13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 13:20

 

 

 

 

 

Des documents que je ressors comme on jette une bouteille à la mer en espérant que d’autres s’en ressaisissent parce qu’il s’agit de quelque chose d’extrêmement grave, aussi grave que l’utilisation des nazis par les Etats-Unis dans le but d’éliminer leurs ennemis tout en créant un climat de terreur. Et que de tels faits devraient être de notoriété publique contribuant à augmenter la résistance des consciences aux matrices d’opinion que crée la propagande du système.

La guerre à laquelle nous sommes sommés de participer est aussi une guerre des consciences ;  en ce qui me concerne, il est hors de question d’entrer dans le jeu des théories de masses, c’est à cela justement que nous cherchons à échapper. Par contre, il s’agit  de permettre à des personnes d’effectuer leur choix en ayant connaissances des enjeux qui  les concerne, (en habitants bien informés). Tous dans le cadre de la globalisation, c’est de choix de monde à venir dont il est question, dans les conditions d’une interdépendance accrue de tous les « points » de la planète, résonance et interaction longue distance sont deux clés, point de bifurcation en est une autre, je vous renvoie à la lecture de « La nouvelle alliance » de Stengers et Prigogine, mais aussi à « Condition de l’homme moderne » d’Hannah Arendt deux livres qui suivent souvent des chemins convergents.

Une petite formule de Stengers que j’aime beaucoup : « La gauche a besoin de gens qui pensent, la droite pas ». Et une illustration de la différence concrète, les défilés des zappatistes dernièrement dans les rues des Chiapas n’ont rien d’un mouvement de masse comme peut l’être une émeute, c’est le mouvement organique de personnes conscientes chacune  de soi et de la collectivité qu’elles constituent ensemble.

Je dois creuser la question : « Qu’est-ce qui fait qu’au Venezuela ou au Honduras, dernièrement au Paraguay, les médias aux ordres (dominant le paysage médiatique) peuvent y aller de leur matraquage de masse, de leur désinformation la plus sophistiquée, cela ne marche plus ?

Un excellent livre de Claude Julien pour comprendre l’expansion de l’empire  L'Empire américain, Grasset, 1968. Réécrire un manuel d’histoire des USA, non revu par Hollywood serait une œuvre de salubrité publique.  Des collusions des Ford, Bush et autres « pouvoir de l’ombre » avec le nazisme, du rôle joué par le nazisme dans l’expansion coloniale US en particulier dans l’opération Condor. Une excellente chose aussi serait de mettre en lumière la nature et le déroulement des formations à « l’école des Amérique » ou Mossad, CIA et ex-nazis ont formé les bourreaux de l’Amérique latine en se fondant sur le film « la bataille d’Alger » pour peaufiner leurs méthodes de douleur. Incontournable à ce sujet l’excellent documentaire de Marie-Monique Robin, une des rares à nous prouver aujourd’hui que le grand journalisme d’investigation n’est pas mort..

Quelques pistes donc sur ce chemin crucial : mettre en lumière qui sont les Etats-Unis,  une histoire réelle d’un pouvoir occulte, victime d’une idéologie dévastatrice. Et qui aimerait nous voir tous logés à la même enseigne, une guerre perpétuelle dans le monde du soupçon et voici de quoi contribuer à cette démarche :

 

USA recherches sur les armes radioactives, rapports déclassifiés en 2007

 

Traduction du texte publié par Eva Golinger

Ejército de EEUU busca la radiación para matar a los líderes de la Guerra Fría

Version espagnole ci-dessous et lien vers le texte originel en Anglais. Suggestions pour améliorer ma traduction bienvenues....

 

L’armée des Etats-Unis cherche la radiation pour tuer les leaders de la guerre froide

Par Robert Burns – Associeted Press

Publié le 9 octobre 2007

 

Un des secret les plus longtemps gardé de la guerre froide, fut l’exploration par l’armée des Etats-Unis de la possibilité d’utiliser des poisons radioactifs pour assassiner des « personnes importantes », comme les chefs militaires ou civils, selon des documents déclassifiés obtenus par l’Associated Press

Approuvés par les plus hautes instances de l’armée étasunienne en 1948, ce projet faisait partie d’une recherche secrète des militaires d’un nouveau "concept de  guerre » usant des matériaux radioactifs de la bombe atomique pour contaminer des portions de territoire ennemi ou pour les utiliser contre des bases militaires, des usines ou des troupes ennemies.


