popular) Argentina
Movimiento Político y Social Marcha Patriótica Capítulo Argentina
Colectivo La Patria es América
Asociación de Derechos Humanos Justicia Social Por Colombia
Voz a Vos Comunicaciones
Colectivo de Derechos Humanos Tejiendo Sur
Colectivo La Toma
Colectivo Muralista A Mano Alzada
Programa de TV popular NUESTRAMERICA
Federación de Estudiantes Universitarios de Colombia – FEU Capítulo Argentina

Firmas Individuales

ARGENTINA

Osvaldo Bayer, escritor
Stella Calloni, periodista
Atilio Borón, politólogo
Carlos Aznárez, periodista
Lito Borello, dirigente social
Norman Briski, actor,
Roberto Andrés Gallardo,Juez
Vicente Zito Lema, poeta y escritor
Norberto Galasso, historiador
Hugo Yasky, Secretario General de la CTA
Alejandro Rusconi, Secretario de Relaciones Internacionales, Movimiento Evita
Eduardo Soares, abogado, dirigente social
Luis Angel D´Elía, Partido MILES, FTV
Fernando Buen Abad Dominguez, Filósofo
Julio Fuentes, secretario general de ATE y presidente de CLATE
Rafael Araya Masry, Periodista, Partido MILES
Elda Durán,Escritroa,,Río Cuarto,Córdoba,Argentina
Armando Jaime (Mocep-Salta)
Héctor Carrica, Secretario de DDHH, ATE
Carlos Chile, Sec. Gral. CTA Capital
Fernando Cardozo, Sec. RRII CTA Capital
María Torrellas, Documentalista, Resumen Latinoamericano
Carina Maloberti, dirigenta sindical de ATE
Claudia Korol, Pañuelos en Rebeldía
Martín García,comunicador, Argentina
Jorge Kreynes, Partido Comunista
Sergio Ortiz, Partido de la Liberación
Marcelo Ruiz, Rector Universidad Nacional de Río Cuarto, Córdoba, Argentina
Lily Galeano , Movimiento 26 de Julio
Julia Roca, Psicóloga, Integrante de Carta Abierta
Tilda Rabi,Presidenta Federación de Entidades, Argentino Palestinas.
Francisco Ozemo, Secretario Tesorero Federación Gráfica Bonaerense
Roberto Perdía, abogado, dirigente social
Leandro Albani, Periodista, Resumen Latinoamericano
Marta Speroni, Comité Internacional por la Libertad de los Cinco
Gloria Beretervide, Periodista
Roberto Baschetti. Sociólogo. Historiador.
Nora Patrich. Artista plástica.
Eduardo Lucita, economista
Champa Galiotti, Multisectorial de Solidaridad con CUBA de Rosario, Argentina
Héctor Enrique Castro, militante
Marcelo Nono Frondizi, Secretario General Ajunto CTA Nacional
Andrés Bercum, Secretario Gral. del SITUBA , CTA
Héctor Sanchez, periodista Agencia Telam y Radio Grafica
Sergio Peralta, periodista, docente. Mendoza, Argentina
María Itumelia Torres,Periodista,Directora Radio Nacional Puerto Iguazú,Misiones,Argentina
Nacho Dueñas, historiador y cantautor de Cádiz, ESPAÑA
Natalia Vinelli, directora Barricada TV, militante, periodista
Guillermo Caviasca, Militante historiador Docente
Silvia Madia, militante
Cristina Romano, Diputada Nacional
Jorge Drkos ,COPPPAL, Argentina
Carlos Raimundi, Diputado Nacional Argentina
Nana Salinas. Estudiante Universitaria. Militante.
Jorge Nardone,DNI 6074985,Periodista,LRA 5 Radio Nacional, Rosario, Argentina
Antonio Fenoy, Coordinador del Colectivo de Teología de la Liberación “Pichi Meisegeier”
Fabiola Sánchez, periodista
Pablo Bergel, Diputado de la Ciudad de Buenos Aires
Silvia Lobov, socióloga
Diputada Porteña Virginia González Gass, PSA en UNEN
Ann Ferguson, Profesora emerita de Filosofia y estudios de la Mujer, Genero y Sexualidad ,UMass Amherst, EUA
Diego Manuel Vida, Periodista
Rosana Salas, comunicadora, productora periodística
Prof.Lic. Norma J. Costas, Antropóloga, UBA
Martha Lidia Ferreira, geopolítica
Clara Rivas   jubilada
Susana Estevez, química, militante social
