1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 12:33

 

Encore une rubrique de ce blog qui devrait changer de nom, Obama maître valet deviendrait   Obama cynique ordure.... pour tous ceux qui se font encore des illusions au sujet du"petit-blanc" devenu préident des USA... si vous y croyez encore après cela, c'est que vous êtes incurable... un monument de cynisme et d'autosuffisance...

Au départ on pouvait voir trois possibilités

1) Obama était un imbécile... croire qu'un président fût-il des USA fait ce qu'il veut c'est stupide et se présenter pour une fonction sans savoir ce qu'elle implique, surtout cell-là, ne l'est pas moins.

2) Obama est un fou... une sorte de schizo-mégalo qui ne voit rien au-delà d'une satisfaction égotiste

3) Obama est une cynique ordure... et il manipule consciement les aspiration d'un peuple en réel désir de changement sachant qu'il est d'emblée au service d'une oligarchie qui s'apprête à mettre la planète à feu et à sang, en présurant encore d'avantage de peuple des USA et les autres....

J'ai très vite opté pour le 3 avec un peu du 2 déjà pendant sa campagne électorale, son absence de réactions lors du coup d'état au Honduras m'a ôté les derniers doutes...

Je vous laisse juger, à lire tout de même pour comprendre que retrait des troupes officielles et démilitarisation ne sont pas synonymes tant s'en faut et qu'il n'est qu'un sale tricheur...Vers un marché mondial de la guerre pour les compagnies militaires privées (+ dossier mercenaires) - Le blog de Anne Wolff 

Et pour chaque point, on peut démontrer la tricherie, la manipulation jusqu'à l'écoeurement comme j'en ai plus que ma dose en cemoment de dégoût divers... je vous laisse vous scandaliser et jouer au petit jeu de démontage de ce discours obscène dont le pire est la conclusionde la première partie...  pauvre Syrie.

Ceux qui connaissent ce blog depuis longtemps savent que ce n'est pas du tout mon style d'y aller dela pure insulte...  Que au-delà de la fonction j'aurais plutôt de la compassion pour de pauvres petits bonshommes comme Geogres W. ou Sarko dont l'histoire retiendra peut-être surtout le côté ridicule... mais Obama, il me degoûte positivement... à cause de son hypocrisie...

 

 

 

 

Depuis presque sept décennies, quand bien même les Nations Unies ont contribué à empêcher une troisième guerre mondiale, nous vivons encore dans un monde balafré par les conflits et tourmenté par la pauvreté. Quand bien même nous proclamons notre amour de la paix et notre haine de la guerre, le monde reste en proie à des troubles qui nous mettent tous en danger.

 Je suis entré en fonction alors que les États-Unis livraient deux guerres. Qui plus est, les extrémistes violents qui nous ont fait entrer en guerre en premier lieu – Oussama ben Laden et son organisation Al-Qaeda – avaient toujours les coudées franches. Aujourd’hui, nous avons fixé un nouveau cap.

Les opérations militaires des USA en Iraq vont prendre fin d’ici à la fin de l’année. Nous allons avoir des relations normales avec un pays souverain, membre de la communauté des nations. Ce partenariat égal se renforcera grâce à notre soutien à l’Iraq, à son gouvernement et à ses forces de sécurité, à son peuple et à ses aspirations.

De quel pays parle vraiment Obama ?

Tout en mettant fin à la guerre en Iraq, les États-Unis et nos partenaires de la coalition ont commencé une transition en Afghanistan. D’ici à 2014, un gouvernement afghan et des forces de sécurité toujours plus capables entreprendront d’assumer la responsabilité de l’avenir du pays. Et à mesure qu’ils le feront, nous retirerons nos forces tout en construisant un partenariat durable avec le peuple afghan.

Nul ne doute, donc, que la marée de la guerre est en train de refluer.