Les historiens militaires qui ont mené des investigations au sujet de ce vaste programme de guerre radiologique dirent lors d’entrevues que jamais ils n’avaient  vu [d’évidences] de cette recherches, jusque-là.  L’usage de telles armes contre des personnalités publiques a des précédents. L’année passée (2006 NdT), un attaquant inconnu a utilisé une petite quantité de Polonium-210npour assassiner le critique du Kremlin à Londre, Alexandre Litvinenko.

 

Dans les documents déclassifiés du gouvernement concernant ces armes, il n’est pas fait mention de leur usage contre des personnes. Leur déclassification fait suite a une demande  présentée par AP en 1995, justifiée par la loi d’accès à l’information (FOIA).  


Les documents récemment remis à AP ont été censurés par le gouvernement étasunien afin d’éliminer les détails concernant les agents de la guerre radiologique et d’autres détails. La censure montre que l’intérêt pour le potentiel de l’usage de poisons radioactifs comme arme est plus qu’une note historique, [sino que se cree ? sinon qu’il est possible ?] que ce soit une recherche pour les terroristes actuellement impliqués dans l’attaque d’objectifs étasuniens)


Les documents n’indiquent pas si une arme radiologique pour assassiner des individus de haut rang fut utilisée en quelque occasion ou si elle fut finalement développée  par les USA. Le document n’indique pas non plus jusqu’où est allé ce projet de l’armée. Un mémoire de décembre 1948 décrit ce projet et d’autres notes du même mois indiquent qu’il est en cours. Les sections principales de différents rapports de 1949 ont été censurées avant la délivrance des documents à l’AP .


L’effort le plus grand de l’usage offensif de guerre radiologique parait s’être arrêté autour de 1954, en partie du fait de la conviction du Département de la Défense que les armes nucléaires sont une meilleure option.

Il n’est pas clairement dit si le travail passa à une autre agence comme la CIA. Le projet reçu son approbation finale en novembre 1948 et commença au cours des mois suivants, juste un an après la création dela CIA en 1947.


Ce fut une époque turbulente de la scène internationale. En Août 1949, l’Union Soviétique essaya avec succès sa première bombe atomique, et deux mois plus tard les communiste de Mao Tse Tung triomphèrent dans la guerre civile chinoise.


Lorsque les scientifiques des USA utilisèrent  la bombe atomique lors de la seconde guerre mondiale, il était reconnu que les agents radioactifs utilisés ou créés dans le processus de fabrication avaient un potentiel létal. Le premier communiqué public du gouvernement US au sujet du projet de la bombe, publié en 1945, signale que les produits de fission d’un réacteur ayant l’uranium  comme combustible peuvent être extraits et utilisés comme une forme particulièrement cruelle de gaz empoisonné.


Parmi les documents remis à la AP – une note de l’armée du 16 décembre 1948, et classifiée secrète – décrit un programme intensif pour développe une variété  d’usages militaires du matériel radioactif. Travailler à la mise au point d’armes d’attaque subversive des personnes ou petits groupes fût catalogué comme priorité secondaire, qui se limitait aux études de faisabilité et expériences.

Les principales priorités énumérées furent :




-Armes de contamination « des zones peuplées ou critiques d’autre manière pour de larges période de temps


-Munitions combinant un fort potentiel explosif avec du matériel radioactif pour causer des dommages physique et la contamination radioactive simultanément.


Armes aériennes et/ou de surfaces qui étendent la contamination à travers une zone à évacuer, pour que ce quelle ce qui s’y trouve ne puisse être utilisé par les forces ennemies


L’objectif avoué est de créer un prototype d’armes pour les numéros 1 et 2 pour le 1er décembre 1950.


La 4ème priorité dans l’ordre furent des munitions pour attaquer les individus en usant des agents des agents radioactifs de manière « qu’il n’y ait ni soin ni thérapie. »

Cette catégorie de munition est destinée à l’usage d’agents secrets ou d’unités subversives menant des attaques mortelles contre de petits groupes d’individus importants, par exemple durant les réunions des chefs civils ou militaires, disent les documents.


