Un zoom sur les conceptions du monde de ces très riches qui ne brillent ni par leur intelligence, ni par leur beauté, ni encore moins par leur humanité.
Alors qu’en Australie depuis la semaine passée a été mise en œuvre la mise à mort « humanitaire » de 100 000 chevaux et autres animaux sauvages, depuis des hélicoptères, de tel propos font résonance comme ils le font avec cette tendance mondiale eugéniste qui ne cesse de faire des petits (et des morts, et des personnes stérilisées contre leur volonté, et des terres rendues inhabitables, incultivables, mortes, stériles, radioactives ou dangereusement polluées).
Des conceptions que partage et met en œuvre à grande échelle le monomaniaque de service Bill Gates, coopté par ses pairs pour entrer dans le cercle des dirigeurs de monde, de notre monde, et décider sans l’avis des populations qui l’habitent, contre leur volonté, contre leurs intérêts et en envisageant de plus en plus souvent la disparition des peuples comme solutions à leur problème d’avidité accaparante exacerbée.
En l’occurrence la Gina se contenterait de l’eugénisme sans malthusianisme.
J’ai décidé de supprimer ce texte, non pas parce que son contenu ne serait pas attribuable à la Gina personnellement, mais à cause des réactions plus que stériles qu’il a suscité et de celles qui ont brillé par leur absence.
La première chose que je voulais remettre en question, c’est cette notion d’élite si mal employée par ceux-là même qui conteste le droit accaparé par une certaine oligarchie a décider seule de l’avenir de la planète.
Cette oligarchie n’a rien d’une élite, elle dégage les relents nauséabonds d’un passé pourri, qui devrait avoir été relégué depuis longtemps au fond des plus profonde des oubliettes de l’histoire mais qui se propose (et s’impose) aujourd’hui comme seul avenir possible.
Que la Gina ait ou non prononcé les paroles qui lui ont été attribuée finalement importe peu, parce que l’idéologie quelle reflète, elle oui existe, est bien réelle et gagne chaque jour du terrain.
Je regrette d’avoir publié sa photo, pour les réactions qu’elle a suscitées. Personnellement quand je l’ai vue, ma réaction était du style, je n’échangerais pas qui je suis contre ses milliards et son physique. Chaque miroir doit être une insulte pour elle. Et cela me fait plutôt pitié.
Bien sûr que si elle avait été jolie et séduisante personne jamais n’aurait pensé à lui attribuer de tels propos, parce que personne ne les aurait relevés.
Je ne pensais donc pas qu’elle susciterait la haine et ces méchancetés qui ont déferlé à son sujet, mais bien plutôt de l’humour et de la dérision face à ces élites autoproclamée, une sorte d’antidote à l’envie d’accepter leur fortune comme argent comptant quand il s’agit de s’acheter une crédibilité comme décideur d’avenir pour tous.
Quand je qualifie Bill Gates de crétin monomaniaque, je le pense, une sorte d’autiste comme beaucoup de dit « surdoués » qui ne le sont que parce que leur cerveau fonctionne dans une seule direction, alors oui, ils vont très loin en ce sens mais seulement parce qu’ils sont absolument fermés, insensibles à tout le reste. Il est malsain que de tels personnages, par le seul fait d’une fortune acquise en fonction de règles fixée par les grands marchands pour phagocyter l’économie mondiale, joue par la seule malédiction de leur fortune, un rôle de décideurs politiques de premier plan.
Et la question de s’avoir s’il faut ou non taxer les grosses fortunes, ce qui de toute façon n’aboutit jamais est subsidiaire. La vraie question est de savoir qui gagne combien en fonction de quel travail et qui décide des critères.
Nous connaissons tous le principe des parachutes dorés pour ceux qui foutent en l’air opportunément des entreprises prospères. Des retraites dorées pour ceux qui n’ont cessé tout au long de leur carrière politique de trahir leur fonction de mandataires du peuple. Nous nous sommes tous interrogé sur les vrais raisons qui font qu’un joueur de football gagne des fortunes alors que le balayeur de rue si utile est payé un salaire de misère qui dans les conditions actuelles ne lui permet même plus d’assurer ces besoins de base et ceux de sa famille, quand bien même les deux époux travaillent.
Mais il semble bien que la réflexion ait définitivement fait place à l’émotionnalité de la haine et du rejet. Et cela est grave.
Ce qui est à remettre en question, ce sont les sources de ces grosses fortunes, la manière dont elles se sont constituées, celle par laquelle elles se perpétuent et actuellement enflent dans des proportions de démesure inimaginables il y a peu et qui sont le fruit d’abus, d’injustice criantes qui n’ont pu se produire que par des décennies de prise en mains des médias, de réduction progressive de la qualité de l’enseignement et ce jusqu’au niveau universitaire.
Et c’est cela qui est scandaleux, qu’un projet de monde qui a besoin pur se perpétuer de l’abrutissement des peuples, d’une guerre psychologique menée pour y arriver, et d’installer des outils de contrôle et de répression sans lesquels il ne serait pas accepté par l’immense majorité de la planète, le scandale c’est qu’un tel projet s’impose aujourd’hui a beaucoup comme seul projet de monde possible. Ce qui est scandaleux, c’est que la fortune mal acquise d’un Bill Gates et à laquelle chacun d’entre nous presque a contribué serve à mettre irréversiblement en place les conditions et structures d’un monde dont nous ne voulons pas et ce en imposant aux peuples le silence et la soumission.
Et ce qui est scandaleux et que personne n’a relevé, c’est ceci à lire par axemple ici Abattage controversé de milliers de chevaux sauvages en Australie ou ailleurs, c'est ceci :
Parmi les centaines de commentaires que j’ai lu sur ce texte pas un seul ny a fait allusion et cela c’est grave.
Anne Wolff (en colère)
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