Marcelo Langieri, sociólogo, dirigente social.
Mónica Simoncini, documentalista
Omar Neri, documentalista
Cayetano Mazzaglia
Claudia Betancur
Nenina Rutschi, ilustradora
Rosana Salas,comunicadora, productora periodística
Cristina Adrover
Carlos Prado, periodista, Bajo el volcán, FM La Tribu
Juan Cruz Daffuncio, Movimiento Aníbal Veron
Víctor Ríos, Historiador
Juan Carlos  Gargiulo, ciudadano argentino, jubilado
Mirta Goldberg, Periodista, Educación
Mabel Mamani, Estudiante de Trabajo Social
Astor Massetti, sociólogo
Milciades Peña, Diputado (m.c), C. A. B. A.
Juan Manuel Peluffo
Andrés Ruggeri, antropólogo
Matilde Sosa, periodista
María del Carmen Huarte, Trabajadora Social
Ernesto Herminio Fernández, Médico
Silvia Maturana, Adoquín Video Digital
Pablo Navarro Espejo, Adoquín Video Digital
Morrelli Gloria,  historiadora y socióloga, docente  UBA
Andres Lapaco miembro de Vecinos Memoriosos de Caballito
Alejandro Pisnoy
Oscar Natalichio
Juan Minghetti
Jorge Sor
Daniel Tort, ASOCIACION AMERICANA DE JURISTAS  SECCIONAL SALTA
Carlos Oviedo, Presidente AMEPAS-RA – P.A.M.I.
Miguel Angel Ferrari, conductor programa radial “Hipótesis”, Rosario.
Luis A. Nelli – psicólogo – Decano Facultad de Humanidades y Ciencias Sociales – Universidad Nacional de Misiones (UNaM)- Argentina
Jorge Federico Watts, dirigente de Derechos Humanos
Lidia Fagale, secretaria general de la UTPBA, Unión de Trabajadores de Prensa de Buenos Aires
Juan Carlos Camaño, Presidente de la FELAP, Federación Latinoamericana de Periodistas
Juan Carlos Guiñazú
Roberto Pozzo
María Teresa Contin, librepensadora
Ana Laura Pereira, cineasta
Lydia Pallavicini.
Luis Bacchetta, docente
Alicia Susan Gómez, Escritora-Docente
Aníbal Cedrón, artista plástico.
Diego Molinas ( Docente)
Sara Rosenberg ,escritora
Alberto Marino, periodista, Mendoza, Argentina
Beatriz Barrera, Sociologa
Elida Vieites educadora popular
Hugo Cañón,  ex fiscal general
Laura Caligaris, productora de radio y tv., periodista, ,Argentina,
Carlos “Calica” Ferrer, compañero del 2º viaje con el Che. ,Argentina,
Jorge Falcone, Documentalista, docente
Manuel Abeledo, Profesor universitario
Gabriel Metidieri, Movimiento Nacional de Liberacion 26 de Julio
Norma Michi / docente e investigadora de la UNLu
Julio Flores, docente, artista visual
Cnl(R) José Luis García, CEMIDA
Prof. Elsa Bruzzone, CEMIDA
Horacio A. López. Escritor. Argentina.
Norberto Ganci, periodista, escritor
Ariel Díaz, Movimiento Brazo Libertario
Liliana Ezcurra, MRS, Militantes por la Revolución Socialista
Francisco Tete Romero,Docente y escritor
David Iud, Abogado
Cristian Pozo, Sociólogo
Elsa Calabro
Elena Cedrón, Bióloga
Julio Fuentes, secretario general de la Asociación Trabajadores del Estado y Presidente de CLATE
Fernando Torres (DNI12079331), Realizador Audiovisual, Trelew, Chubut,Patagonia Argentina
Colectivo de Teología de la Liberación “Pichi Meisegeier” de la Argentina
Abel Langer, editor, Argentina
Marcelo Cabeza,  Instituto Sudamericano de Estudios, Rosario, Argentina
Virginia González Gass, diputada porteña
Viviana Ochiuzzi, periodista
Francisco Alcocer Michel
Marité Colovini, psicoanalista, Rosario, Argentina
Águeda  Franco, poeta
Gerardo Roberto Martínez
Honoris Camacho, Comunero,
Rodolfo A. Álvarez, poeta y periodista , Junín, Pcia. Bs As
Emilio Puchol
Antonio Ruscitto,
Nancy Avila
Marcela Bordenave, funcionaria Cancillería Argentina
Marcela Galmarini, Documentalista, Vicepresidente de ArDoc (Asoc. Rosarina de Documentalistas)