Quand je suis entré en fonction, à peu près 180 000 Étasuniens servaient en Afghanistan et en Iraq. D’ici la fin de l’année, leur quantité aura diminué de moitié et continuera de diminuer. Ceci est capital pour la souveraineté de l’Iraq et de l’Afghanistan, et tout aussi essentiel pour le renforcement des USA dans la mesure où nous édifions notre nation chez nous.

De plus, nous allons finir ces guerres en position de force. Voilà dix ans, il y avait une plaie béante ouverte et des amas d’acier tordus, un cœur brisé au centre de cette ville-ci. La nouvelle tour qui se dresse au Grounds Zéro symbolise la renaissance de New York, tandis qu’Al Qaeda est soumis aujourd’hui à plus de pressions que jamais, que son leadership s’est dégradé, et qu’Oussama ben Laden, quelqu’un qui a tué de milliers de personnes dans des dizaines de pays, ne mettra plus jamais la paix du monde en péril.


Eh bien, oui, cette décennie a été difficile. Mais nous sommes aujourd’hui au carrefour de l’Histoire, et nous avons l’occasion de nous acheminer décisivement vers la paix. Mais, pour ce faire, nous devons en revenir à la sagesse de ceux qui ont créé cette institution. La Charte des Nations Unies nous appelle à « joindre nos forces pour maintenir la paix et la sécurité internationales ». [...]


[…] Cette année a été une époque de transformation extraordinaire. Toujours plus de nations ont progressé pour maintenir la paix et la sécurité internationales. Toujours plus d’individus réclament le droit universel de vivre dans la liberté et la dignité.


[...] Face aux balles et aux bombes, le peuple libyen a refusé jour après jour de renoncer à cette liberté. Et quand il a été menacé par ce genre d’atrocités massives qui a si souvent sévi au siècle dernier, les Nations Unies ont fait la fête à leur Charte, le Conseil de sécurité a autorisé toutes les mesures requises pour éviter un massacre, la Ligue arabe a réclamé cet effort, des nations arabes ont rejoint la coalition conduite par l’OTAN qui a barré la route aux forces de Kadhafi.

[...] Hier, les dirigeants de la nouvelle Libye ont pris place ici, parmi nous, de plein droit, et cette semaine les États-Unis rouvrent leur ambassade à Tripoli.

Voici comment la communauté internationale est censée fonctionner : des nations qui s’unissent au nom de la paix et de la sécurité ; des individus qui réclament leurs droits. Maintenant, nous avons tous la responsabilité d’appuyer la nouvelle Libye, le nouveau gouvernement libyen qui doit relever le défi de transformer ce moment de promesse en une paix juste et durable pour tous les Libyens.

Oui, cette année a été remarquable. Le régime de Kadhafi est terminé. Gbagbo, ben Ali, Moubarak ne sont plus au pouvoir. Oussama ben Laden est parti, et l’idée que le changement ne peut arriver que par la violence a été ensevelie avec lui.

 

Quelque chose se passe dans notre monde. Ce n’est pas parce que les choses se sont déroulées d’une certaine façon par le passé qu’elles se dérouleront de la même manière à l’avenir. La dalle humiliante de la corruption et de la tyrannie est en train de se soulever. Les dictateurs sont mis en demeure. La technologie met le pouvoir aux mains du peuple. Les jeunes refusent fortement la dictature et rejettent le mensonge selon lequel des races, des peuples, des religions, des ethnies ne désirent pas la démocratie. La promesse écrite sur le papier : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits », est toujours plus à portée de la main.

[...] L’aune de notre succès est si les gens peuvent vivre dans une liberté, une dignité et une sécurité durables. Et les Nations Unies et leurs États membres doivent jouer leur rôle pour soutenir ces aspirations essentielles. Et nous avons encore du pain sur la planche.