L’assassinat de personnalités étrangères par des agents du gouvernement US ne fut pas interdite explicitement jusqu’à ce que le président Gerald R. Ford signe un ordre exécutif en 1976 en réponse aux révélations de la planification de l’assassinat du Président Cubain Fidel Castro, notamment par .empoisonnement


Le 16 décembre 1946, un rapport souligne qu’une attaque mortelle contre une personne au moyen de matériel radioactif devrait se faire d’une manière à ce que soit impossible d’incriminer le gouvernement des USA, un concept connu comme « négation plausible » qui est fondamentale pour les actions sous couverture des USA.



« L’origine de la munition, le fait qu’une attaque a eu lieu et le type d’attaque ne doivent pas être déterminables, si c’est possible », et  « la munition doit être discrète et facilement transportable »


Les agents radioactifs paraissaient idéaux pour cet usage, selon ce document, à cause de leur grande toxicité et du fait que les personnes affectées ne pouvaient ni percevoir leur odeur, ni les goûter ou sentir l’attaque.


« Il devait être possible » par exemple, d’utiliser une munition fort petite, qui puisse fonctionner imperceptiblement et qui établirait une concentration invisible, mais hautement létale dans une pièce, avec des effets visibles seulement beaucoup plus tard après l’attaque »… dit le rapport.

Tom Bielefeld, un physicien de Harvard qui a étudié la question des armes radioactives, dit que bien qu’il n’ait jamais entendu parler de ce projet, ses objectifs techniques sont réalisables

Bielefeld signale que le polonium, la substance radioactive utilisée pour assassiner Litvinenko en novembre 2006, possède exactement le type de caractéristiques qui seraient adéquates pour la mission mortelle que décrit la note du 16 décembre 1948


Barton Bernstein, professeur d’histoire à l’université de Standford en Californie qui a réalisé une investigation d’envergure sur les efforts militaires des USA pour développer la guerre radiologique, dit que cet aspect n’avait jamais amené à la lumière du public auparavant.
"

« Cela est un des éléments qui nous surprend, mais qui ne devrait pas nous étonner, vu que durant la guerre froide, il y eu déjà toutes sortes de manière de tuer les gens – inhumaines, barbares et même pires-  envisagées périodiquement aux hauts niveaux du gouvernement US dans ce qui fut perçu comme une guerre juste contre un ennemi odieux » dit Bernstein

Le projet fut dirigé par le Corps Chimique de l’Armée, commandé par le général de division Alden H. Waitt, et supervisé par un organisme à présent disparu appelé Projet d’Armes Spéciales des Forces Armées. Le premier chef de projet fut le major général Leslie R. Groves, chef pour l’Armée, du projet Manhattan qui construisit les premières bombes atomiques. Le projet fut approuvé par le successeur de Groves, le général de division Kenneth D. Nichols. 


Les documents déclassifiés furent rendus  publics dans les archives du Projet d’Armes Spéciales des Forces Armées et les Archives Nationales des USA.

Parmi ceux qui reçurent ces documents de 16 d&cembre se trouvaient Herbert Scoville Jr., le directeur technique du Projet d’Armes Spéciales des Forces Armées et le sous directeur de la CIA pour les investigations et Samuel T. Cohen, un physicien de Rand Korp qui avait travaillé au projet Manhattan.

La première autorisation pour l’armée de mener à bien son projet d’armes radiologiques se donna en mai 1948, un moment important de l’histoire des USA puisque ce fut juste après l’utilisation avec succès de deux bombes atomiques contre le Japon pour mettre un terme à la seconde guerre Mondiale. L’armée était anxieuse d’explorer les implications de la science atomique pour les guerres futures.


Dans un document déclassifié de juillet 1948 délimitant les intentions du programme avant réception des détails pour accord final, un point de focalisation fut la longue durée de la contamination de vastes territoires dont les résidents devraient partir ou mouraient des radiations dans une période évaluée entre 1 et 1O ans (période largement sous-évaluée et ne tenant pas compte des transmissions de gènes mutés au mieux létaux pourles génération à venir NdT)

« Il apparait que c’est un nouveau concept de guerre dont les consequences sont imprévisibles», dit le document

 

 

 

 

 

Ejército de EEUU busca la radiación para matar a los líderes de la Guerra Fría

Ejército de EEUU busca la radiación para matar a los líderes de la Guerra Fría

{Original in English here]

Por Robert Burns - The Associated Press

Publicado: Martes 09 de octubre 2007


En uno de los secretos más duraderos de la Guerra Fría, el Ejército de Estados Unidos exploró la posibilidad de utilizar venenos radioactivos para asesinar a "personas importantes", como líderes militares o civiles, según documentos desclasificados obtenidos por The Associated Press.