Andrés Figueroa Cornejo, periodista, colectivo Kaosenlared.net
Horacio Chitarroni, sociólogo,
Luis Bacchetta, docente ,
Jorge Alfredo Rios
Maya Lambert
Graciela Ramírez ,Argentina
Alicia Lesgart ,Argentina
Ana María Moro ,Argentina
Darío D´Vicenso ,Argentina
Gustavo D´Vicenso ,Argentina
Mariano Soso ,Argentina
Berenise Soso ,Argentina
Juan Cheroni ,Argentina
Indio Rivero , Argentina
Adriana Doncel ,Argentina
Carolina Paz , Argentina
Guliana Marinucci ,Argentina
Milko Figueroa ,Argentina
Darío Valenzuela ,Argentina
Santiago Valenzuela ,Argentina
Juan Carlos Ramos ,Argentina
Raúl León Ramírez ,Argentina
Alejandro Moll ,Argentina
Graciela Rosemblum ,Argentina
Claudia Camba ,Argentina
Graciela Ferreyra ,Argentina
Martha Thame, Argentina
Carmen Peña, Jujuy, Argentina
Cristina Romano, Jujuy, Argentina
Elva Castro, Jujuy, Argentina
Clara Iñiguez, Jujuy, Argentina
Ariel Ruarte, Jujuy, Argentina
Claudia Viviana Norma Fernández
Clara Cheroni ,Argentina
Fray Antonio Puigjané ,Argentina
Silvio Ferreyra ,Argentina
Clara Berenstam, contadora
Alberto Marino, periodista de Minga FM 96.5 Radio Universidad (UNCuyo),Mendoza, Argentina.
Jean Araud,Comunicador
Martín García,comunicador, Argentina
Victoria Echavarría Daspet, solidaria
Nestor Fresco, San Martín de los Andes, Neuquén, Argentina
Enrique Muñoz Gamarra
Daniel Alberto Chiarenza, investigador histórico, Argentina
Ismael Hamdouch, artesano, Argentina
Susana Murillo, Docente investigadora
Osvaldo Tondino, Pte, Confederación de Entidades de Fomento y Juntas Vecinalistas, Bs As
Eduardo Oliva, Secr.Gral., Confederación de Entidades de Fomento y Juntas Vecinalistas, Bs As
Mirta Clara, psicologa
Iego Manuel Vidal, periodista
Eduardo Yarke, investigador
Norberto Alayón – trabajador social
Maria Angela Petrizzo Paez
Elisa Rando. Trabajadora de Prensa
Noris Dìaz trabajadora social
Daniel Vilá, Periodista
Dora Corvalán  Lic en Economía
Maria Cristina  Güena,  docente
Mariela Flores Torres – historiadora
Lucas Krmpotic, Casa de la amistad argentino cubana de Trelew, Argentina
Alicia Rodriguez
Jorge “Colo” Kaplan
Luis Brusco
Manuel Reyes
Esteban Carranza
Juan Villa
Graciela Biagini, socióloga.
Darío Callejas
Silvia Etchebarne, docente
BIBLIOTECA POPULAR DE TREVELIN- CHUBUT – ARGENTINA
Comisión por la Memoria, la Verdad y la Justicia de Zona Norte
Gabriel Link, periodista, FM Sur, Paso de los Libres, Corrientes.
Fernando Ubeda
Gabriel Impaglione, poeta, Argentina
Enrique Gandolfo, Secretario General Comision Ejecutiva CTA regional Bahia Blanca-Dorrego
Jorge Nardone.Periodista. LRA 5 Radio Nacional Rosario
Adrián Grana – Diputado Provincia de Buenos Aires Frente Nuevo Encuentro.
Paloma Garcia, periodista y fotografa.
Deolidia Martinez, psicóloga del trabajo,UNRC
Prof. Juan Lujan
Carlos Alberto Lobelos
Julio Morresi, secretario Familiares de Desaparecidos y Detenidos por Razones Politicas
Carmen Candelario, docente
Fernando Vigo, abogado
Martín Scalabrini Ortiz, Ingeniero químico, Movimiento Emancipador
Marta Asla
Valeria Mutuberría Lazarini
Edgardo L. Fernández, Presidente (Casa de la Amistad Argentino Cubana de Bahía Blanca, Argentina).
Azucena de la Fuente
Graciela Beascoechea
Pizzuti Ana Maria , medica
Jorge Luis Ubertalli, periodista, poeta y escritor
Grupo Las Lajas, militancia politica y social, Mar del Plata – Argentina
Alberto Rabilotta, periodista.
Gabriel E. Vitullo – politólogo
Guillermo Anachuri – Psicologo
Colectivo Político-Cultural “Negros de Mierda”
Asociación por los Derechos Humanos “Coca Gallardo”, Salta, Argentina