 

[...] Des hommes, des femmes et des enfants ont été et torturés, emprisonnés et tués par le régime syrien. Des milliers ont été assassinés, dont beaucoup durant la période sainte du Ramadan. Des milliers d’autres ont fui à travers la frontière. Le peuple syrien a fait preuve de dignité et de courage dans sa quête de la justice, protestant pacifiquement, s’asseyant en silence dans les rues, mourant pour les mêmes valeurs que cette institution-ci est censée défendre. Et la question pour nous est claire : allons-nous appuyer le peuple syrien ou allons-nous appuyer ses oppresseurs ?

L’ONU a déjà appliqué de dures sanctions aux dirigeants syriens. Nous soutenons un transfert de pouvoir qui réponde au peuple syrien, et beaucoup de nos alliés nous ont rejoints dans cet effort. Mais, pour le bien de la Syrie et pour la paix et la sécurité dans le monde, nous devons tous parler d’une seule voix : il n’y a plus d’excuses pour ne pas agir. Il est temps que le Conseil de sécurité des Nations Unies sanctionne le régime syrien et appuie le peuple syrien.


Nous devons répondre aux appels au changement dans cette région. Au Yémen, des hommes des femmes et des enfants se réunissent tous les jours par milliers dans les rues et sur les places dans l’espoir que leur détermination et l’effusion de sang l’emporteront sur un système corrompu. Les Etats-Unis appuient ces aspirations. Nous devons œuvrer avec les voisins du Yémen et avec nos partenaires dans le monde pour chercher une voie qui conduise à une passation pacifique de pouvoir de la part du président Saleh et à l’organisation dans les meilleurs délais d’élections justes et libres.

Au Bahreïn, des mesures ont été prises pour démarrer la réforme et la responsabilité. Nous en sommes satisfaits, mais il en faut plus. Les États-Unis sont des proches amis du Bahreïn, et nous continuerons d’appeler le gouvernement et le principal bloc d’opposition – le Wifaq – à poursuivre un dialogue sérieux qui apporte les changements pacifiques que désire le peuple. Nous croyons que le patriotisme qui maintient les Bahreïnis ensemble doit être plus puissant que le sectarisme qui les déchirerait. Ce sera dur, mais c’est possible.


Nous croyons que chaque nation doit suivre son propre chemin pour satisfaire aux aspirations des peuples. Les États-Unis ne sauraient espérer être d’accord avec les vues politiques de chaque personne ou de chaque individu. Mais nous défendrons toujours les droits universels que prône cette Assemblée. Ces droits dépendent d’élections libres et justes, d’une gouvernance transparente et responsable, du respect des droits des femmes et des minorités, d’une justice égale pour tous et équitable. Voilà ce que méritent nos peuples. Tels sont les facteurs d’une paix appelé à durer.

De plus, les États-Unis continueront d’appuyer les nations en transition vers la démocratie par plus de commerce et d’investissements, afin que la liberté soit accompagnée des chances. Nous renforcerons notre engagement avec les gouvernements, mais aussi avec la société civile – les étudiants, les hommes d’affaire, les partis politiques et la presse. Nous avons interdit aux violateurs des droits humains d’entrer dans notre pays. Et nous avons sanctionné ceux qui les bafouent à l’étranger. Et nous serons toujours la voix de ceux qui ont été bâillonnés.


Je sais maintenant, en particulier cette semaine, que, pour beaucoup dans cette salle, il est un point qui apparaît comme un test pour ces principes et un test pour la politique étrangère étasunienne : le conflit entre Israël et les Palestiniens.

Voilà un an, de cette même tribune, j’ai lancé un appel à une Palestine indépendante. Je croyais alors et je le crois encore, que le peuple palestinien mérite son État. Mais j’ai aussi affirmé qu’une paix authentique ne pouvait se faire qu’entre les Israéliens et les Palestiniens eux-mêmes. Un an après, malgré les efforts intenses consentis par les États-Unis et d’autres acteurs, les parties n’ont toujours pas comblé leurs différends. Devant cette impasse, j’ai avancé une nouvelle base de négociations en mai dernier. Cette base est claire. Chacun de vous la connaît. Les Israéliens doivent savoir que tout accord leur garantira la sécurité. Les Palestiniens méritent de savoir ce que sera la base territoriale de leur État.