Aprobados por los niveles más altos del Ejército estadounidense en 1948, el esfuerzo formó parte de la búsqueda secreta de los militares para un "nuevo concepto de guerra" usando materiales radiactivos de la bomba atómica para contaminar franjas de tierra enemiga o para utilizar contra bases militares, fábricas o tropas enemigas.

Los historiadores militares que han investigado el amplio programa de guerra radiológica, dijeron en entrevistas que nunca antes habían visto evidencia de la búsqueda de un arma de asesinato, hasta ahora. Usando armas así contra figuras públicas tiene precedentes. El año pasado, un atacante desconocido utilizó una pequeña cantidad de polonio-210 para asesinar al crítico del Kremlin Alexander Litvinenko en Londres.

No se mencionan personas afectadas en las referencias sobre las armas de asesinato en los documentos desclasificados del gobierno, que fueron recibidos en respuesta a una solicitud bajo la Ley de Acceso a la Información (FOIA) presentada por la AP en 1995.

Los antiguos documentos dados recientemente a la AP fueron censurados por el gobierno estadounidense para eliminar detalles sobre los agentes de guerra radiológica y otros detalles. La censura refleja que la preocupación sobre el potencial para el uso de venenos radiactivos como arma es más que una nota histórica, sino que se cree que es buscado por la actual terroristas empeñados en atacar objetivos de los EE.UU.

Los documentos no indican si un arma radiológica para asesinar a individuos de alto rango fue usado alguna vez o incluso si fue finalmente desarrollado por los EE.UU. Los documentos no indican hasta qué punto llegó el proyecto del Ejército. Un memorando de diciembre 1948 describe el proyecto, y otra nota de ese mes indicó que estaba en marcha. Las principales secciones de varios informes de progreso en 1949 fueron censuradas antes de la liberación de los documentos a la AP.

El esfuerzo más amplio del uso ofensivo de guerra radiológica al parecer murió alrededor de 1954, al menos en parte debido a la convicción del Departamento de Defensa de que las armas nucleares eran una mejor opción.

No está claro si el trabajo pasó a otra agencia como la CIA. El proyecto recibió la aprobación final en noviembre de 1948 y comenzó el mes siguiente, justo un año después de la creación de la CIA en 1947.

Fue una época turbulenta en la escena internacional. En agosto 1949, la Unión Soviética probó con éxito su primera bomba atómica, y dos meses más tarde los comunistas de Mao Zedong triunfaron en la guerra civil china.

Mientras los científicos de EE.UU. desarrollaron la bomba atómica durante la Segunda Guerra Mundial, fue reconocido que los agentes radiactivos utilizados o creados en el proceso de fabricación tenían un potencial letal. El primer informe público del gobierno estadounidense sobre el proyecto de la bomba, publicado en 1945, señaló que los productos radiactivos de fisión de un reactor de uranio como combustible podrían ser extraídos y utilizados "como una forma particularmente cruel de gas venenoso."

Entre los documentos entregados a la AP - una nota del Ejército de fecha 16 de diciembre 1948, y clasificada secreto - se describe un programa intensivo para desarrollar una variedad de usos militares de los materiales radiactivos. Trabajar en un "arma de ataque subversivo de los individuos o grupos pequeños" fue catalogado como una prioridad secundaria, que se limitó a estudios de viabilidad y experiencias.

Las principales prioridades enumeradas fueron:

• Armas de contaminar "las zonas pobladas o de otra manera críticas por largos períodos de tiempo."

• Municiones de la combinación de explosivos de alta potencia con material radiactivo "para lograr daños físicos y contaminación radiactiva simultáneamente".

• Armas de aire y / o armas de superficie que se extendieran la contaminación a través de un área para ser evacuado, por lo que éste no podrá utilizarse por las fuerzas enemigas.

El objetivo declarado era crear un prototipo de armas de prioridad para el No. 1 y No. 2 para el 31 de diciembre de 1950.

La cuarta prioridad del ranking fue "municiones para atacar a los individuos" usando agentes radiactivos para los que "no hay curas ni terapia."

"Esta clase de municiones se proponía para el uso de agentes secretos o unidades subversivas en ataques letales contra grupos pequeños de individuos importantes, por ejemplo, durante las reuniones de líderes civiles o militares", decían los documentos.

