Je ne donnerai pas de leçons de résistance. Ce que j’ai à dire à ce sujet je l’ai dit. Dans le désordre mais si tout est là. Je ne serai à la tête d’aucun mouvement car je crois que l’autoorganisation est la forme la plus avancée de l’évolution des humains et que si nous n’allons pas droit au but qui est de faire advenir l’humanité en nous organisant entre nous horizontalement et non plus verticalement selon des principes de hiérarchisation qui produisent des élites qui forcément finissent au bout de quelques générations par dégénérer, nous sommes mal barre. Et effectivement nous sommes mal barre. Les ressort traditionnels de la dialectique du maître et de l’esclave (Hegel traduit par Brecht dans « Maître Puntila et son valet Mati) sont mis à mal par l’apparition massive de désoccupés et de fonctionnaires des gens le plus souvent incapables de faire preuve d’initiative.
Conspiration, je le répète, ce n’est pas important de ce préoccuper de cela pour le moment. Complot contre l’humanité, il existe et agit, c’est un fait indéniable et qu’il faut en prendre la mesure. Il faut revenir au mouvement ouvrier qui culmine dans les années 30 du siècle dernier pour comprendre ce que nous avons perdu et déjà le complot est à l’œuvre puisque la destruction de l’Europe qui a sévi depuis la seconde guerre mondiale n’aurait pas été possible si quelques industriels et banquiers anglo-saxons n’avaient permis à Hitler de s’armer.
Parmi eux, nous comptons le sinistre Monsieur Ford qui a transformé l’homme en un prolongement de la machine et inventé l’exploitation consumériste, cette création artificielle du marché de superflu qui rend les riches plus riches en créant des besoins inventés de toute pièces et persuadant le public qu’il ne peut être heureux s’il ne peut se procurer les produits de cette grande arnaque : publicité et pouvoir d’achat, ce leurre qui prend la place des moyens d’existences deux choses qu’il ne faut pas confondre puisque le premier est pur quantitatif individualiste et concurrentiel alors que les seconds sont également qualitatifs et collectifs.
Un autre collaborateur d’Hitler est Prescott Bush qui d’ailleurs fut mis en cause pour cela par son gouvernement au début de la guerre (Or dès 1952 Prescott Bush n’en devint pas moins sénateur). Est-ce pour cela que le jeune George H. s’engage et devient un aviateur qui participe à de nombreuse mission, ce qui sauve l’image familiale ? Ajoutons aux collabos les banquiers Rothschild qui eux subsidient carrément les deux camps et quelques entreprises étasuniennes à vocation multinationale, ITT, Standard Oil, IBM (qui contribue au fichage des juifs), Exxon…les uns comme Ford antisémites convaincus ont des sympathies marquées pour le nazisme, d’autres pensent que le profit n’a pas à se soucier de morale.
Les rumeurs circulent qui nous parlent du sauvetage de nazis qui auraient eu à comparaître devant le tribunal de Nuremberg si cette même clique de sympathisants du nazisme ne leur avait donné une échappatoire afin d’utiliser leur sinistres compétences, notamment dans le développement de techniques de manipulation des masses et des inconscients collectifs le domaine le plus développé de cette pseudoscience capitaliste qui a progressé comme peut progresser la plus mortifère des épidémie. Car il est plus que temps d’ouvrir les yeux là-dessus : le système capitaliste oligarchique n’a amené que de rares découvertes scientifiques qui pour la plupart ont été marginalisées car ne contribuant pas à la genèse de profit.
Fini le temps des savants, fini le temps des chercheurs, des inventeurs des découvreurs, nous sommes passées à l’ère des scientifiques, techniciens des sciences sans imagination qui n’inventent rien, qui ne découvrent rien, qui développent en fonction des intérêt du marchés, de plus en plus les universités se sont vu passer sous la domination d’intérêts privés qui ne laissent plus aucune place à la recherche qui pourrait constituer un apport gratuit au bien commun…tout est devenu affaire de profit et les techniques ainsi mises au point si elles peuvent sembler dans un premier temps et à grand renfort de publicité contribuer à l’amélioration de l’humanité s’avèrent toutes très vite contreproductives en matière de mieux être.