 

 

 


Suite de la liste interminable des signatures venues du monde entier


Declaración Internacional en defensa de Venezuela: contra el fascismo, el terrorismo y la violencia:





Partager cet article
Repost0
19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 09:13

 

 

 

obama211

Extase avortée (Lopez 2010, l'autre on ne le présente plus)

 

Capriles cuestionó que por ejemplo en la convocatoria de López no hay una explicación de qué significa proponer una “salida”, sin ningún evento electoral previsto para este año

Lune de fiel brisée : avec son frère ennemi Capriles

Leopoldo López

2002 Lopez ex jeune putschiste

 

protesta-opo03_0

2014 aux commandes de  l'insurrection                                      


VENEZUELA-POLITICS-OPPOSITION-LOPEZ-SURRENDER

Lopez c'est rendu aux (anges) gardiens de la paix et de sa vie.

Complétements surréaliste le dénouement du jour (hier) au Venezuela. Leopoldo López est venu, comme promis à ses partisans prononcer un bref discours à la manifestation qu’il avait convoquée par vidéo la veille, et il leur a demandé de continuer à occuper la rue, avant de se rendre aux Gardiens de la Paix.

Une des raisons invoquées comme cause de cette reddition serait la visite faite la veille par Diosdado Cabello aux parents de López pour leur apporter la preuve que depuis Miami se planifiait l’assassinat de leur rejeton.

 

Concentración en Miraflores de los petroleros y en apoyo a Maduro

 

Une immense manifestation de soutien au gouvernement a également eu lieu. Et Maduro y a prononcé ces paroles que je vous transmets


« Finalement, c’est nous qui veillons sur la vie de Leopoldo López, et je sais que ses parents sont contre nous, mais qu’ils savent bien au fond de leur cœur que nous sauvons la vie de leur fils. Il faut que le Venezuela et le monde le sachent »

 

 

 


Leopoldo López ingresando al Palacio de Justicia. Diosdado Cabello está con él

 Et c’est Cabello qui a assuré personnellement la sécurité de López…une vraie nounou

 


Quand à Capriles, il est tellement occupé à retourner sa veste, cherchant désespérément le bon côté, celui qui lui permettra de conserver son rôle de leader de la MUD, qu’il n’a toujours pas le temps de remplir ses fonctions de gouverneur de Miranda, et surtout pas de participer aux réunions de gouverneurs et maires du pays convoquées par le gouvernement.

Deux gros problèmes se posent à la droite : une guerre interne pour le leadership qui fait que Capriles et López ne cessent de balancer entre complicité (dans les actions de déstabilisations) et rivalité (pour la direction de l’alliance d’opposition), Et la conclusion d’un rapport des conseillers de Capriles qui affirment qu’il est impossible de déclencher une révolution de couleur au Venezuela. Le but de tout ce vilain monde reste bien sûr la chute du gouvernement et la destruction du chavisme, et les actes de violence ponctuelle continuent, un mort de plus dans l’attaque d’une usine textile par un groupe motorisé et plus de cent blessés, à présent, un bon nombre par balles, mais qui va diriger la suite du mouvement ? Surtout s'ils se mettent à s'entretuer, cela risque de laisser un vide à l direction !

Dans la journée : comparution de López devant le tribunal, conférence de presse des organisations populaire à Caracas pour convoquer une nouvelle manifestation antifasciste et anti impérialiste pour jeudi.

Et nous saurons bientôt si d’autres leaders putschistes vont émerger ou si le mouvement va s’essouffler faute de direction. Ce qui est certain : personne ne croit Capriles quand il prétend vouloir arriver à la présidence par les voies constitutionnelles. De gros budgets ont été mobilisés pour nourrir l'insurrection oligarchique et payer les délinquants et autres sicaires qu'elle utilise pour jeter le pays dans le chaos.