Je sais que beaucoup sont frustrés par ce manque de progrès. Moi aussi, je vous l’assure. En fait, la question n’est pas le but que nous cherchons, mais comment l’atteindre. [...] La paix demande qu’on travaille dur. La paix ne viendra pas à travers des déclarations et des résolutions des Nations Unies – si c’était si facile, elle aurait déjà été faite. Somme toute, ce sont les Israéliens et les Palestiniens qui doivent vivre côte à côte. Somme toute, ce sont les Israéliens et les Palestiniens, et pas nous, qui doivent tomber d’accord sur les points qui les divisent : les frontières et la sécurité, les réfugiés et Jérusalem.

Somme toute, la paix dépend d’un compromis entre des gens qui sont appelés à vivre ensemble bien longtemps après que nous ayons prononcé nos discours, bien après que nos scrutins aient été dépouillés.


[...] Il est incontestable que les Palestiniens ont vu cet espoir [un État souverain] retardé durant trop longtemps. C’est justement parce que nous croyons si fort aux aspirations du peuple palestinien que les États-Unis ont investi tant de temps et tant d’efforts dans la construction d’un État palestinien, et dans les négociations qui peuvent aboutir à un État palestinien.

Mais qu’on nous comprenne bien : l’engagement des États-Unis envers la sécurité d’Israël est inébranlable. Notre amitié avec Israël est profonde et durable. [...]

[...]

Le peuple juif a forgé un État réussi sur sa patrie historique. Israël mérite d’être reconnu. Il mérite des relations normales avec ses voisins. Et les amis des Palestiniens ne leur rendent aucun service en ignorant cette vérité […]

[...] Chaque partie a des aspirations légitimes, et c’est bien cet aspect-là qui rend la paix si difficile. Et l’on ne pourra sortir de l’impasse que lorsque chaque partie se mettra dans la peau de l’autre, de façon que chaque partie voie le monde à travers les yeux de l’autre. Voilà ce que nous devons encourager. Voilà ce que nous devons promouvoir.


Tout en relevant ces défis de conflit et de révolution, nous devons reconnaître aussi et nous rappeler que […] la paix véritable dépend de la création des chances qui rendent la vie digne d’être vécue. Pour ce faire, nous devons faire face aux ennemis communs de l’humanité : les armes atomiques et la pauvreté, l’ignorance et les maladies. […]

 

Pour éloigner le spectre de la destruction massive, nous devons œuvrer de concert pour poursuivre la paix et la sécurité dans un monde exempt d’armes nucléaires. Ces deux dernières années, nous nous sommes engagés sur cette voie. Depuis notre Sommet de Washington sur la sécurité nucléaire, près d’une cinquantaine de nations ont pris des mesures pour garantir leur matériau nucléaire contre les terroristes et les contrebandiers.

Peut-il exister pire terrorisme que la politique agressive et belliciste d’un pays dont l’arsenal d’armes atomiques peut détruire plusieurs fois la vie humaine sur cette planète ?


Les États-Unis continueront de travailler à l’interdiction des essais d’armes nucléaires et de la production de la matière fissile nécessaire à leur production.

Et nous avons commencé à marcher dans la bonne direction. Et les États-Unis se sont engagés à remplir leurs obligations. Mais, tout en les remplissant, nous avons renforcé les traites et les institutions qui contribuent à stopper la prolifération de ces armes. [...]

Le gouvernement iranien ne peut prouver que son programme est pacifique. [...]