El asesinato de personalidades extranjeras por parte de agentes del gobierno de EE.UU. no fue prohibido explícitamente hasta que el presidente Gerald R. Ford firmó una orden ejecutiva en 1976 en respuesta a las revelaciones de que la CIA había planeado en la década de 1960 el asesinato del presidente cubano Fidel Castro, incluso por envenenamiento.

El 16 de diciembre 1948, un informe destacó que un ataque letal contra una persona utilizando material radiactivo se debería hacer de una manera que hiciera que sea imposible rastrear la participación del gobierno de EE.UU., un concepto conocido como "negación plausible" que es fundamental para las acciones encubiertas de EE.UU.

"El origen de la munición, el hecho de que un ataque se ha hecho, y el tipo de ataque no debe ser determinable, si es posible", decía. "La munición debe ser discreta y fácilmente transportable."

Se pensaban que los agentes radiactivos eran ideales para este uso, según el documento, debido a su alta toxicidad y el hecho de que las personas afectadas no podían oler, gustar o sentir el ataque.

"Debería ser posible, por ejemplo, desarrollar una munición muy pequeña, que podría funcionar imperceptiblemente y que establecería una concentración invisible, pero altamente letal en una habitación, con los efectos visibles sólo mucho después de la hora del ataque," decía.

Tom Bielefeld, un físico de Harvard que ha estudiado el tema de armas radiológicas, dice que aunque nunca había oído hablar sobre este proyecto, sus objetivos técnicos suenan factibles.

Bielefeld señaló que el polonio, la sustancia radiactiva utilizada para matar a Litvinenko en noviembre de 2006, tiene exactamente el tipo de características que serían adecuadas para la misión letal que se describe en la nota de 16 de diciembre de 1948.

Barton Bernstein, profesor de historia de la Universidad Stanford en California que ha realizado una amplia investigación sobre los esfuerzos de los militares de EE.UU. para desarrollar la guerra radiológica, dijo que este aspecto no había llegado anteriormente a la luz pública.

"Este es uno de los elementos que nos sorprende, pero no debe sorprendernos, ya que en la Guerra Fría, todo tipo de formas de matar a la gente, de todas las maneras - inhumanas, bárbaras y hasta peor - se contemplaron periódicamente a altos niveles del gobierno de Estados Unidos en lo que fue visto como una guerra justa contra un enemigo odiado y odioso", dijo Bernstein.

El proyecto fue dirigido por el Cuerpo Químico del Ejército, comandado por el general de división Alden H. Waitt, y supervisado por un organismo ya desaparecido llamado el Proyecto de Armas Especiales de las Fuerzas Armadas. El primer jefe del proyecto fue el mayor general Leslie R. Groves, jefe del Ejército del Proyecto Manhattan que construyó las primeras bombas atómicas. El proyecto fue aprobado por el sucesor de Groves, el general de división Kenneth D. Nichols.

Los documentos desclasificados fueron puestos en público en los archivos del Proyecto de Armas Especiales de las Fuerzas Armadas en el Archivo Nacional de Estados Unidos.

Entre los receptores del documento del 16 de diciembre se encontraban Herbert Scoville, Jr., el director técnico del Proyecto de Armas Especiales de las Fuerzas Armadas y el subdirector de la CIA para la investigación, y Samuel T. Cohen, un físico de Rand Corp. que había trabajado en el Proyecto Manhattan.

El primer visto bueno para el Ejército de llevar a cabo su proyecto de armas radiológicas se dio en mayo de 1948, un punto importante de la historia de EE.UU., porque fue justo después de la utilización con éxito de dos bombas atómicas contra Japón para poner fin a la Segunda Guerra Mundial. El ejército estaba ansioso para explorar las implicaciones de la ciencia atómica para el futuro de la guerra.

En un documento desclasificado de julio 1948 delineando la intención del programa antes de haber recibido los detalles para la aprobación final, un punto de enfoque fue la larga duración de la contaminación de grandes extensiones de tierra donde los residentes tendrían que salir o morirían de la radiación dentro de uno a 10 años.

"Se cree que este es un nuevo concepto de la guerra, con resultados que no se pueden predecir", decía el documento.

Posted by Eva Golinger Postcards from the Revolution

 

Traduction Anne Wolff

 

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