Quand un internaute menace de mort de manière abstraite sur le net Obama : un an de prison. Quand une jeune espagnole fait de même avec son gouvernement : un an et demi. Et Lopez, à ce tarif là, qui offre des cibles à l'effigie du Président Maduro, et quelques personnes du petit peuple sans importance, pour que des tueurs s'entraînent avant de passer à l'action de magnicide... il va prendre combien selon vous ?


 

Partager cet article
Repost0
18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 13:54

 

 

Ramón Soto, étudiant : CNN utilise d’anciennes images de moi pour tromper le monde.

Par: Orlando Rangel Yustiz. AVN

 

 imágenes viejas de Ramón Soto de hechos que ocurrieron el 10 de abril de 2013

Image datée du 10 avril 2013

Crédit: escuelabolivarianapoderpopular.blogspot.com

17 février – Ramón Soto est étudiant en Sciences Politiques et Juridiques de l’Université des Andes de l’État de Merida. Le 10 avril 20&3 il a été agressé sauvagement par des groupes financés par Voluntad Popular (VP) et les Gouvernement des États-Unis comme Juventud Activa Venezuela Unida (Javu), qui sont les troupes de choc de la droite, lors d’un meeting de la campagne de celui qui était alors candidat à la présidence Henrique Capriles Radonski, qui s’était achevé dans la violence. 

Presqu’un an plus tard, Ramón Sota, qui appartient aux forces étudiantes révolutionnaires de la ULA et milite dans les mouvements des Jeunesses du Parti Socialiste Unifié du Venezuela (Jpsuv), a de nouveau été agressé, cette fois par l’entreprise transnationale de communication CNN, dans sa version en espagnol.

“Il existe une série d’images de ma personne qui circulent dans les réseaux sociaux et qui sans aucun scrupules sont diffusées dans des programmes de télévision, par dessus tout par le canal CNN en Espagnol. Ils ont repris d’anciennes images de moi, qui datent du 10 avril 2013, quand j’ai été agressé par des hordes violentes qui étaient avec Henrique Capriles lorsqu’il était venu pour sa clôture de campagne », explique Soto lors d’une entrevue téléphonique accordée à l’Agence Vénézuélienne d’Information (AVN)

A ce sujet, il ajoute : « A présent ils utilisent ces images pour dire qu’il y a de la répression au Venezuela, et pour tromper le monde, et ce sont non seulement ces images qui sont diffusées, mais également d’autres qui sont prises dans d’autres pays, où issues d’événements anciens »

Pour Soto, l’agression contre lui va plus loin. La fausse information diffusée par CNN le classe comme membre du mouvement 13 de l’Université des Andes, groupe lié à VP et Javu et qui est coordonné par la membre de VP Gaby Arellano.

“Ce qui me dérange le plus, c’est qu’ils utilisent des images qui me font apparaître, moi, comme un membre du Mouvement 13 qui agit depuis l’Université des Andes, ce qui est un mensonge absolu, parce que je suis un membre de la Jeunesse du Parti Socialiste Unifié du Venezuela », souligne Soto

Faisant référence aux personnes qui manipulent ces groupes violents à Merida, Soto explique : “Gaby Arellano et Villoa Fernández sont les coordinateurs des actions du Mouvement 13, ils disent qu’ils sont étudiants, mais ce n’est pas vrai, ils se font passer pour des étudiants, ce sont des personnes qui n’assistent pas aux cours de l’Université mais qui y traînent depuis plus de 15 ans, y compris en y provoquant des faits de violences dans ses locaux”

La véritable agression et les mensonges des media

Ce Leader étudiant nous rappelle que précisément ces groupes - qui depuis le 12 février participent à des actions violentes qui ont provoqué la mort de 3 personne et plus de 70 blessés dans le pays – sont ceux qui lui ont causé plusieurs fractures du visage et qu’ils sont étroitement liés au politiques de la droite vénézuélienne.

 

“Moi, ce sont des membres du Mouvement 13 et de Javu , qui étaient présent à Mérida, fomentant des actions violentes et soutenant Capriles qui m‘ont agressé. L’agression que j’ai subie s’est produite après 4H30 de l’après-midi », se souvient Soto, qui après avoir reçu un coup de bouteille en plein visage a souffert d’une fracture de la cloison nasale, d’une fracture du maxillaire, d’une fracture orbitale, entre autres blessures, qui l’ont obligé à garder le lit pendant des mois, avant de subir une opération qui lui a permis d’améliorer sont état de santé. 