La Corée du Nord doit prendre des mesures concrètes pour renoncer à ses armes et à son attitude belligérante contre le Sud. Il existe un avenir de plus grandes possibilités pour les peuples de ces nations si leurs gouvernements respectent leurs obligations internationales. Mais s’ils continuent de marcher à l’écart du droit international, ils devront faire l’objet de plus fortes mesures de pression et d’isolement. C’est ce que réclame notre attachement à la paix et à la sécurité.

[...] Pour stopper les maladies qui traversent les frontières, nous devons renforcer notre système de santé publique. Nous continuerons de lutter contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme. Nous mettrons l’accent sur la santé de la mère et de l’enfant. Et nous devons œuvrer de concert pour prévenir, dépister et combattre toutes sortes de danger biologique, qu’il s’agisse d’une pandémie comme le H1N1, ou d’une menace terroriste ou d’une maladie curable.

[…] Pour préserver notre planète, nous ne devons pas différer les actions que demandent les changements climatiques. Nous devons exploiter le pouvoir de la science pour sauver les ressources qui sont rares. Et nous devons continuer de travailler ensemble pour prolonger les progrès que nous avons faits à Copenhague et à Cancún, de façon que l’ensemble des principales économies ici présentes persiste dans les engagements que nous avons pris. Nous devons œuvrer de concert pour transformer l’énergie qui fait fonctionner nos économies et soutenir les autres qui vont dans cette direction. Tel est l’engagement que nous demande la prochaine génération.

Et pour garantir que nos sociétés atteignent leur vrai potentiel, nous devons permettre à nos citoyens d’atteindre le leur.

 

Je sais qu’aucune ligne droite ne conduit à ce progrès, ni aucun chemin isolé au succès. Nous venons de cultures différentes et nous apportons avec nous des histoires différentes. Mais n’oublions jamais que même si nous nous réunissons ici en tant que chefs de différents gouvernements, nous représentons des citoyens qui partagent les mêmes aspirations essentielles : vivre dans la dignité et la liberté ; bénéficier d’une éducation et jouir de possibilités ; aimer nos familles, aimer et adorer notre Dieu ; vivre dans une paix qui rende la vie digne d’être vécue.

C’est la nature de notre monde imparfait qui nous contraint à apprendre constamment ces leçons. […] …ceux qui sont venus avant nous ont jugé que la paix était préférable à la guerre, la liberté à la répression, la prospérité à la pauvreté. Tel est le message qui émane, non des capitales, mais des citoyens, de notre peuple.

Et quand la première pierre de cet édifice a été posée, le président Truman est venu à New York et a dit : « Les Nations Unies sont essentiellement une expression de la nature morale des aspirations humaines. » La nature morale des aspirations humaines. Comme nous vivons dans un monde qui change à une allure époustouflante, c’est là une leçon que nous ne devons jamais oublier.

La paix est dure à instaurer, mais nous savons qu’elle est possible. Ainsi donc, faisons donc en sorte, ensemble, qu’elle soit définie par nos espoirs, non par nos peurs. Bâtissons ensemble la paix, mais une paix – ce qui est le plus important – qui soit durable.

Je vous remercie.

L’écouter jusqu’au bout mérite plus que de la gratitude : un prix ! (Fidel Castro) Je souscris. Anne

 

Cce n'est pas dans mes habitudes de couper dans des textes...  comme je n'ai pas trouvé d'autre traduction du discours, j'ai repris celle-ci de notes de Fidel Castro... Il existe des vidéos qui reprennent le texte intégral en anglais...

Pour ceux qui veulent bénéficier des commentaires pertinents de Chavez et des conclusions antidotes de Evo Morales : Chavez, Evo et Obama par Fidel CASTRO


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"Le vieux fascisme si actuel et puissant qu’il soit dans beaucoup de pays, n’est pas le nouveau problème actuel. On nous prépare d’autres fascismes. Tout un néo-fascisme s’installe par rapport auquel l’ancien fascisme fait figure de folklore […].

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Gilles Deleuze, février 1977.

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