Faute d’une opposition désireuse de se joindre aux professionnels de la déstabilisations – étudiants ou non - formés par les instituts étasuniens et en Serbie dans le but de renverser le gouvernement sous la couverture des manifestations populaires indispensable aux fictions de « coup d’état doux », la déstabilisation reste à nu, montrant son vrai visage encapuchonné de paramilitaires menant une guerre de basse intensité :
Après avoir brûlé un microbus, l’opposition pacifique encapuchonnée accueille la police avec des tirs, 4 policiers ont été blessés. Alors que des francs-tireurs embusqués bloquent l’accès aux ambulances venues leur porter secours et aux pompiers venus pour éteindre l’incendie. .
Les transporteurs protestent, la perte d’un de leur bus signifie une perte de moyens d’existence qui va jeter des familles dans le besoin.
Dans un autre quartier, ce sont trois civils qui ont été blessés, pendant qu’un autre groupe a attaqué la caravane du gouverneur, Alexis Ramirez.
Dans la capital de l’état dont le mairedu parti d’opposition Primero Justicia a pris part aux marches étudiantes, après 43 jours de violence, de vandalisme, de grève des transports en commun, de manque d’approvisionnement dont les barricades empêchent le passage et obligent les gens à faire de nombreux détours lors de leurs déplacements, la ville présente un panorama de désolation, les prix augmentent de manière exponentielle., une partie des commerces sont fermés, ainsi que de nombreux services publics et des universités qui ont été saccagées et pillées.
Différents secteurs sont encore sous contrôlesn, des opposants qui construisent d’énormes barricades, et Maduro annonçait aujourd’hui que c’est plus de 5 000 arbres qui ont été abattus dans le pays pour cet usage.
Dans un autre quartier, des frns-tireurs ont ouvert le feu sur des passants.
Ils ont blessés plusieurs policiers et tué un travailleur de la télévision d’état CANTV
Manifestation pacifique étudiante d’opposition et vue panoramique des manifestants