Soto commente le fait que ce 10 avril de 2013 beaucoup de media  montrèrent comme ce jour fut violent, cependant, nombre d’entre eux, liés aux intérêts de la droite ont utilisé ses images malgré qu’il s’agissent d’une information hors contexte et mensongère. 

“Les media se font l’écho de la manipulation fasciste et des faits violents que perpétue la droite. Les media sont responsables de l’information qu’ils diffusent, ils doivent la vérifier. C’est pour cela que je lance un appel à tous les media pour qu’ils vérifient les informations avant de les publier de quelque façon que ce soit », souligne le leader étudiant.

Pour Soto il est important que face à ces tromperies médiatiques qui prétendent associer le gouvernement révolutionnaire à des faits qui violent les droits humains, les forces révolutionnaires, la jeunesse et les étudiants qui luttent pour les véritables revendications du peuple doivent affronter le plan de coup d’état programmé par l’extrême-droite.

“L’appel que nous lançons depuis le mouvement étudiant de la révolution, est un appel à la paix, si certains veulent sortir pour manifester qu’ils le fassent de manière pacifique, sans violenter le droit d’autres personnes, le droit à la libre circulation et le droit à s’exprimer sans causer de dommage à qui et quoi que ce soit » affirme-t-il

Que s’est-il passé le 10 avril 2013 à Merida

Après la visite d’Henrique Capriles a Mérida, les groupes d’extrême-droite ont activé la violence dans l’entité Andine avec pour conséquence la perte matérielle de plus de 300 000 bolivars (35OOO €) dans les édifices et locaux commerciaux adjacents à l’Avenue 26 de la ville, lieu où s’était effectuée l’action de prosélytisme »

Neuf personnes avaient alors été blessées par des objets contondants, parmi elles, 3 mineurs d’âge, un Sergent de la Garde nationale Bolivarienne et un Officier de Police de l’État de Mérida.

Le groupe de choc ont également pris d’assaut les installations de l’Institut de la Jeunesse de l’Etat de Mérida, du Ministère de l’Agriculture et des Terres, de YVKE Mondial les Andes (chaîne de radio populaire NdT), de la Corporation Méridienne du Tourisme, de la Fondation Régionale de l’Enfant Simón et du Gouvernement de l’État de Merida.

Ils avaient également attaqué le siège de l’Université Nationale expérimentale des Forces Armées (Unefa), où ces groupes ont volé la bannière de cette maison d’étudiants.

Pendant que ces faits se produisaient, l’ex président de Colombie, Alvaro Uribe Vélez, « informait » à travers son compte du réseau social Tweeter @AlvaroUribeVel de ce qui suit : « Communauté du Venezuela URGENCE 10 blessés par balles lors de la concentration de Capriles à Mérida, attaqués par des bandes armées communistes »

Traduction Anne Wolff

Source en espagnol :

Estudiante Ramón Soto: CNN utilizó imágenes viejas de mí para engañar al mundo


Les clones (CANVAS) de JAVU


Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Anne Wolff
  • : Comprendre la globalisation, apprendre à y résister
  • Contact

Profil

  • Anne Wolff
  • Amoureuse de la vie, d'une fleur, d'un papillon, d'un arbre, du sourire d'un enfant, je m'oppose à tout ce qui conduit à la destruction systématique de ce que la nature a créé, de la vie, de la beauté du monde, de la tendresse et de la dignité
  • Amoureuse de la vie, d'une fleur, d'un papillon, d'un arbre, du sourire d'un enfant, je m'oppose à tout ce qui conduit à la destruction systématique de ce que la nature a créé, de la vie, de la beauté du monde, de la tendresse et de la dignité

No Pub

Malgré les publicités imposées dans sa nouvelles versions qui apparaissent sur ce blog,celui-ci reste un acte gratuit.

Recherche

Nouvelles formes du fascisme

"Le vieux fascisme si actuel et puissant qu’il soit dans beaucoup de pays, n’est pas le nouveau problème actuel. On nous prépare d’autres fascismes. Tout un néo-fascisme s’installe par rapport auquel l’ancien fascisme fait figure de folklore […].

Au lieu d’être une politique et une économie de guerre, le néo-fascisme est une entente mondiale pour la sécurité, pour la gestion d’une « paix » non moins terrible, avec organisation concertée de toutes les petites peurs, de toutes les petites angoisses qui font de nous autant de microfascistes, chargés d’étouffer chaque chose, chaque visage, chaque parole un peu forte, dans sa rue, son quartier, sa salle de cinéma."

 

Gilles Deleuze, février 1977.

Toutes Dernières Archives