Et je ne parle même pas du réchauffement climatique, cette tarte à la crème qui va permettre de mettre un compteur au cul des vaches pour calculer la taxe que devra payer leur propriétaire en fonction de la contribution de leurs flatulences à ce fameux réchauffement…je trouve la pollution par le CO2 et surtout par le CO qui se fixe sur les globule rouges sains de manière irréversible est bien plus préoccupante que ce réchauffement.
Qu’il soit réel ou inventé, d’origine humaine ou solaire, la manière dont est abordé ce réchauffement est une arnaque majeure. Contre une éventuelle montée des eaux, les habitants des Pays-Bas ont commencé à renforcer les digues grâce auxquelles ils ont conquis sur la mer une partie des terres de leur pays et les flamands de Belgique feraient bien d’en faire autant.
N’oublions pas non plus que Montréal est à une latitude proche de celle de Bordeaux et que le recul du Gulf Stream risque de produire un refroidissement tel que nous serions dans nos régions condamnés à nous les geler plutôt qu’à souffrir de trop de chaleur. Il me semble que nous voyons venir les choses et aurions les moyens de nous y préparer. Il en va de même avec cette pandémie plus que suspecte que l’on nous sert comme une menace et un chantage alors qu’aucune mesure de prévention sérieuse n’est prise et pour cause, la médecine officielle à vocation monopolistique fait de moins en moins de prévention.
De la vraie prévention, celle qui consisterait en l’occurrence à déterminer les mesures d’hygiène corporelle et collective à adopter, les manières de stimuler ses défenses naturelles pour acquérir une bonne résistance à la maladie. Envoyer un maximum de gamins des villes polluées se remplir les poumons de bon air pendant les vacances et leur servir une nourriture adaptée à la stimulation de ces défenses aurait été, par exemples, une mesure d’hygiène préventive on ne peut plus raisonnable. Vous avez entendu parler de ce type de mesure ? Moi pas.
La question était celle de la résistance. Et pour l’aborder correctement, il faut se demander tout d’abord à quoi et à qui nous sommes censés résister. Les fondements d’une réponse se trouvent dans les paragraphes ci-dessus. Mais c’est à chacun de déterminer pour soi-même. Mon camp est formé à la fois de ceux avec qui je partage des principes et des goûts communs simplicité, convivialité ….tout est dans mes textes…et de tous ceux qui ayant d’autres choix pour leur propre existence ne font pas obstacle à notre possibilité d’autodétermination.
Mais la vraie question n'est pas de savoir contre qui nous résistons, cela n'est qu'une sorte de question subsidiaire. La vraie question est de savoir pour qui et pour quoi nous résistons. Ce qui nous anime, ce qui fonde la foi qui nous porte, ce qui nous donne cette joie qui donne envie d'aller de l'avant parce que nous réalisons en bonne compagnie des projets qui nous tiennent à coeur.
Le seul conseil que je vous donnerai sera donc de vous méfier de ceux qui ne font que dénoncer sans rien proposer de constructif, de positif qui permettrait de contribuer à poser les bases d'une nouvelle civilisation car il y a beaucoup de chance que ceux qui ne font que lutter "contre" ne soient motivés par rien d'autre que le ressentiment, voir la haine...et on ne va pas très loin avec ça, en tout cas, on ne va pas dans la direction du bien-être qui est aussi celle du bonheur.
Le choix de la simplicité volontaire et de la croissance qualitative qui est un choix de peu de consommation et d’exigences matérielles et de beaucoup d’espace d’imagination et un choix dont le développement est compossible avec tout autre choix qui ne cherche pas à lui imposer son autorité et à nous priver de moyens d’existence peu exigeant smatériellement, productifs et non consuméristes.
J’essayerai dans mes prochaines publications de vous montrer quelles sont les idéologies en présence et à quel avenir possible elles correspondent.